Boni Gnahoret souhaite un mercenariat puissant pour financer la musique ivoirienne

by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire | 24 septembre 2010 19 h 06 min

Dobe Gnahoret

Dans une interview accordée, hier, au Quotidien Ivoirien Le Patriote, le père de Dobet Gnahoret a plaidé pour le mercenariat dans la musique et les spectacles en Côte d’Ivoire.
«… Ce qui est dommage, c’est que notre pays n’a plus de bonnes volontés pour organiser de grands concerts. En clair, il faut des mécènes pour financer la musique. »

Parlant de la découverte des talents, promotion et surtout des infrastructures pour les musiciens, l’ex musicien du Village Kiyi de Wêrê-Wêrê Liking et actuel leader de Le Chœur Attoungblan a fortement regretté l’arrêt des activités du Centre culturel français (CCF). « Dommage que des salles comme le Centre culturel français (CCF) qui programmaient facilement les artistes ne le fassent plus. Les mélomanes ont vu la plupart de nos créations grâce à ces salles. Programmer les artistes pour les valeurs qu’ils représentent et partager ces valeurs avec le public. C’était ça le combat du CCF.

Par Daniel Atteby

Endnotes:

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