Johannesburg – La Confédération Africaine de Football (CAF) a dévoilé samedi la liste des trois nominés pour le titre de meilleur joueur africain de l’année 2010, choisissant sans grande surprise l’Ivoirien Didier Drogba, le Camerounais Samuel Eto’o et le Ghanéen Asamoah Gyan.
La CAF avait livré la semaine dernière une première liste où figuraient aussi l’Ivoirien Salomon Kalou et le Malien Seydou Keita. C’est Drogba, l’attaquant de Chelsea, qui avait été sacré meilleur joueur en 2009.
Le titre honorifique de meilleur footballeur africain de l’année sera décerné le 20 décembre au Caire. Seront également récompensés les lauréats des autres catégories des Trophées de la CAF: meilleur joueur évoluant sur le continent, meilleur espoir, meilleure joueuse de l’année, meilleur club, meilleure sélection nationale, meilleure sélection nationale féminine et meilleur entraîneur.
Le site de la Diaspora Ivoirienne
AFP UNE DES ARMES DE DESTABILISATION DE LA COMMUNAUTE DITE INTERNATIONALE CONTRE LA CÔTE D’IVOIRE
AGENCE FRANCE PRESSE (AFP), ce médium français est sournois et dangereux. Il est donc opportun de tirer la sonnette d’alarme sur ses faits diaboliques de nature à saper le moral des populations Ivoiriennes qui n’ont qu’internet pour s’informer. Il faut le dire tout net, cet organe de presse qui affiche un semblant d’impartialité dans le traitement de l’information concernant la Côte d’Ivoire a toujours usé d’un tact d’injection de mensonge imperceptible dans tous ses articles de presse qu’il diffuse par l’entremise d’Abidjan.net.
Cette sonnette d’alarme vous invite chères autorités de l’information, à la vigilance sur l’objectif de renversement de nos institutions que l’AFP poursuit imperceptiblement. Je m’explique.
Quand il s’agit d’une information qui engage la culpabilité de la France, celle-ci est diluée plus bas dans un justificatif du pourquoi de la culpabilité.
Exemple : Le titre de l’article : L`armée loyaliste aux forces étrangères : ne faites pas « la guerre aux Ivoiriens » du
13/12/2010.
P. Mangou dit :
« Nous avons connu en 2004 des événements douloureux. Les Ivoiriens n`ont pas oublié, ils ont pardonné. Nous avons décidé de fermer la page, mais nous disons à chacun de bien lire ce qui est écrit sur cette page avant qu`on ne la referme », a-t-il ajouté, appelant les « Forces impartiales » à être « véritablement impartiales ».
L’AFP contrattaque pour justifier les événements de 2004 :
En novembre 2004, les tensions entre la Côte d`Ivoire et l`ex-puissance coloniale française, consécutives à l`éclatement de la crise ivoirienne après le putsch raté de 2002, avaient atteint leur paroxysme. Un bombardement de l`aviation ivoirienne avait causé la mort de neuf soldats français à Bouaké (centre) et plus de 50 manifestants ivoiriens étaient tombés à Abidjan sous les balles françaises.
M. Glewa
Nous n’avons vu aucun corps. Donc mensonge !
Injection douce de justification du forfait de la France
L’AFP continue de faire la propagande déguisée de M. OUATTARA, le choix à dessein de la France. Elle écrit :
Deux semaines après la présidentielle du 28 novembre, la Côte d`Ivoire restait dimanche plongée dans une crise institutionnelle sans précédent avec deux chefs d`Etat proclamés, le sortant Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, reconnu par une communauté internationale quasi-unanime comme étant le président légitime.
M. Glewa :
Il n’y a qu’un seul Chef d’Etat proclamé en CI. C’est GBAGBO Laurent. La reconnaissance de M. OUATTARA par une communauté internationale au pouvoir virtuel est nulle et de nul effet.
L’AFP continue :Le gouvernement Gbagbo a accusé samedi des diplomates « occidentaux » à Abidjan de chercher à « déstabiliser » le régime en tentant de faire basculer des militaires dans le camp Ouattara.
M. Glewa
Remarquez que Le mot : déstabiliser est habillé dans le but de lui enlever son caractère de vérité.
Le ministre de l’intérieur dit et l’AFP reprend :
Le gouvernement « ne saurait tolérer plus longtemps d`immixtion de quelque diplomate, quel que fût son rang, dans les affaires intérieures » ivoiriennes, a menacé le ministre de l`Intérieur Emile Guiriéoulou.
M. Glewa :
Dans le dernier paragraphe de l’article ci-dessous, AFP a eu recours au mensonge de Monsieur Henri de Raincourt pour botter en touche la réalité des coups bas de la France tout en continuant de faire accepter aux uns et aux autres que la ′′victoire′′ de Ouattara est valide parce que acceptée par l`Union africaine et la Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao).
En réalité, cette poignée de personnes (4- 1= 3) à la solde de la France qui mène cette action de déstabilisation de la Côte d’Ivoire à grande échelle au point d’actionner même des illuminatis du bord de Sarkozy, est dénuée de tout crédit et cela ne fait ni chaud ni froid à tout Ivoirien digne de l’être..
En visite au Burkina Faso, le ministre français de la Coopération, Henri de Raincourt, a récusé dimanche toute « ingérence » de Paris en Côte d`Ivoire, soulignant que l`Union africaine comme la Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) avaient aussi reconnu la victoire de M. Ouattara.
Conclusion :
Chères autorités, le ver est dans le fruit. Il faut donc que AFP disparaisse du paysage informationnel de la côte d’ivoire ; qu’Abidjan.net qui diffuse ses articles, choisisse entre la République et le colon Sarkozy.
M. GLEWA
L ’avion présidentiel ivoirien bloqué au Bénin
APA-Cotonou (Bénin) Le Gruman présidentiel ivoirien est actuellement bloqué au Bénin selon une source contactée dimanche soir par APA dans la capitale économique ivoirienne.
« Le Gruman présidentiel est effectivement cloué au sol au Bénin à la demande du président de la république, Alassane Ouattara », a expliqué cette source, ajoutant que l’avion transporte Alcide Djédjé, un proche de M. Gbagbo en tournée dans la sous région ouest africaine.
Contacté par APA, le camp du président Laurent Gbagbo n’a ni confirmé ni infirmé cette information.
A en croire une autre source, ce dernier était au cours de cette semaine à Ouagadougou où il a tenté en vain d’obtenir une audience avec le président Blaise Compaoré, facilitateur du dialogue direct en Côte d’Ivoire.
L’ambassadeur de la Côte d’Ivoire au Burkina Faso, Richard Kodjo, a été relevé de ses fonctions par le président Alassane Ouattara, a conclu cette source.
Le Général Mangou aux forces étrangères : « Les Ivoiriens n`ont pas oublié 2004 »
L`armée régulière ivoirienne, fidèle à Laurent Gbagbo, l`un des deux présidents proclamés du pays, a averti dimanche la mission onusienne Onuci et la force française Licorne qu`elles ne devaient pas « faire la guerre aux Ivoiriens », en rappelant les affrontements de 2004.
« Nous conseillons tout simplement à nos frères des Forces impartiales (Onuci et Licorne, ndlr) de ne plus jamais avoir sur leurs mains le sang des Ivoiriens », a lancé le chef d`état-major, le général Philippe Mangou, au cours d`une tournée des casernes à Abidjan, selon des images diffusées par la télévision publique.
« Ils ne sont pas ici pour faire la guerre aux Ivoiriens, ils sont ici pour aider les Ivoiriens à aller à la paix », a-t-il poursuivi.
« Nous avons connu en 2004 des événements douloureux. Les Ivoiriens n`ont pas oublié, ils ont pardonné. Nous avons décidé de fermer la page, mais nous disons à chacun de bien lire ce qui est écrit sur cette page avant qu`on ne la referme », a-t-il ajouté, appelant les « Forces impartiales » à être « véritablement impartiales ».
En novembre 2004, les tensions entre la Côte d`Ivoire et l`ex-puissance coloniale française, consécutives à l`éclatement de la crise ivoirienne après le putsch raté de 2002, avaient atteint leur paroxysme.
Un bombardement de l`aviation ivoirienne avait causé la mort de neuf soldats français à Bouaké (centre) et plus d’une centaine de manifestants ivoiriens étaient tombés à Abidjan sous les balles françaises.
Avec AFP
A Paris, des Ivoiriens pro-Gbagbo dénoncent l` »ingérence » de la France
Plusieurs centaines d`Ivoiriens ont manifesté dimanche à Paris pour dénoncer « l`ingérence » de la France dans les affaires ivoiriennes, au lendemain des accusations du gouvernement de Laurent Gbagbo contre des diplomates « occidentaux » à Abidjan, a constaté l`AFP.
Les manifestants, rassemblés devant le Conseil constitutionnel, ont clamé leur soutien au président sortant Laurent Gbagbo, brandissant des pancarte où l`on pouvait lire: « Sarkozy, la Côte d`Ivoire est indépendante et souveraine » ou encore « La démocratie doit être la même pour tous ».
« Nous voulons que notre Constitution soit respectée et que l`ONU, la France et les autres arrêtent de se mêler de nos affaires », a déclaré à l`AFP Jean-Patrick Lorougnon, un Ivoirien de 32 ans employé d`une société de
sécurité à Paris.
« Nous sommes venus devant une institution français pour délivrer ce message: la communauté internationale doit respecter les institutions ivoiriennes et arrêter de chercher à embraser la Côte d`Ivoire en divisant les Ivoiriens », a affirmé Brigitte Kuyo, responsable du Front populaire ivoirien (FPI, parti de Laurent Gbagbo) en France.
Jeunes travailleurs ou retraités, parfois venus en famille, ces Ivoiriens
étaient d`abord venus manifester leur « indignation », affirmant dans leur
majorité « ne rien attendre » de la France.
La Côte d`Ivoire est dans la tourmente depuis la présidentielle du 28 novembre: Alassane Ouattara, désigné vainqueur par la Commission électorale indépendante (CEI) avec 54,1% des suffrages, est reconnu comme le nouveau président ivoirien par la communauté internationale. Mais le Conseil constitutionnel, acquis à M. Gbagbo, a invalidé ces résultats et proclamé le président sortant avec 51,45%.
Le gouvernement de Laurent Gbagbo a accusé samedi des diplomates « occidentaux » en poste à Abidjan de chercher à « déstabiliser » le régime en tentant de faire basculer des militaires dans le camp de son rival.
Depuis le Burkina, le ministre de la Coopération Henri de Raincourt a affirmé dimanche qu`il n`y avait « pas d`ingérence » de Paris en Côte d`Ivoire, soulignant que « la communauté internationale dans sa totalité » s`était prononcée « dans le même sens ».
DECLARATION DE HAMBOURG SUR LA SITUATION POLITIQUE EN CÔTE D’IVOIRE
Extrêmement préoccupés par la crise post-électorale née du 2e tour de l’élection présidentielle tenu le 28 novembre, des ivoiriens et des africains se sont réunis à Hambourg, en Allemagne, ce samedi 11 décembre 2010 pour analyser la situation politique de la Côte d’Ivoire. Cette Rencontre s’est tenue à l’Initiative du Réseau Panafricain Afrique pour GBAGBO (APG) et soutenue par les représentants du Front Populaire Ivoirien et de La Majorité Présidentielle (LMP) en Allemagne.
A l’issue de cette rencontre très enrichissante, nous, les participants présents avons adopté la présente déclaration.
Considérant la proclamation, le 03 décembre 2010, des résultats du 2e tour de l’élection présidentielle par le Conseil Constitutionnel, résultats donnant le président sortant Laurent Gbagbo vainqueur avec 51,45% contre 48,55% à Alassane Ouattara ;
Constatant que l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), les pays occidentaux et les institutions internationales disent ne pas reconnaître les résultats définitifs proclamés par la Cour Constitutionnelle ivoirienne, au motif que Alassane Ouattara serait «le vrai vainqueur» de cette élection, tel que illégalement et frauduleusement déclaré par la Commission Electorale Indépendante;
Considérant que depuis la victoire de Laurent Gbagbo, les autorités Françaises ont ouvertement pris la tête d’une vaste campagne internationale visant à isoler et à renverser le président de Côte d’Ivoire et à installer Alassane Dramane Ouattara, le valet des puissances impérialistes au pouvoir;
Considérant que le président Français, Mr SARKOZY -qui semble avoir fait de la chute de Laurent Gbagbo une affaire désormais personnelle – ne s’est pas embarrassé de fioritures diplomatiques, pour demander aux forces armées ivoiriennes de « se mettre à la disposition » du prétendu « nouveau président » autoproclamé, Alassane Ouattara; créant ainsi les conditions d’un affrontement sanglant dans le pays;
Considérant que des fonctionnaires de l’ONUCI et certains ambassadeurs occidentaux accrédités en Côte d’Ivoire, se donnent désormais la liberté de défier ouvertement l’autorité du régime du président Laurent Gbagbo, en soutenant publiquement un «gouvernement» illégal et clandestin du duo maléfique Ouattara-Soro, en violation flagrante de l’obligation de réserve qui devrait les habiter;
Considérant que les prises de position hasardeuses et grossièrement partisanes de l’ONU et des pays occidentaux mettent en péril la paix civile et sociale dans le pays, et sont de nature à provoquer une guerre civile;
Considérant que l’administration OBAMA a félicité Monsieur Alassane Ouattara, bien avant que la Cour Constitutionnelle ne proclame les résultats définitifs, marquant ainsi son mépris et son arrogance vis à vis des instituions ivoiriennes;
Nous, ivoiriens, africains et amis de la Côte d’Ivoire, résidant en Allemagne:
Affirmons notre soutien inconditionnel au Président de la République de Côte d’Ivoire, S.E.M. Laurent Gbagbo et lui souhaitons plein succès et beaucoup de courage et de détermination dans la lourde et délicate mission qui l’attend pour les cinq prochaines années;
Appelons au respect scrupuleux de la constitution et de la souveraineté de la République de Côte d’Ivoire ;
Condamnons fermement l’attitude irrévérencieuse, irresponsable, paternaliste voire raciste de l’ONU et de certaines puissances impérialistes amenées par la France, qui pensent pouvoir désigner le Président de la Côte d’Ivoire en lieu et place des institutions et du peuple ivoiriens ;
Demandons à Monsieur OBAMA de faire preuve de sérieux en respectant la décision du Conseil Constitutionnel de Côte d’Ivoire; ce qui serait une marque de fidélité à son discours de Juillet 2009 à Accra, dans lequel le président des USA jurait que «l’Afrique n’a pas besoin d’Hommes forts, mais d’Institutions fortes»;
Exigeons la rupture immédiate de toute relation diplomatique avec la France dont l’activisme débridé contre les institutions légales et la Cote d’Ivoire et la volonté de plus en plus flagrante de placer l’un de ses valets, Alassane Ouattara, à la tête de la Côte d’Ivoire, menacent de plonger la Côte d’Ivoire dans une guerre fratricide aux conséquences incalculables ;
Recommandons fortement au Président Gbagbo, l’expulsion immédiate:
– Du représentant du SG de l’ONU en Côte d’Ivoire, M. Young Jin Choi, pour déclarations tapageuses, parti pris manifeste, incitation à la révolte et à la violence et complicité de fraudes électorales;
– De l’Ambassadeur de France, des Ambassadeurs de l’UE et de tous les pays qui ont troqué leur costume de diplomates au profit de celui plus étroit de partisan du RDR, en faisant ouvertement allégeance à Alassane Ouattara et sa clique, retranchés à l’Hôtel du Golf;
– De toutes les troupes Françaises, qui aujourd’hui plus qu’hier, s’inscrivent comme depuis le 19 septembre 2002, dans une logique de renversement du Président Gbagbo, comme clairement indiqué par le président français dans ses déclarations subversives sur la Côte d’Ivoire.
Proposons au Président Gbagbo de retirer sans délai, la Côte d’Ivoire de la Zone CFA et de rapatrier toutes les réserves ivoiriennes qui sont logées dans le Trésor Français, afin de libérer définitivement la Côte d’Ivoire de la « tutelle » Française qui donne à M Sarkozy le droit de s’ingérer de manière aussi flagrante dans les affaires internes de la République de Côte d’Ivoire.
Demandons à l’ONU, à la France et tous ses acolytes, de tirer toutes les leçons de leurs agissements criminels au Rwanda en 1994 et les conséquences dramatiques qui s ‘en étaient suivies;
Manifestons notre surprise que le tandem Ouattara-Soro qui, après avoir agressé la Côte d’Ivoire le 19 septembre 2002, avait qualifié l’armée ivoirienne de «milice tribale de Gbagbo» et réclamé sa dissolution, courtise subitement cette « milice » pour assouvir leurs desseins diaboliques contre la Côte d’Ivoire;
Tenons à mettre fermement en garde tous les ennemis de la Côte d’Ivoire sur les risques réels de leurs manœuvres de déstabilisation sur la paix civile et sociale en Cote d’Ivoire ;
Appelons, enfin, tous les africains et toutes les forces anti-impérialistes du monde entier à faire bloc derrière le président Laurent Gbagbo, porte flambeau de la lutte pour la libération totale de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique, de la domination des forces rétrogrades et impérialistes.
Décidons de rester mobilisés sur divers fronts afin de faire comprendre au public Européen, les enjeux réels de la crise actuelle en Côte d’Ivoire.
Fait à Hambourg, ce samedi 11 décembre 2010
Contact et information: lcdh_ci@yahoo.fr, baleguelbatoum@yahoo.fr