FESSEBOOK, LE LIVRE ACHEVE
(à tous les amis facebookers)

Au réel transfiguré
A la transfiguration facétieuse
A la facétie en désarroi
Et au désarroi tragique
Il a fait licence de l’honneur
Refusant la mort, le templier s’est,
De guerre lasse,
Résolu à mourir ou à vivre
Il est comme Nerval
Amant à Aurélia
Fantomatique à Jenny
Persuadé que rien ne s’achève dans ce monde
Et qu’il existe un refuge aux espérances déçues
Alors, tout lui est à présent permis
Cette nuit l’ogre soutane a décidé de partir loin
Très loin des permissivies boudeuses
Livrer bataille à l’enivrement vulgaire du livre
Fessebook
Et le livre est grandement ouvert à la page soixante-neuf
Par une None éculée
L’ombre des dieux planait étrangement sur Pigalle
En ces temps là,
Blanche est encore vêtue du manteau du vice et de la vertu
Et le livre débite de mille façons une fiévreuse excitation
Autour d’un moulin rouge de sang d’honneur livide
Au commencement était sans concession le livre du mâle
Fessebook

Kock Obhusu

Parade obscène par Kock Obhusu

Sur les débords de la scène Dans la profondeur d’un silence blafard On les entend rire aux éclats comme des Read more

Eburnie ne danse plus

Je refuse votre résignation moribonde Elle pue la sueur froide Sortie de vos entrailles trouillardes Vous exaltez aux grelots collabos Read more

UN JOUR, IL FERA JOUR

Terre cannibalisée Glèbe blessée Patrimère lacérée au compas scélérat Voilà ce qu’est mon Nimba devenu Et le krou s’écroule sous Read more

COMME UN SOUFFLE DE DESESPOIR

Le poème apprivoisé perdit Liberté et Souffle Et le verbe se fit alors vélaire Quand la lettre de voyelles que Read more

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Je pense à ma terre de Lôdjiboua baignée de chaleur
Je pense à mon village de cases coiffées de chaumes
Et mon âme s’enlise naviguant ce matin de Psaumes en Psaumes
L’hiver n’est pas encore là, mais j’appréhende déjà son atmosphère vêtue de large manteau blanc

Et mon cœur toujours hélas est las, saignant à blanc
Au milieu des mille lumières d’Europe
Aujourd’hui, jaillissent en moi les doux souvenirs de mon insouciante errance
à Divo, à Lakota, à Guitry, à Fresco, à Sassandra, à San-Pédro

Entre le doux soleil de la broussaille de mon peuple de Lôdjiboua
Et l’apaisante fraîcheur de la terre de France
Mon cœur s’enlise et s’écrie
Quand reverrai-je mon pays, mon beau pays

Kock Obhusu

Parade obscène par Kock Obhusu

Sur les débords de la scène Dans la profondeur d’un silence blafard On les entend rire aux éclats comme des Read more

Eburnie ne danse plus

Je refuse votre résignation moribonde Elle pue la sueur froide Sortie de vos entrailles trouillardes Vous exaltez aux grelots collabos Read more

UN JOUR, IL FERA JOUR

Terre cannibalisée Glèbe blessée Patrimère lacérée au compas scélérat Voilà ce qu’est mon Nimba devenu Et le krou s’écroule sous Read more

COMME UN SOUFFLE DE DESESPOIR

Le poème apprivoisé perdit Liberté et Souffle Et le verbe se fit alors vélaire Quand la lettre de voyelles que Read more

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Lumière sur Pigalle
Lumière de Pigalle

Quête de fugace bonheur
Cela est sans honneur

Ils lui disent que l’art importe peu
Et c’est bien cela qu’elle supporte peu

Qu’à cela ne tienne, son séant est béant
Qui mène à la béatitude du néant

Pauvre silhouette black décatie
Au back de tristesse tapie

De la place de Clichy s’entend le cliquetis
De son vénéneux clitoris

A Barbès s’entend le bruissement babylonien
De sa trompe de salope au ton euclidien

Kock Obhusu

Parade obscène par Kock Obhusu

Sur les débords de la scène Dans la profondeur d’un silence blafard On les entend rire aux éclats comme des Read more

Eburnie ne danse plus

Je refuse votre résignation moribonde Elle pue la sueur froide Sortie de vos entrailles trouillardes Vous exaltez aux grelots collabos Read more

UN JOUR, IL FERA JOUR

Terre cannibalisée Glèbe blessée Patrimère lacérée au compas scélérat Voilà ce qu’est mon Nimba devenu Et le krou s’écroule sous Read more

COMME UN SOUFFLE DE DESESPOIR

Le poème apprivoisé perdit Liberté et Souffle Et le verbe se fit alors vélaire Quand la lettre de voyelles que Read more

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Parade obscène par Kock Obhusu

Sur les débords de la scène Dans la profondeur d’un silence blafard On les entend rire aux éclats comme des Read more

Eburnie ne danse plus

Je refuse votre résignation moribonde Elle pue la sueur froide Sortie de vos entrailles trouillardes Vous exaltez aux grelots collabos Read more

UN JOUR, IL FERA JOUR

Terre cannibalisée Glèbe blessée Patrimère lacérée au compas scélérat Voilà ce qu’est mon Nimba devenu Et le krou s’écroule sous Read more

COMME UN SOUFFLE DE DESESPOIR

Le poème apprivoisé perdit Liberté et Souffle Et le verbe se fit alors vélaire Quand la lettre de voyelles que Read more

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