Les rebelles de outtara comettent en ce moment un génocide à soubré dans la sous préfecture d’okrouyo et de grand zatry dans le département de soubré. A ABIDJAN, il tuent pillent les domiciles, violent les femmes…
Par delvekio
Serge Daniel Atteby est le Directeur de publication de IvoireDiaspo
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
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Paris, le 3 avril 2011
Côte d’Ivoire: Les vérités cachées sur les massacres de civils
Dans ses bandeaux d’information du 2 avril, LCI, La Chaine de l’Info en continu écrit:
« Côte d’Ivoire: 330 morts à Duékoué dont 100 personnes tuées par des mercenaires pro-Gbagbo à Duékoué (ONU). « Plus de 800 personnes exécutées » dans cette ville depuis novembre (FIDH) »
(et dans le bandeau qui suit juste après)
« Côte d’Ivoire: Les personnes tuées par les forces d’Alassane Ouattara, cette semaine à Duéloué dans l’Est du pays, étaient « des miliciens et non pas des civils » (porte parole) ».
Dans ses bandeaux d’information du lendemain 3 avril, on peut lire:
« Côte d’Ivoire: 330 morts à Duékoué dont 100 personnes tuées par des mercenaires pro-Gbagbo à Duékoué (ONU). « 1000 morts ou disparus au total dans cette ville selon l’ONG CARITAS. »
(et dans le bandeau qui suit juste après)
« Côte d’Ivoire: Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon demande à Alassane Ouattara de prendre des mesures contre ceux qui ont pris part au massacre de huit cent personnes à Duékoué. »
Les Ivoiriens qui ont vu ces bandeaux ont vite compris le manque de professionnalisme avec lequel est traitée l’information sur leur pays en proie à la guerre civile.
Ils connaissent la ville de Duékoué à l’Ouest du pays, à moins de 100 km de la frontière avec le Libéria.
Mais une ville à l’Est du pays qui s’appelle Duéloué, ils ne connaissent pas.
En tout cas, ils ont tous compris que le massacre de Duékoué est l’œuvre des forces de celui qui est soutenu par ladite communauté internationale et qui accuse son adversaire de crimes contre l’Humanité.
Mais ce manque de professionnalisme flagrant de la part de journalistes Français est peut-être une façon pour eux de manifester leur désapprobation de la désinformation qu’on leur demande de véhiculer.
Car si l’on écoute ce qui est dit sur les autres chaines internationales, l’information est plus claire.
La chaîne britannique Sky News affiche dans son bandeau d’information du 3 avril:
« AFP: UN Chief Ban Ki-Moon demands Ouattara takes action against followers who massacred 800 people » (traduction AFP: le chef de l’ONU, Ban Ki-Moon demande à Alassane Ouattara de prendre des mesures contre ses partisans qui ont massacrés 800 personnes »)
Sky News précise par ailleurs que « selon la Croix-Rouge, plus de 800 personnes ont été tuées en un seul massacre à Duékoué.
Où il apparaît que l’information est pourtant diffusée par l’AFP, Agence Française de Presse, et qu’elle est sans équivoque.
On notera aussi que le secrétaire général de l’ONU n’accuse pas Ouattara des crimes commis par ses partisans; ils lui demandent seulement de « prendre des mesures » contre ses partisans criminels. Il n’en est pas de même quand il s’agit de Laurent Gbagbo.
La correspondante de RDI, chaîne Canadienne du Réseau De l’Information rapporte que « l’ONU s’inquiète de violations graves dans l’Ouest du pays, de violations de droits de la personne commises par les forces pro-Ouattara, pas juste ces derniers jours, mais ces dernières semaines et ces derniers mois; on parle de massacres épouvantables de femmes enceintes et de bébés ».
Le correspondant de la BBC à Duékoué rapporte qu’il y a des corps partout autour de lui.
La BBC rapporte que selon l’ONU, plus de 330 personnes ont été tuées à Duékoué quand les forces de Ouattara ont pris la ville et que la plupart l’ont été des mains des combattants partisans de Ouattara.
Pendant ce temps, les ressortissants des pays riches sont protégés par l’armée française, alors que les civils Ivoiriens des deux camps et les ressortissants des autres pays Africains sont contraints de fuir les zones de combats avec leurs propres moyens.
Les Africains comprendront que les pays colonialistes qui prétendent vouloir les aider ne sont interessés que par les ressources de l’Afrique: ressources du sol ou ressources humaines, tout au service du Colon.
Par Terrelibre
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TWN-03/04/2011
New York-Nous n’avons cessé de le repéter, ce qui se passe en Côte d’Ivoire n’a rien d’une dispute électorale. La France tient absolument depuis 2002 à renverser le Président Laurent GBAGBO pour installer Alassane OUATTARA. Après l’échec de la prise du palais d’Abidjan, SARKOZY a pris lui même les choses en main. Il vient de sortir il ya seulement quelques heures d’une vidéoconférence avec des chefs d’Etat Africians qu’il a informés de sa décision de renverser le Président Ivoirien dans les heures qui suivent. L’aéroport international de Port Bouet est occupée en ce moment par une trentaine de chars prêts à faire mouvement vers la résidence du chef de l’Etat que la FRANCE tient à sortir “mort”de là. L’information nous été confirmée par le Ministre des Affaires etrangères M.ALCIDE DJEDJE un proche parmis les proches du Président ivoirien. D’ici Mardi donc, la France va finir avec Laurent GABGBO quelles que soient sa poupularité à Abidjan et l’écrasante majorité des ivoiriens qui le soutiennent. Pour elle, si OUATTARA s’installe au palais après l’assassinat de GBAGBO, la Côte d’Ivoire retrouvera la paix car tout le monde acceptera le “gentille OUATTARA sans problème”
SARKOZY est beaucoup gêné par les accusations portées à l’encontre de son poulain OUATTARA que l’ONU vient d’épingler d’avoir massacré plus de 800 personnes dans l’ouest du pays. Sentant donc l’echec du complot venir, la France a décidé de passer à la vitesse supérieure. LaFrance va donc tuer GBAGBO dans les heures qui suivent et avec lui tous ses proches et les nombreux pattriotes qui n’entendent pas se laisser faire.
Jack SARKORRACHI
————–
URGENT: l’armée française lance présentement une attaque par voie lagunaire (07 zodiaques en route vers la résidence du PR). Ils ont également largué des soldats non loin de la maison du PDCI à Cocody ( 500 M de la résidence du PR)………………. INFO: un habitant des tours Ste Marie et un autre à Blockhaus ( des gens très crédibles)
Facebook Timothée Guébo
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by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
It comes after France boosted the number of its troops in the country and said it was in control of the airport at Abidjan, the country’s largest city.
Fierce fighting was continuing between troops loyal to incumbent leader Laurent Gbagbo and the president-elect, Alassane Ouattara.
Henry Gray, from international medical and humanitarian aid organisation Medecins Sans Frontieres (MSF), told Sky News Abidjan was in lockdown.
« There’s heavy fighting in some areas of the city and looting in other areas, » he said.
« We’re hearing the sound of heavy weapons fairly regularly and small arms fire as well.
« We are running out of food, we don’t have water at our office at the moment – but we’re probably in a better shape than a lot of people [in Abidjan]. »
The UN mission in Ivory Coast has started withdrawing « essential » employees after frequent attacks on its office in Abidjan.
Non-essential staff were evacuated several months ago.
Reports said those being evacuated were being taken by helicopter from the UN base to the airport.
Ivory Coast – also known Cote d’Ivoire – has been wracked by bloody violence since Mr Gbagbo refused to leave office after losing an election last November.
Mr Ouattara is recognised as having won the poll by the international community and has backed his claim to power with deadly force.
The UN said on Saturday more than 400 people have been killed in the violence so far – but aid agencies believe the number could be more than double that figure.
The Red Cross said at least 800 civilians were killed in a single battle during the ongoing struggle for control of Ivory Coast.
Over the past four months clashes between the two sides have claimed hundreds of lives, displaced at least a million people and turned Abidjan into a war zone.
Forces loyal to Mr Ouattara were gathered outside Abidjan on Sunday ready for an advance on the city, according to reports.
There was renewed tension in the city as an extra 300 French troops were sent in to boost the size of the Operation Licorne force, which now numbers 1,400 soldiers.
Both Britain and the US have called on Mr Gbagbo to step aside amid the widespread unrest.
« The path forward is clear… (Mr Gbagbo) must leave now so the conflict may end, » America’s Secretary of State Hillary Clinton said.
Foreign Secretary William Hague called for restraint in Ivory Coast and said alleged human rights abuses in the country’s largest city, Abidjan, must be investigated.
« I am gravely concerned by the violence in Cote d’Ivoire and deplore reports of loss of life, » he said in a statement.
« I call on all sides to exercise restraint, and condemn the looting and lawlessness reported in Abidjan.
« Laurent Gbagbo must heed the calls from the international community and step down at once to prevent further bloodshed. »
The 65-year-old Mr Gbagbo has not been seen since the uprising against him began.
Fighters supporting Mr Ouattara have claimed nearly 80% of the African nation in a bid to install him as president.
S: news.sky.com
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Ce témoignage est celui d’un habitant de Duékoué exerçant dans l’humanitaire, qui pour des raisons évidentes, préfère garder l’anonymat. Mais qui s’engage sur l’honneur et se dit prêt à témoigner devant n’importe quelle juridiction à l’avenir. Une liste des morts et des disparus de Duékoué est déjà en train d’être constituée pour ce qui apparaît comme le massacre de plus forte ampleur dans l’histoire de la guerre en Côte d’Ivoire.
La prise de Duékoué par les FRCI (ainsi se sont baptisées les troupes de Ouattara) a eu lieu le lundi 28 mars 2011. Les journaux qui leur sont proches confirment bien cette date, dans leurs parutions de lundi et mardi. De même que l’intervention d’Alain Lobognon, porte parole de Soro. Une depêche de l’AFP est disponible à ce sujet.
Après la prise de la ville, les FDS ont replié sur Guiglo, laissant les populations aux mains des rebelles. A Guitrozon et Petit-Duékoué, toutes les populations se sont refugiées en brousse, fuyant d’éventuelles exactions. Il en est de même des populations des villages WE de DAHOUA, BAHE, PINHOU et GLAOU.
Jusqu’à mercredi, la ville de Guiglo, coincée entre Blolequin (occupée par les FRCI) et Duékoué (occupée aussi), et sans défense aucune (les FDS ont décroché vers le SUD en passant par TAÏ) n’était pas prise par les FRCI, à la grande surprise des populations. On le comprendra dans ce qui suit.
Les FRCI tenaient à massacrer les populations du quartier CARREFOUR, soupçonné d’abriter un groupe d’autodéfense. Les tueries ont eu lieu dans la nuit du mardi 29 au mercredi 30 mars 2011, dans le quartier « Diaye Bernard » communément connu sous le nom de « CARREFOUR ». En regardant une carte GOOGLE EARTH, on peut localiser ce quartier qui a accueilli près de 9 000 réfugiés, suite aux conflits de janvier 2011 à DUEKOUE.
Il est situé à l’entrée de la ville de DUEKOUE, le long de l’axe ISSIA-DUEKOUE-MAN. Il est limité à l’EST (axe Duékoué-Issia) par une zone marécageuse qui donne sur la scierie NSD-THANRY et le camp de l’ONUCI. A l’OUEST, le quartier est bordé par les marécages du GUEMON. Ce sont ces marécages qui isolent ce quartier du centre ville. Le NORD du quartier est traversé par la route non bitumée Duékoué-Bagohouo-Kouibly. Le Nord est donc en zone rebelle, puisque le poste FDS est implanté dans le quartier. Le sud du quartier est la voie bitumée ISSIA-DUEKOUE-MAN.
Une fois la ville conquise le lundi 28 mars, les pillages ont commencé dans la nuit du lundi et se sont poursuivis toute la journée du mardi 29. Les populations étaient toutes terrées chez elles, les rebelles tirant pour couvrir leurs forfaits. Ainsi ont été pillés les hôtels Ermitage, Matchaix et Monhessea. L’hôtel en construction du politicien Séa Honoré, pourtant proche de Ouattara, a été pillé à partir du jeudi. Il en fut de même pour tous les domiciles des FDS (qui ont quitté la ville) et de tous les cadres proches de Gbagbo. Au cours des combats, des véhicules appartenant au riche commerçant DEMBA, d’origine malienne ont été brûlés. Au moins 7 gros camions, communément appélés remorques et servant au transport de cacao. Dans des circonstances non encore élucidés, l’imam Konaté, connu pour ses efforts de paix et de rassemblement et proche des cadres LMP de la région et du ministre Issa Coulibaly Malick, ex-DNC de Gbagbo, a été tué à son domicile.
Dans la nuit du mardi 29 au mercredi 30 mars 2011, les rebelles ont bouclé le carré du quartier CARREFOUR. Il a suffit pour cela de se positionner tout le long de l’axe DUEKOUE-ISSIA (Au Sud) et d’occuper de la même façon le Nord du Quartier. les zones EST et Ouest étant marécageuses, donc peu propices à la fuite, quelques rebelles suffisaient à empêcher toute sortie du quartier. Le reste de la troupe pouvait donc investir le quartier et se livrer à l’exécution de tout mâle ne parlant pas malinké. Les We, autochones de DUEKOUE ont donc été systématiquement massacrés, au seul motif de leur appartenance ethnique. Le CICR parle de 867 morts. Mais les disparus, les tués en brousse portent ce nombre à au moins 1200 personnes. L’objectif est de modifier le rapport démographique et électoral en faveur du RDR, dans cette région stratégique et riche, mais où les conflits fonciers sont un grand souci pour les autorités politiques.
Il convient de signaler que, devant l’ampleur des massacres et l’émoi créé, l’ONUCI s’est vue obligée de désarmer le samedi 2 avril 2011, à 15H, les rebelles postés au corridor de Guitrozon. « Pourquoi, tuez-vous tant de personnes? » s’est exclamé l’oficier marocain de l’ONUCI. A Petit-Duekoué, le même samedi vers 14H, deux rebelles qui avaient abattu sommairement des villageois ont été abattus, après sommation, par l’ONUCI.
S: kouamouo.ivoire-blog.com
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L’ONG Caritas a confirmé dans la nuit de samedi à dimanche les soupçons de massacre dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, affirmant qu’un millier de personnes avaient été «tuées» ou étaient «portées disparues» entre dimanche et mardi dernier à Duékoué. Des révélations délicates pour le président reconnu par la communauté internationale, Alassane Ouattara, accusé par la Mission de l’ONU en Côte d’Ivoire (Onuci) d’être impliqué dans ces tueries.
La ville de Duékoué, important carrefour de l’Ouest ivoirien, est tombée mardi aux mains des combattants d’Alassane Ouattara après de violents affrontements avec les militaires et miliciens fidèles au président sortant, Laurent Gbagbo. L’ONG «ne sait pas qui est responsable de cette tuerie, mais indique qu’une enquête doit avoir lieu pour établir la vérité. Caritas condamne les attaques sur les civils et souligne que la situation humanitaire en Côte d’Ivoire se détériore rapidement», conclut l’organisation.
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) avait déclaré vendredi soir qu’«au moins 800 personnes» avaient été tuées mardi lors de «violences intercommunautaires» dans cette même ville de l’Ouest ivoirien. De son côté, la Mission de l’ONU en Côte d’Ivoire (Onuci) avait évoqué trois cent trente personnes tuées entre lundi et mercredi. Si le bilan provisoire de l’Onuci est pour l’instant le plus bas, c’est aussi la seule organisation à désigner des coupables : «la plupart» des morts de Duékoué ont été tués par des combattants pro-Ouattara. L’Onuci affirme également que le camp de Laurent Gbagbo est lui aussi reponsable de dizaines de morts.
Des « allégations» vivement contesté par le camp Ouattara, qui a affirmé que tous les tués étaient des «miliciens», donc des combattants armés, et non des «civils». Mais ces graves accusations sur de possibles «crimes de guerre» sont d’autant plus embarrassantes pour Alassane Ouattara qu’elles proviennent de l’Onuci, la mission qui assure sa protection au Golf Hôtel et qui a validé sa victoire à la présidentielle du 28 novembre. L’image internationale du président reconnu pourrait s’en trouver gravement abîmée. Dimanche, la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton a ainsi demandé à ses combattants de «respecter les lois de la guerre et de cesser les attaques contre les populations civiles». Et celle-ci d’arguer : «les forces du président Ouattara doivent se montrer à la hauteur des idéaux et de la vision exprimés par leur chef élu».
L’ONG Médecins sans frontières s’est de son côté alarmée du nombre de nouveaux blessés affluant dans les structures médicales de l’ouest du pays. Un signe que les «violences continuent dans la zone» six jours après le début de l’offensive des pro-Ouattara. L’ONG, qui appuie notamment la structure médicale de Bangolo, rapporte ainsi que dans la journée du 1er avril une vingtaine de blessés y ont été transportés pour des soins et que dix attendaient toujours dimanche d’y être opérées.
Source: Le Figaro
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