Economie

Administration financière: Quatre trésoreries principales inaugurées dans le Nord du pays

1 juin 2017 by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire

La longue crise qu’a connue la Côte d’Ivoire a eu pour conséquence de réduire l’offre des services financiers proposés par le trésor public aux contribuables des zones Centre et Nord du pays.

Ainsi en a décidé la Direction générale du trésor et de la comptabilité publique (Dgtcp). Lespopulations dans le Nord de la Côte d’Ivoire n’auront plus besoin de parcourir de longues distances pour effectuer des opérations financières usuelles. Du 22 au 24 mai, son directeur général, Assahoré Konan Jacques, a inauguré quatre trésoreries principales dans les régions du Worodougou, du Denguélé et du Folon (Nord), précisément dans les localités de Dianra, Tiémé, Kaniasso et Tienko, selon un communiqué du Trésor public. « Monsieur le préfet, c’est avec un réel plaisir que je vous remets à présent les clés de la trésorerie principale. Vous y trouverez aussi un guichet de la banque du Trésor au service de vos administrés. Chers parents, voici votre Trésor ». Le directeur général a répété cette phrase au cours des différentes cérémonies, en présence des autorités préfectorales, municipales, coutumières et religieuses, des opérateurs économiques et des populations…

En plus de la trésorerie qui permettra à l’ensemble des usagers de bénéficier des services classiques du Trésor (paiement de salaires, pensions, factures et autres prestations), un guichet de la banque du Trésor est ouvert dans chacune des trésoreries principales nouvellement opérationnelles.

La longue crise qu’a connue la Côte d’Ivoire a eu pour conséquences de réduire l’offre des services financiers proposés par le trésor public aux contribuables des zones Centre et Nord du pays. Avec le retour de la stabilité, l’administration financière de l’Etat a repris le cours normal de sa politique de proximité à travers la réhabilitation des locaux dégradés et la construction de nouveaux locaux. Au cours de ce déplacement, Assahoré Konan Jacques a encouragé les populations bénéficiaires à utiliser massivement les services qui leur sont offerts afin de contribuer à relever le taux de bancarisation dans ces différentes localités.

FratMat

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Le Bafing produit du Cacao

1 juin 2017 by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire

Le Bafing, figure désormais au nombre des régions productrices du binôme café-cacao en Côte-d’Ivoire.

Région du Bafing : La qualité du cacao produit, saluée

Les agriculteurs de la région du Bafing, produisent la meilleure qualité de cacao; mieux que leurs homologues du Tonkpi. Un cacao dont le taux de sous grade (cacao de mauvaise qualité) est de zéro pourcent.

L’information a été donnée par Amon Kouadio Jean Jacques, coordonnateur contrôle qualité-prix à la délégation régionale du conseil café-cacao de Man dont dépend le Bafing. Qui s’en est félicité et a exprimé ses félicitations aux producteurs. C’était à Touba, le 27 mai 2017 à la faveur de la cérémonie bilan annuelle de la société coopérative simplifiée Espoir du Bafing (Scoops-Sceb).

A l’occasion, Karim Bamba, président du conseil d’administration de ladite société, a, dans son discours introductif, informé que grâce à sa structure, le Bafing, figure désormais au nombre des régions productrices du binôme café-cacao en Côte-d’Ivoire.

Ses cargaisons, à l’en croire, sont directement déchargées dans les ports ivoiriens sous le label de Scoops-Sceb qui du reste, a été classée deuxième coopérative du Bafing. Saluant la qualité du travail abattue par ses pairs, il les a exhortés à redoubler d’effort afin de devenir l’organisation agricole régionale leader dès l’année prochaine.

Poursuivant, il a indiqué que « bientôt la certification du cacao » issue du Bafing, sera obtenue dans la perspective d’un meilleur encadrement et d’une formation optimale des coopérateurs « aux bonnes pratiques agricoles dans tous les domaines ».

Le bilan de la société coopérative se présente comme suit: 626 162 kg d’anacarde; 221 152 kg de cacao, collectés et commercialisés. Réalisant, 591. 905. 930 F CFA de chiffres d’affaires et un bénéfice net de 3. 407. 750 F CFA dont une partie sera investie selon ses promoteurs, dans la réalisation d’œuvres sociales et affectée aux soutiens à des indigents.

Savadogo Adama, Sous-préfet central de Touba et tous les intervenants, ont congratulé et encouragé le président Karim Bamba et son équipe. En soumettant les résultats de leurs activités à une assemblée, ont-ils signifié, ils font preuve de « bonne gouvernance » et cela permet d’envisager l’avenir sous de meilleurs auspices. Ce qui n’est pas toujours le cas dans le monde agricole local, ont-ils précisé. Les élus, chefs de services et la notabilité de Touba ont apporté leurs soutiens aux coopérateurs, espoirs du Bafing.

FratMat

SaveSave

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Et si nous parlions un peu de l’agrobusiness!

16 mars 2017 by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire

Et si nous parlions un peu de l’agrobusiness en analysant les déclarations du chef de l’Etat à Paris !
Le président Ouattara traite les entreprises de l’agrobusiness d’escrocs. Celui qui traite les promoteurs de l’agrobusiness d’escroc est lui même le patron de la justice des vainqueurs…
Nous savons tous que le régime de Ouattara avait bloqué les comptes des entreprises de l’agrobusiness en pleine mutinerie, il avait urgemment besoin d’argent pour payer les mutins qui avaient donné un ultimatum à son gouvernement s’il ne remboursait pas leur leurs primes. Pour un régime redresseur de tords, ça fait mauvais genre.
La justice aux bottes, sans enquètes avait suivi les déclarations du gouvernement mais nous savons tous que derrière les déclarations du chef de l’Etat à Paris il y a bien une filouterie du régime. Nous savons aussi que c’est grâce à l’argent de l’agrobusiness que le gouvernement ont pu payer les mutins.
Nous savons aussi que les déclarations du chef de l’Etat, à Paris disant que les promoteurs de l’agrobusiness sont des arnaqueurs est sans base légale, faute d’une vraie enquête judiciaire ad hoc. Voilà qui est de mauvais augure pour celui qui dit représenter l’Etat de droit en Cote d’Ivoire!.. Qui ne sait pas gérer les soldats qui l’ont aidé à prendre le pouvoir, saura-t-il gérer les Ivoiriens dans la justice?
Comme quoi le mot escroc ou arnaqueur n’a pas la même signification selon que vous soyez président de la républqiue, ministre, procureur sous le régime de Ouattara ou simple promoteur ou même souscripteur. Le mot « escroc » a été prononcé pour la première fois par le porte-paroles du gouvernement après un conseil des ministres et le chef de l’Etat Ouattara ne fait que redire ce qu’avait dit son perroquet à Abidjan.
Alors souscripteurs ivoiriens, dormez tranquille, votre argent est bien dans les mains des gens honnêtes et compétents !!!
Soyez assurés qu’ils l’utiliseront pour payer leurs soldats quitte à vider complètement les comptes de tous les Ivoiriens pour rembourser ses dettes et après les accuser d’escrocs!

Fan Club Henriette Lagou

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Alassane Ouattara lance un mandat d’arrêt international contre les responsables des sociétés d’agrobusiness

15 mars 2017 by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire

« Ce sont des escrocs »

Venu saluer et rendre un hommage au président français François Hollande qui a décidé de ne pas briguer un second mandat, le président Alassane Ouattara en a profité face à la presse pour situer l’opinion nationale et internationale sur le phénomène Agrobusiness en Côte d’Ivoire. C’était ce mercredi 15 mars 2017 à sa sortie du déjeuner avec le président Hollande : « L’agrobusiness, c’est un problème d’escroquerie par un certain nombre de personnes qui font d’ailleurs l’objet de poursuite. Des mandats d’arrêts internationaux ont été émis et les remboursements ont commencé aujourd’hui (mercredi 15 mars 2017, ndlr) pour protéger les ivoiriens contre de telles pratiques. C’est cela notre rôle et nous l’avons engagé » a répondu le président Alassane Ouattara à la question du journaliste Philippe Kouhon qui a demandé à savoir la situation réelle dans cette affaire qui fait couler beaucoup d’encre. Comme on le voit, le sort des patrons des sociétés d’agrobusiness serait bien scellé avant même un quelconque verdict de la justice. Dans ce cas on se demande comment les milliers de souscripteurs pourront entrer en possession de la totale de leur revenus sur investissement (RSI) si l’Etat empêche toujours les responsables des sociétés à honorer leurs contrats vis-à vis de leurs clients. En France, le syndicat des investisseurs indépendants d’agrobusiness (Siiabci) qui manifestait le samedi dernier avait émis le souhait de rencontrer le chef de l’Etat à Paris. Un rendez-vous qui pourrait s’avérer peu probable.

Philippe Kouhon à Paris

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Fêtes de fin d’année à Abidjan: Buvettes, bars, night-clubs… font peau neuve

23 décembre 2016 by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire

Fêtes de fin d’année à Abidjan: Buvettes, bars, night-clubs… font peau neuve

Partout en Côte d’Ivoire et particulièrement à Abidjan, la célébration des fêtes de fin d’année est une occasion où de nombreux fêtards prennent d’assaut les espaces de divertissement. Notamment, les buvettes, bars-dancing, night-clubs, hôtels… Ceci, dans une ambiance où l’alcool et le sexe sont au rendez-vous.

En prélude à ces festivités marquant le début de la nouvelle année, ces divers établissements de loisirs et de détente font peau neuve pour offrir le meilleur à la clientèle le jour J. Ils sont nombreux ces hôtels, buvettes, bars-dancing, night-clubs… à travers les communes de la capitale économique ivoirienne, à entreprendre des travaux de réfection visant à renforcer et/ou à renouveler le dispositif d’accueil existant, à passer surtout de nouvelles couches de peinture pour donner fière allure. Ce, en vue d’offrir un cadre beaucoup plus enchanteur aux clients à la faveur des fêtes de fin d’année qui s’annoncent à grands pas.

Fabrice N’Zué, tenancier d’un célèbre ‘’maquis’’ à l’espace « Mille maquis » à Marcory-Gasoil, qui vient de renouveler les enseignes lumineuses, poser des guirlandes, tente de donner quelques précisions sur le changement de look opéré, à l’approche des fêtes. «C’est une nouvelle année que nous allons commencer. De ce fait, il est bienséant de rénover nos installations pour être en phase avec la clientèle», a-t-il expliqué. Cet avis est également partagé par nombre de propriétaires et gérants de maquis (buvettes), bars ou hôtels rencontrés, comme Sam, un gérant d’un night-club du côté de Cocody-Angré. Il ajoute que des travaux de réfection sont en cours dans son établissement pour accroître la capacité d’accueil.

A Yopougon, réputée « Cité de la joie », pour ces nombreux ‘’maquis’’, bars, etc., dont la renommée a dépassé les frontières du pays, surtout grâce à sa mythique rue princesse, n’est pas en reste. Sur cette artère d’environ 800 mètres de long et ses alentours, c’est l’heure du relookage.

Selon Sylvie K, une serveuse dans un complexe maquis situé aux abords de ladite rue, «cette année encore, le show sera au rendez-vous. On sera débordé comme à l’accoutumée. Donc pour être plus accueillant, le patron a dû remplacer toutes les chaises et tables cassées… Et puis, c’est une nouvelle année, il faut respecter les clients en leur offrant un cadre idéal».

Marco G. et Guizo A. rencontrés à Abobo-Plateau-Dokui, passant de nouvelles couches de peinture dans une buvette ne disent pas autre chose. « Il faut se mettre au diapason.Lorsqu’on voit tous les ‘’maquis’’, bars climatisés, hôtels, mettre de nouvelles couches de peinture, on ne peut pas rester indifférent. On doit faire comme eux pour être à la page et attirer la clientèle », ont-ils affirmé avec le sourire. Claude Légré, gérant d’un hôtel entièrement repeint à Adjamé, au quartier des 220 logements, explique qu’il est bon de rentrer dans une nouvelle année avec de « nouveaux habits ».

Ainsi donc, tout sera fin prêt pour le réveillon de Noël et pour la fête de Saint-Sylvestre dans une ambiance bon enfant sous des décibels comme à l’accoutumée. Bonne année à tous !

FratMat

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LA COTE D’IVOIRE INTERDIT LA VENTE DE VOLAILLES VIVANTES EN DEHORS DES MARCHES

22 décembre 2016 by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire

COMMUNIQUE DE PRESSE

Conformément au Décret n° 93-312 du 11 mars 1993 fixant les conditions d’exercice des professions touchant au commerce des animaux, des denrées animales et d’origine animale destinées à la consommation humaine, le Ministre des Ressources Animales et Halieutiques porte à la connaissance de la population et des opérateurs économiques de la lière avicole (éleveurs, grossistes, revendeurs de volailles vivantes) que la vente de volailles vivantes est une activité soumise à une déclaration obligatoire et ne doit s’exercer uniquement que sur les marchés conventionnels de volailles vivantes et les points de vente déclarés.

En conséquence, la vente de volailles vivantes aux abords des grandes voies, des carrefours ou autres sites en dehors des marchés et des points de vente déclarés de volailles vivantes est interdite. À cet e‑et, les services compétents (la Direction des Services Vétérinaires et le District) procéderont à la saisie systématique de toutes volailles vendues en dehors des marchés et des points de vente déclarés de volailles vivantes.

Monsieur le Ministre des Ressources Animales et Halieutiques attache du prix à la mise en oeuvre de cette prescription et compte sur la bonne compréhension de tous.