Un enfant pleure sa mère
Un enfant pleure sa mère
de toutes les larmes de son corps
Un enfant pleure sa mère
qu’il ne reverra plus
Et son cœur est triste
Son cœur est triste à mourir
Un enfant pleure sa mère
qui loin de son corps est si près de son cœur
Un enfant pleure sa mère
Un enfant pleure sa mère qui ne le verra plus
Sa douce mère emportée
par la folie d’un vent sans foi ni loi
Son cœur est ravagé par la douleur
Et sa peine est si grande
qu’il a perdu la joie de vivre
Un enfant maudit ce matin criblé
de balles de ce jour infecté de rages
Un enfant est triste
Un enfant est triste à mourir
Dans sa tête erre l’image d’une mère criblée de balles
Aujourd’hui, il a pleuré encore
Et demain il va pleurer encore sa mère
pour offrir ces larmes au temps qui passe
Un enfant pleure sa mère
de toutes les larmes de son corps
Un enfant pleure sa mère
qu’il ne reverra plus
Et son cœur est triste
Son cœur est triste à mourir
Un enfant pleure sa mère
qui loin de son corps est si près de son cœur
Un enfant pleure sa mère
Un enfant pleure sa mère qui ne le verra plus
Sa douce mère emportée
par la folie d’un vent sans foi ni loi
Son cœur est ravagé par la douleur
Et sa peine est si grande
qu’il a perdu la joie de vivre
Un enfant maudit ce matin criblé
de balles de ce jour infecté de rages
Un enfant est triste
Un enfant est triste à mourir
Dans sa tête erre l’image d’une mère criblée de balles
Aujourd’hui, il a pleuré encore
Et demain il va pleurer encore sa mère
pour offrir ces larmes au temps qui passe
Kock Obhusu