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Nigeria’s 130 million cell phone lines to use biometric data and mobile banking
NEW YORK, United States of America, September 21, 2017/ — On the sidelines of the United Nations General Assembly, Bloomberg Philanthropies hosted by former mayor of New York Michael Bloomberg, inaugurated its first Global Business Forum with an astounding line up of global innovators, including Africa’s richest man, Nigerian industrialist Aliko Dangote.
Following talks by former US president Bill Clinton, French president Emmanuel Macron, Apple CEO Tim Cook, and Alibaba chairman Jack Ma, Aliko Dangote took the stage with Bill Gates of Microsoft, Indra Nooyi of PepsiCo, and Masayoshi Son of SoftBank. David Rubenstein, CEO of The Carlyle Group who moderated the panel on technology’s ability to disrupt poverty. Mr Dangote cited Nigeria’s 130 million cell phone lines and his own company’s initiative to use biometric data and mobile banking to target one million Nigerian women for small grants.
Dangote and the Bill and Melinda Gates Foundation cited their collaborated effort in fighting polio by vaccinating seven million children using mobile trackers.
“Africa’s best-kept secret is Namibia” (Dr. Hage Geingob)
NEW YORK, United States of America, September 21, 2017/ — Many African nations aspire to attract foreign investment and hope to create environments to facilitate the flow of people and capital. Namibia has the great advantage of being one of the most attractive destinations for investors and offering stability, social justice, a government focused on good governance and transparency, gender equality, respect for the environment, improved quality of life, and one of the most beautiful landscapes and unspoiled coastlines in the world.
If you haven’t already heard much about Namibia it is mostly likely because our nation is peaceful and our national culture is characterized by our quiet determination and our modest nature. We don’t make a lot of noise, but as President of Namibia I do want to personally invite interested business leaders and investors to come see for yourselves. Our desire to diversify our economy and achieve greater inclusive growth is captured in our Harambee Prosperity Plan that I would like to share with you.
In the context of competition in an emerging Africa, the case for Namibia is compelling. I am in New York this week to address the United Nations General Assembly. I spoke of the challenges of middle-income countries. I referred to Namibia’s economic development blueprint and our vision for youth employment, our strong support for the Paris Agreement on climate change, and our steadfast belief in the United Nations’ role in fostering prevention and mediation for sustaining peace in the world.
But, above all, all Namibians wish the world to know that we are proud of our nation – as large as France but with only 2.4 million inhabitants – and we are open for welcoming a family of investors and visitors who embrace our values and wish to become part of our growing success story.
Dr. Hage G. Geingob, President of the Republic of Namibia
Côte d’Ivoire: contrôles renforcés des abonnés mobiles pour lutter contre le terrorisme
La Côte d’Ivoire, victime d’une attaque jihadiste en mars 2016, a décidé de renforcer la vérification de l’identité des abonnés de téléphonie mobile afin de lutter contre le terrorisme, ont annoncé les autorités ivoiriennes jeudi à Abidjan.
Une première phase « moins contraignante sur les pièces à fournir » réalisée en 2012 a permis d’enregistrer près de 30 millions d’abonnés, a annoncé l’instance ivoirienne de régulation de la téléphonie (ARTCI).
« Le gouvernement ivoirien a initié cette seconde phase en vue de protéger les abonnés, assurer la sécurité de l’Etat et de lutter efficacement contre le terrorisme et la cybercriminalité », a déclaré le directeur l’ARTCI, Bilé Diéméléou, lors d’une conférence de presse.
« Toutes les personnes physiques ou morales disposent d’un délai de six mois à compter d’aujourd’hui pour actualiser leur identification », souligne un communiqué de l’ARTCI.
Les nationaux devront présenter une carte nationale d’identité, un permis de conduire ou un passeport biométrique, tandis qu’un passeport biométrique ou une carte nationale d’identité biométrique sera réclamé aux non-nationaux.
« L’ensemble de ces mesures concourt à protéger l’abonné en cas d’infraction commise frauduleusement au moyen d’une carte SIM ou d’un dispositif d’accès (box, wifi pocket, etc…) identifié à son nom », a rassuré M. Diéméléou.
« En cas de non identification dans les délais, l’abonné verra la suspension des services (il sera mis en réception simple). L’arrêt définitif des services interviendra deux mois après la date de suspension », a-t-il averti.
L’opération d’identification, qui concerne également les propriétaires de cybercafés, vise à lutter contre la cybercriminalité en Côte d’Ivoire, connue pour l’habileté de ses « jeunes escrocs » sur internet, appelés « brouteurs ».
La téléphonie mobile représente 8% du PIB ivoirien et le secteur est l’un des plus gros employeurs du pays. Le volume journalier des transactions monétaires via la téléphonie mobile (paiements ou transferts d’argent) en Côte d’Ivoire est de 15 milliards de francs CFA (près de 23 millions d’euros).
Le nombre d’abonnés de la téléphonie mobile est passé de 16 millions à 30 millions entre 2012 et 2016. Pendant cette période, le nombre d’abonnés à internet a explosé, passant de 200.000 à plus de dix millions, selon les chiffres de l’ARTCI.
Le groupe français Orange, le sud-africain MTN et le groupe ivoiro-saoudien Atlantique Télécom, sont actuellement les trois opérateurs de téléphonie sur le marché ivoirien.
La Côte d’Ivoire a connu une attaque jihadiste le 13 mars 2016, dans la ville balnéaire de Grand-bassam, près d’Abidjan, qui a fait 19 morts.
Africatime
32 milliards pour combattre le swollen shoot du cacaoyer en Côte d’Ivoire
Environ FCFA 32 milliards (€ 48,6 millions) seront nécessaires pour financer le nouveau programme d’intensification de lutte contre le swollen shoot au niveau national sur la période 2017-2022, a annoncé, hier à Gagnoa, le chargé de programmes au Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (Firca), Issiaka Yaméogo. Un programme effectué en partenariat avec le Centre national de recherche agronomique (CNRA), l’Agence nationale d’appui au développement rural (Anader) et le Conseil café-cacao (CCC) qui a contribué FCFA 11 milliards à ce programme.
L’opération d’arracher et de replanter les superficies infectées, estimées à 100 000 ha, devrait être achevée en 2020, les deux autres années (2020-2022) devant être consacrées à l’inspection et à la vérification du travail réalisé.
Les actions de recherches portent sur les équipements, la formation des chercheurs, les actions de vulgarisation, l’intervention de l’Anader et les mesures d’accompagnement.
Le swollen shoot est une maladie virale du cacaoyer qui sévit de manière endémique dans les cacaoyères d’Afrique de l’Ouest, précise le CNRA Il a été observé pour la première fois au Ghana en 1922 et en Côte d’Ivoire en 1943. Une recrudescence de la maladie est constatée depuis 2003 dans le verger ivoirien. Le swollen shoot provoque la dégradation des cacaoyères, de fortes baisses de production de cacao, et la mortalité massive des cacaoyers.
Pourquoi Ouattara a rappelé son Ambassadeur à Dakar ?
Faisant partie des témoins entendus dans le cadre du procès de Laurent Gbagbo à la Cour Pénale Internationale (CPI), le Général Edouard Kassaré a été rappelé par le président Ivoirien, Alassane Ouattara.
Au cours de son interrogatoire, le Général nommé Ambassadeur après la chute de Laurent Gbagbo, aurait fait un témoignage à décharge pour l’ancien président Ivoirien à la CPI. Devant la Cour, l’Ambassadeur a nié avoir signé un document qui ordonne aux éléments de la Gendarmerie sous les ordres de descendre dans les rues pour défendre le régime. Son témoignage à décharge n’aurait pas plus à l’Etat ivoirien, livre « Dakar Times ».
Il a été rappelé au début de ce mois et devrait quitter Dakar les jours à venir. Le Général Edouard Kassaré était face au bureau du Procureur de la CPI, Fatou Ben Souda au mois de mars dernier dans le cadre du procès conjoint de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. Les questions de l’interrogatoire ont porté sur le fonctionnement de la Gendarmerie, l’organigramme et la communication pendant la crise.
L’accusation avait alors présenté une série de documents au témoin qui disait n’avoir pas reconnu les documents et niait les avoir signé. Le Général a déclaré devant la Cour que la signature apposée n’était pas la sienne. « Je ne m’en souviens pas. Tout porte à croire que c’est un faux », avait-il répondu au Substitut du Procureur sur « un document que le Commandant supérieur a adressé à son aide de camp ». En faisant savoir qu’il n’est pas certain que l’ancien président soit informé de tout ce qui se passait sur le terrain au plan militaire pendant la crise 2010 – 2011, il dédouanait ainsi Laurent Gbagbo en ce qui concerne sa maîtrise et gestion de la situation militaire pendant la crise post-électorale…
Africatime
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