Après cette étape, il a été l’invité du JT de 20h. Traduisant sa joie pour avoir réussi cette gageure, Maurice Bandaman a rendu hommage à ses prédesseurs en l’occurence les ministres Bernard B. Dadié (1977) et Henriette Dagri Diabaté (1991), pour avoir travaillé en amont de ce projet. 35 ans de travail qui ont abouti sous le mandat du Président Alassane Ouattara. Le ministre-écrivain a invité les populations de Grand-Bassam à préserver la ville historique ivoirienne. “Je vous demande de veiller à la propreté et à la l’intégrité du quartier France’’, a-t-il conseillé. Maurice Badaman a, par ailleurs, mis un point d’honneur sur les retombées pour les populations de la première capitale de Côte d’Ivoire. “L’inscription sur la liste du patrimoine mondial montre que le pays possède des richesses. Elle donne une visibilité sur le monde.
La reconnaissance au niveau mondial rehausse l’image du pays. La ville de Grand-Bassam comprend des bâtiments qu’il faut restaurer. Cela va donner une autre image de Grand-Bassam. Certains opérateurs touristiques et économiques vont permettre d’inscrire Grand-Bassam sur la liste des tours operators. Grand-Bassam va être connu sur le plan mondial comme les sept (7) merveilles du monde. En collaboration avec des opérateurs hôteliers, nous allons trabsformer certains bâtiments en hôtel. Nous allons aussi travailler avec la mairie de Grand-Bassam pour que cela puisse profiter à la ville et à la Côte d’Ivoire”, a fait savoir le ministre de la Culture et de la Francophonie.
Depuis le vendredi 29 juin 2012, le quartier France de la ville de Grand-Bassam est inscrit que la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, tout comme ce fut la cas en Afrique de la ville de Rabat au Maroc, la région Bassari au Sénégal, des sites natuels au Congo et au Tchad.