MINISTERE DE L’INTEGRATION AFRICAINE ET
DES IVOIRIENS DE L’ETRANGER
Tour B, 17 ème étagePlateau
Abidjan – Côte d’Ivoire
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
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L’Editorial du Professeur Augustin Dibi Kouadio
Le cours de la vie politique dans notre pays conduit à penser que nous ne parvenons pas à convenablement nous instruire de notre passé, même le plus récent afin de porter la vue au loin. Ce passé est négligé au point même de tomber dans l’exil de l’oubli. Nous ressemblons alors à des voyageurs qui, ayant pris le train, s’endorment pour ne se réveiller qu’au moment de la collision.
N’est-il pas regrettable que le Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix, ce beau cadeau du destin, ne parvienne pas à être adéquat à son concept, à honorer l’élan initial qui le porta au jour, et que les partis politiques qui le composent ne regardent plus dans la même direction ? Tout se passe comme si l’on avait oublié l’endurance des cinq mois passés à l’hôtel du Golf, le silence glacial des nuits dans la muette inquiétude pour le lendemain, le frémissement sous la mort que l’on sait menaçante à l’extérieur, à des carrefours et dans des quartiers ! Faut-il que la perspective des élections en 2020 nous conduise à oublier tout ce que nous avons vécu et l’Appel historique de Daoukro qui a sauvé notre pays quand il était sur le point de sombrer dans la nuit la plus obscure ?
A un moment où la Côte d’Ivoire naviguait sans ancre ni compas, il a fallu rappeler qu’elle doit se hâter de retrouver la sève subtile qui la fécondait dans sa marche pour lui assurer vitalité et verticalité, afin de briller à nouveau comme une étoile flamboyante. Il a fallu rappeler que les raisons d’unir doivent toujours être plus fortes que celles de diviser et de séparer, que les fondations de la maison sont déjà là, posées par son premier bâtisseur, et qu’il convient de se rassembler autour de l’essentiel afin de consolider ce que la sagesse a si heureusement planté.
En quelques années, la Côte d’Ivoire n’a-t-elle pas réussi à renouer avec sa vocation pour redevenir fréquentable, sous la conduite de ceux qui, conscients qu’un héritage a été laissé comme un vase rempli d’une liqueur précieuse, veulent le perpétuer et le faire fructifier avec force et beauté ? Les progrès déjà réalisés après la crise que nous avons traversée révèlent que le RHDP est à l’image d’une vigne. Les pousses élégantes qu’il nous fait voir de l’œuvre initiée offriront des fleurs qui ne manqueront pas de produire des fruits splendides et abondants. Il n’est que de prendre comme seul exemple le pont Henri Konan Bédié qui aurait pu demeurer un simple projet et ne jamais voir le jour, mais qui désormais, est venu à son heure s’étendre là, en fierté et en majesté pour exhaler comme la rose son parfum que seul pourrait ne pas supporter celui qui a perdu la saveur des choses.
Historiquement, dans la genèse temporelle des choses, le Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix procède des partis politiques qui le composent : il vient après eux. Cependant, essentiellement, dans la genèse idéale des choses, il les précède infiniment : il vient avant eux en tant que leur lieu d’origine, leur raison d’être, ce à quoi ils ont toujours aspiré, la source qui les a, avant tout, appelés à l’existence temporelle. En effet, le vœu secret du Président Houphouët Boigny, en créant un parti politique, quel qu’en soit le nom, n’a-t-il pas toujours été de ramener la diversité à l’unité, de rassembler ce qui est épars, de nous inviter à dilater notre cœur pour l’étendre aux dimensions d’autrui, afin de « forger, unis dans une foi nouvelle, la patrie de la vraie fraternité » ? Ceux qui se reconnaissent en l’idéal qu’il a toujours poursuivi devraient, en bonne logique, se soucier de se hâter de conduire le RHDP à l’effectivité d’un parti politique qui soit la pierre angulaire, là au milieu, en cet espace infini de la médiation où les choses germent dans le silence avant que de s’offrir à la lumière du jour, et où le pain est proposé pour être simplement rompu et partagé.
La dissonance et le bruissement actuels des choses procèdent de ce que l’idée ne s’est pas encore donné un remplissement dans l’effectivité, qu’elle tarde à s’accomplir sous la forme et le contenu de la réalité concrète d’un parti politique, comme si l’on craignait de perdre quelque chose en allant au lieu de la synopse, à la vue conciliante, à un pôle rassemblant. L’expérience révèle que nous perdons davantage de temps en vivant dans la crainte d’une tâche à accomplir qu’en l’accomplissant tout simplement. Au fond, ce qui manque ne serait-il pas ce rien de l’humilité qui n’est pas humiliation, mais plénitude, regard tourné vers le Ciel, par quoi il nous est possible de dissoudre notre nature propre afin de nous laisser aiguiser par l’autre ?
Les partis politiques ne doivent pas être fétichisés et fixés en des choses absolues. Ils n’accomplissent leur vocation qu’à s’ordonner à un appel venant de plus loin qu’eux qui les invite à se soucier de l’intérêt général, du visage de l’autre en face de moi. De temps à autre, de la fenêtre de l’éternité où il se trouve, le premier bâtisseur de notre pays sort certainement la tête pour voir si ses héritiers se soucient de consolider son œuvre, en la poussant vers l’avant afin qu’elle devienne la maison où le moineau trouve un abri et l’hirondelle un nid pour sa nichée.
L’esprit du Président Houphouët Boigny a suscité l’idée du RHDP. La source d’eau vive est donc là, nous invitant à ne plus creuser des citernes fissurées, incapables de retenir l’eau.
DIBI Kouadio Augustin,
Professeur Titulaire de Philosophie
Université Félix Houphouët Boigny
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Petit frère, Kemi Seba, finalement merci, pour cette grande catharsis que tu rends possible. Tu ouvres grand les portes de l’exutoire et tu permets aux uns de redire leur agacement devant ce qui leur paraît être de la servitude et aux autres de se bouffir de l’illusion d’être du côté des vainqueurs.
Il y a parmi ceux qui dénoncent « l’apartheid économique » de fieffés tire-aux-flancs, adeptes indécrottables de la glandouille, mais aussi des travailleurs consciencieux, technocrates avérés travaillant patiemment à l’avènement d’un continent africain meilleur..
Du côté de ceux qui approuvent le CFA, l’on retrouve de même des analystes consciencieux, experts en questions monétaires, aspirant à des reformes sérieuses et non à des aventures épidermiques. Malheureusement, près de ceux-ci, l’on a aussi des adeptes de l’esbroufe, véritables « brouteurs » et arlequins, dont le projet existentiel s’est de tout temps limité à racler les poubelles de l’approbation des plus forts du moment.
Il faut bien que les défenseurs de la cause africaine se rencontrent. Par-delà, leurs divergences du moment. Parce qu’ils luttent pour une cause commune, bien que leurs méthodes paraissent parfaitement opposées. Il nous faut tous comprendre que les panafricanistes auto-proclamés n’ont pas le monopole de l’amour et de la défense du continent. S’ils servent sincèrement sa cause, ils ne la servent pas toujours véritablement. La sincérité étant une chose et la vérité une autre.
Il faut peut-être aussi comprendre que les voix critiques qui s’élèvent dans les rangs d’Africains contre les pratiques des Africains, ne sont pas nécessairement « commanditées » par les Occidentaux. La phobie du protocole de Sion doit lâcher les consciences, au risque d’être le lieu de dispersions des forces vives du continent.
Petit frère Kémi, je ne serai pas long. Mais je veux juste te dire merci d’avoir rouvert le débat; Il se refermera ou plutôt baissera en intensité les jours à venir. Mais le combat pour la dignité de l’Homme oppressé, Noir ou pas, devra se poursuivre. Au quotidien.
Par le travail. L’intégrité. La discipline. La vertu.
En tout cas, bonne soirée et bon retour chez les tiens.
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Kémi Séba a fait face au juge du Tribunal des flagrants délits du palais de justice de Dakar. Kémi Séba n’a pas été condamné. L’activiste, avec son co-accusé Bentaleb Sow, ont été relaxés par le tribunal. Le juge n’a pas suivi le réquisitoire du parquet qui avait requis une peine de 3 mois de prison avec sursis pour Kémi Séba et la relaxe pour son co-accusé.
La BCEAO, partie civile au procès, avait, quant à elle, réclamé le franc symbolique.
Selon le code pénal sénégalais, Kémi Seba encourait une peine allant de 5 à 10 ans de prison.
La salle d’audience du Palais de justice de Dakar a été prise d’assaut par les souteneurs de l’activiste, polémiste, président de l’Ong « Urgences panafricanistes ». D’ailleurs, le juge n’a pas hésité à évacuer la salle pour troubles à l’audience du fait des applaudissements des partisans de Kémi Séba.
Devant les juges, le polémiste a regretté son geste et a indiqué que l’acte qu’il avait posé avait, pour lui, une valeur purement symbolique.
Seba et son supposé complice Bentaleb Sow avaient été placés sous mandat de dépôt depuis le vendredi 25 août.
Kémi Séba a été attrait devant la justice suite à une plainte de la Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). Il était accusé d’avoir brûlé un billet de banque de 5.000 francs CFA lors d’un rassemblement à la Place de la Nation, à Dakar, tenue, le samedi 19 août dernier. La rencontre organisée simultanément dans plusieurs capitales africaines visait à dénoncer le franc CFA.
Dernièrement, Kémi Seba a reçu de nombreux soutiens. D’ailleurs, son arrestation a été qualifiée de « politique » par l’écrivain sénégalais Boubacar Boris Diop.
Avec Abidjan.Nat
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COMMUNIQUE DE LA FIDHOP :
Le samedi 8 Juillet 2017, à la faveur du Sommet du G.20 qui s’est à Hambourg, en Allemagne, le Président français Emmanuel MACRON a (encore) fait preuve de son immaturité politique et diplomatique en abordant le dossier Afrique.
En effet, répondant à une question au sujet d’un prétendu « Plan Marshall pour l’Afrique », M. MACRON a cru devoir diagnostiquer les maux qui plombent le continent noir, en insultant les Peuples d’Afrique.
Ainsi, selon lui, contrairement à l’Europe de l’après Seconde Guerre qui a nécessité le plan Marshall pour la reconstruction des différents pays détruits, les problèmes de l’Afrique sont des « défis civilisationnels » ; et que – argument ridicule et inutilement insultant pour les Peuples d’Afrique, notamment les braves Africaines – ce continent serait en retard parce que les Africains font « sept à huit enfants » par couple. Enfin le Président français ajoute que les Etats africains sont « faillis », avec des « transitions démocratiques complexes ».
Dès lors, si l’on suit l’analyse de M. Emmanuel MACRON, le début d’une solution du développement de ce continent devrait consister en UNE RECOLONISATION DE L’AFRIQUE, afin de mieux inculquer à ces peuples noirs la civilisation occidentale, notamment française ; civilisation dans laquelle la limitation des naissances est tellement respectée qu’elle permettrait de résoudre tous les problèmes économiques et de chômages auxquels des pays tels que la Grèce, l’Espagne, l’Italie ou même la France sont actuellement confrontés.
Enfin, ces propos tenus par le jeune Président français au G.20 prolongent l’arrogance et le mépris par lesquels il s’était précédemment illustré à propos du Franc CFA que, de son avis, les Etats africains qui le désirent pouvaient abandonner plutôt que d’accuser la France.
La FIDHOP (la Fondation Ivoirienne pour l’observation et la surveillance de la Démocratie, des Droits de l’Homme et de la vie Politique), dont le Président-Fondateur, Dr BOGA Sako Gervais, a été invité à participer aux activités organisées par les Altermondialistes à Hambourg en marge de ce G.20, de même que l’ex-Ministre ivoirienne Mme Clothilde OHOUOCHI, fait observer ce qui suit.
Plutôt que de susciter une révolte chez les Africains contre la civilisation occidentale, comme ses prédécesseurs l’ont réussi en fabriquant des Djihadistes, M. Emmanuel MACRON et ses collègues du G.20 gagneraient plutôt à mieux écouter les Peuples d’Afrique, car les défis de l’Afrique sont profonds et très sérieux…
Heureusement que ces dirigeants-Sous-préfets seront les tout derniers en Afrique !
AUSSI FACE A CES INSULTES ET CES MEPRIS REPETES, LES PEUPLES AFRICAINS EXIGENT-ILS DES EXCUSES PUBLIQUES ET OFFICIELLES DE LA PART DU PRESIDENT DE LA FRANCE EMMANUEL MACRON !
Fait à Hambourg, le 13 Juillet 2017
Dr BOGA S. GERVAIS
Président-Fondateur de la FIDHOP
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Les propos lors du Sommet du G20 du président de la République concernant les pays africains sont inadmissibles. Dans un relent de malthusianisme archaïque, le chef de l’État qui se pique d’une soi-disant modernité rend notamment responsables les femmes africaines de l’absence de développement dans leurs pays et sur le continent. Cela relève d’une idée non seulement fausse mais méprisante.
Emmanuel Macron, en évoquant un « aspect civilisationnel » dans les problèmes que rencontrent les pays africains, s’inscrit dans la droite ligne des propos de sinistre mémoire tenus par Nicolas Sarkozy.
Alors qu’il dénonce les États africains faillis et les nombreux conflits sur le continent, son mouvement « En Marche » fait de l’Ivoirien Guillaume Soro un invité d’honneur à son congrès constitutif.
Il faut savoir que Guillaume Soro est un ancien chef « rebelle » qui a déstabilisé la Côte d’ivoire. Il est actuellement président de l’Assemblée nationale de ce pays marqué par la répression, les arrestations arbitraires et la détention illégale de plusieurs centaines de prisonniers politiques. Le nom de Soro est associé à différentes déstabilisations, y compris au Burkina Faso. Il a d’ailleurs été concerné par des procédures judiciaires en France pour des violences envers un de nos ressortissants et au Burkina Faso en relation avec la récente tentative de putsch visant la restauration du système Compaoré. Guillaume Soro a également été mis en cause dans des rapports onusiens pour avoir acquis illégalement des centaines de tonnes d’armes !
Les progressistes des pays africains et européens sont appelés à construire des alternatives et des propositions politiques mutuellement avantageuses pour leurs peuples afin de rompre ainsi avec les politiques défendant les seuls intérêts privés qui s’accaparent les rênes du pouvoir, ici comme là-bas. Ce sera la meilleure réponse face aux propos méprisants d’Emmanuel Macron annonciateurs d’une politique africaine rétrograde et dangereuse.
Parti communiste français,
Paris, le 13 juillet 2017
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Dans un tube dénommé No Parasan (qui signifie Ils ne passeront pas) sur Youtube, 20 français rappeurs appellent à voter contre l’extrême droite pour les législatives du 7 juillet. Ce sont des artistes en majorité noirs et arabes. Pour eux, ce sont désormais deux camps en France: les racistes contre les fils d’immigrés qui ont décidé de […]