Le dimanche 21 avril 2013, le régime Ouattara a organisé une mascarade d’élections couplées (municipales et régionales), après avoir exclu le FPI du jeu démocratique.
Communiqué de Presse du FPI Relatif à la mascarade d’élections municipales et régionales
Le FPI a lancé un appel national au boycott républicain de cette parodie électorale.
Comme il fallait s’y attendre, cet appel au Peuple a été amplement entendu et a donné un taux de participation national qui oscille entre 13% et 15%.
En dépit de la sortie illégale du chef de l’Etat appelant à la mi-journée à une participation massive des populations, ce taux de participation demeure plusfaible que celui enregistré lors des élections législatives tronquées du 11 décembre 2011.
C’est pourquoi,
La direction du Front Populaire Ivoirien se félicite de l’écho favorable de son appel au boycott républicain.
Le FPI remercie vivement le Peuple de Côte d’Ivoire qui a pris la pleine mesure de ce qui est en jeu : la Patrie.
Le FPI remercie la presse nationale et internationale qui, à quelques exceptions près, a rendu fidèlement compte du « désert électoral » du 21 avril 2013.
La direction du FPI, une fois encore, invite le régime Ouattara à saisir la perche du dialogue à lui tendue depuis le 19 septembre 2011 afin que nous vivions ensemble chez nous avec nous.
Abidjan, le 21 avril 2013
Le Secrétaire Général par intérim & Porte-parole
Dr KODJO Richard
apa.apa. dit
Le Fpi doit se feliciter d’avoir refuse de participer a ces oresentes elections.La responsabilite des violiences a l’issue des elections en Ci sont desormais faciles a etablir.Si la violence ne se fait pas contre d’autres partis d’opposition,elle trouve son champs d’application au sein de la case verte elle meme.Tout ceci doit interpeller non seulement les ivoiriens mais egalement la communaute internationale.Ceci etant,nul n’ignore maintenant le role du Fpi sur l’chiquier politique national,ce parti contre vents et marees et contrairement a l’analyse de plusieurs militants doit courageusement tirier les enseignements,et occuper la plce qui est la sienne.,les hommes ne manquent encore moins les arguments.Les absences dans les debats tuent les idees,les perspectives et surtout dans l;environement politique africain marque par le tres fort taux d’illetrisme,il ne faut jamais laisser les autres emboucher ta trompette.un autre danger et des moindres est la propension des hommes politiques au nomadisme car sans moyens materiels et financiers,beaucoup tombent dans le beni oui-oui.Ont-il le choix,car degomme de leur poste pour divergence dde vue politique,ils ne peuvent que se jetter a corps perdu dans l’arene politique pour assurer leur survie et celle de leur famille.Etre realiste,et avoir de la vision pour ne pas mourir politiquement et meme physiquement n’est pas synonyme de lachete uo de tratrise.L’avenir de la Ci et de l’Afrique se jouent en ces instants meme sous nos yeux,les critiques acerbes et faciles ne peuvent et ne doivent prosperer.