«Les juges ont considéré que le procureur s’appuyait sur des documents invérifiables ou des documents qui se contredisaient mutuellement. En d’autres termes, les juges ont considéré que le narratif du procureur ne reposait sur rien», a-t-il estimé, avant d’ajouter : «C’est une victoire de la justice, du droit et de la vérité historique. C’est une victoire pour la Côte d’Ivoire».
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