by Contribution | 31 octobre 2012 20 h 39 min
Après la vente de champs offshores congolais à la société italienne ENI et au groupe Chinois CNPC, orchestrée par l’homme d’affaire français, Jean-Yves Ollivier[1], c’est au tour de la Corée du Sud de vouloir acquérir une exploitation pétrolière congolaise. Les deux pays se seraient déjà entendus sur un accord de principe.
En 2009, déjà[2], le businessman Jean-Yves Ollivier avait permis un accord historique entre la RDC, ENI et le CNPC, concernant la vente de puits de pétrole offshores aux énergéticiens italien et chinois.
Cette semaine, un nouveau pays a fait savoir qu’il s’intéressait aux ressources pétrolières congolaises. Il s’agit de la Corée du Sud. Et les discussions avec l’état africain seraient déjà bien avancées.
En effet, le ministère des Hydrocarbures congolais a publié un communiqué de presse où il explique qu’il a conclu un accord de principe avec la Corée du Sud, portant sur 4 projets pétroliers (la construction d’une raffinerie, la formation d’ingénieurs congolais par les coréens, ainsi que l’installation de deux pipelines).
Cet accord intervient à la suite du dernier forum industriel Corée-Afrique, qui se tenait à Séoul, du 16 au 18 octobre.
A condition que les gouvernants fassent un bon usage de l’argent de ces transactions, l’exploitation des ressources pétrolières devrait être une formidable opportunité de développement pour l’économie congolaise.
By: Ibou
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