‘’L’Etat de Côte d’Ivoire a un nouveau Chef : le Président Alassane Ouattara, (…) Notre parti veut continuer dans la paix et la liberté, de jouer sa partition dans la construction de la vie politique’’
Depuis quelques mois la Côte d’Ivoire, notre pays, n’est plus au travail pour sa croissance économique et sociale. La politique qui devait en être le moteur et la gestion de cette politique ces six derniers mois, a donné lieu à des violences de toutes natures, qui ont occasionné, des pertes énormes en vies humaines dont la macabre comptabilité reste à faire, des blessures physiques ou morales dont l’on ignore si les victimes en guériront un jour, des destructions volontaires ou non de biens publics et privés, à grande échelle, la quasi déstructuration du tissu social déjà largement fragilisé. Le bilan de la tragédie ivoirienne est lourd et peut-être, n’aurons-nous pas le courage de le faire connaître aux générations futures dont le jugement sera des plus implacables, tant il nous était possible de choisir de ne pas faire la guerre. Les appels à la Paix, plus que ceux à la simple retenue, ont fusé de toutes parts, d’hommes politiques bien souvent trop seuls pour être entendus, d’hommes de Dieu et de personnalités étrangères de tous bords.
Hélas! En vain.
Face à tant de déchirures, tant de vies sacrifiées et de souffrances, il importe de s’incliner devant la mémoire des victimes mortes pour nos erreurs, toutes les victimes sans exclusive, de faire le deuil avec leurs familles respectives et de leur exprimer, autant qu’il nous est possible, toute notre compassion et toute notre sympathie, ainsi de même qu’aux survivants blessés ou non, de tous bords, pour marquer si cela n’avait été déjà, notre attachement profond à l’Unité de la Côte d’Ivoire, de son peuple, riche de sa diversité. Cela dit, il est heureux que les armes se soient tues et il est impérieux que celles qui ne l’ont pas encore été le soient, pour que les filles et les fils de ce pays se parlent et réapprennent à vivre comme ils n’auraient jamais dû cesser de le faire. L’Etat de Côte d’Ivoire a un nouveau chef, le Président Alassane Ouattara, que la classe politique ivoirienne se doit de reconnaître comme tel, et c’est bien dans cette voie que s’inscrit le F.P.I. Il faut instaurer un climat de non belligérance, la vocation de la politique étant tout autre, pour revenir aux fondamentaux que sont, la construction d’une nation et d’une société développée, la cohésion entre les partis et entre les élites politiques, avec pour objectif, la préservation de la Paix, gage d’une société harmonieuse et libre. Cette absence de belligérance, doit être de nature, à faire revivre une pratique responsable et paisible de la politique, comme moyen de conquête et d’exercice du pouvoir, dans le but de fournir aux populations, le cadre de leur épanouissement personnel, ainsi que matière à participer volontairement à la croissance de l’espace commun. Pour ce faire, les femmes et les hommes affichant les armoiries de toutes les formations politiques établies sur le territoire ivoirien, doivent être libres de mener au vu et au su de tous, leurs activités politiques, dans le respect des lois de la République. Les Autorités Publiques et en premier lieu, le Président de la République, doivent garantir, le respect, pour chacun, de ses droits constitutionnels. Le F.P.I. veut continuer, dans la Paix et la liberté, de jouer sa partition dans la construction de la vie politique en Côte d’Ivoire, par l’exercice régulier, de sa mission de formation du suffrage, vis-à-vis des populations. Notre Parti garde à l’esprit, son passé de formation d’opposition, puis de gouvernement et aujourd’hui encore d’opposition, dans le respect des règles et des Autorités établies. C’est à cette compréhension de sa politique que le F.P.I. invite ses membres et sympathisants, toutes les formations politiques avec lesquelles, il a formé dans un passé très récent un attelage utile et porteur d’espoir, tous les Ivoiriens soucieux de la préservation des acquis communs de notre nation en devenir et de notre société en construction ainsi que toute la communauté internationale. Le chemin sera long et difficile, mais certainement pas plus que les mauvais moments que nous venons de passer. Il faut faire confiance aux nouvelles autorités publiques et leur donner la chance de panser nos blessures et pourquoi pas, nous faire oublier les affres de la guerre. Notre peuple si paisible, en a les capacités et les ressources pour y parvenir ne lui feront jamais défaut, tant notre volonté est immense de parvenir à la résolution de tous les différents qui nous ont opposés à ce jour, sans faux-fuyant, dans la vérité et la justice, pour une réconciliation vraie et porteuse de bonheur et de liberté.
Fait à Abidjan, le 27 avril 2011
M. Mamadou Koulibaly
Vice Président du F.P.I.
Kidjo dit
Dixit MK : »Le F.P.I. veut continuer, dans la Paix et la liberté, de jouer sa partition dans la construction de la vie politique en Côte d’Ivoire, par l’exercice régulier, de sa mission de formation du suffrage, vis-à-vis des populations. »
Quel plaisantin vous faites Mr PROPRE (M.K) Quand allez-vous cesser d’insulter l’intelligence des gens? Comment peut-on » continuer de jouer notre partition dans LA PAIX ET LA LIBERTE » quand tous les leaders d’opposition du FPI et LMP croupissent dans les prisons du nord aux mains des rebelles et que vous n’avez même pas le cran de demander leur libération et celle de Gbagbo. A moins que leur remise en liberté ne contredise vos ambitions… Avec qui allez vous continuer de batir dans l’oppostion ? Avec Ouattara et Soro les sanguinaires de votre nouvelle république? Soyez sérieux ou prenez les Ivoiriens au sérieux. Nous avons tous le droit d’avoir des ambtions mais tout de même !!!!
kakou dit
tu es simplement un plaisantin mamadou coulibaly, ton intention c’est d’enlever le president affi nguessan et prendre la tête du fpi voilà pourquoi leur liberation t’interesse peu.tu es un grand opportunist, les militants du fpi veulent bien savoir ce qu’il ya entre toi et mossi ouattara pour que tous les dignitaires soient incarcérés sauf toi coulibaly le malien, sache que les ivoiriens ne sont pas dupes, nous exigeons la liberation immediate et sans condition des cadres du fpi sinon pas de reconciliation. en outre de quelle reconciliation parlez vous?,apres tous ces tueries, tortures, viols, pillage etc, les ivoiriens ont compris que desormais chacun doit proteger sa regions et faire beaucoup attention aux etrangers car aujourd’hui il est notoirement connu que ceux qui ont payé un lourd tribu depuis ces 9 ans de guerres sont malheureusement nos freres de l’ouest qui ont voulu vivre en paix avec des etrangers venus du mali, burkina, guinéee etc. nous avons tous tiré une tres bonne leçon de cette guerre, de toutes les façons ouattara sait qu’il arrivé par les armes et il ira par les armes,
KAKU dit
JE SUIS TRES DECU DE LIRE CETTE DECLARATION VENANT D UN HAUT CADRE DU FPI,IL NE PARLE MEME PAS DE CES CONFRERES ET SOEUR DU MEM BORD POLITIC KI SONT EMPRISONNE,C EST VRAI K LA POLITIC C EST UN JEUX DE CORRUPTION,MEM DONA FOLOGO A EU O MOINS LE COURAGE DE DIRE LA VERITE,MAIS TOI LE DAUPHIN DE GBAGBO TU N ARRIVE MEME PAS A PARLE,CMT VEUX TU CONSTRUIRE UNE OPOSITION AVEC LES MEMBRE EMINENT DE TN PARTIE EMPRISONNE,MALHEUR A TOI QUI N A PAS EU LE COURAGE COMME AFFI,TRES DECU