Abidjandirect : Pouvez vous nous raconter votre rencontre avec le Président Laurent Gbagbo ?
Politique
SarkAdo : le poids de la vertu
SarkAdo : le poids de la vertu
Il était une fois un putschiste félon qui, en l’espace de deux mois à l’hôtel du Golf, parvint à “claquer” 452 milliards de Fcfa (689 millions d’euros), prélevés en toute illégalité sur le compte ivoirien de la BCEAO, après avoir, huit années durant, présidé au détournement par la rébellion qu’il animait de 40 % des ressources de l’État ivoirien.
Et voilà que le plus hypocritement du monde alarmé par l’augmentation du nombre de fonctionnaires (de 92.000 à 132.700) pendant la période où il fomentait et menait sa sanglante guerre civile (de 2000 à 2010), le putschiste félon part en guerre contre le gaspillage, et décide arbitrairement d’annuler 120 concours administratifs.
Devinez donc ce qui se cache derrière la métamorphose de ce flambeur sanguinaire en champion de la saine gestion, pourfendeur du gaspillage et prodigue en économies ?
Simplement, la réalité d’un pays aux finances publiques ruinées par la folie meurtrière du système SarkAdo…
Les investisseurs (hormis quelques charognards de l’immobilier, qui s’enrichissent déjà sur le dos des innombrables “déguerpis” de la vaste opération “villes mortes”) persistent à fuir comme la peste un pays toujours rongé par l’anarchie et la délinquance d’État (quel autre nom donner en effet aux exactions quotidiennes des frci?), gangrené par le racket et les détournements de fonds tous azimuts.
Par contre, continuer à faire le malheur des petits, en les enfonçant toujours plus profondément dans la boue d’une précarité pourvoyeuse à terme de juteux dividendes FMIesques, çà, le SarkAdo y excellera toujours…
Si nous avions une suggestion à faire au sous-préfet momentanément en poste à la tête de l’arrondissement ivoirien de l’empire sarkafricain, ce serait de garder secrètes les minutes des sous-conseils qu’il préside, pour épargner aux Ivoiriens encore aptes à la gaieté – en dépit du malheur dont il restera longtemps le symbole – le risque de s’étouffer de rire à la lecture des vœux pieux surréalistes dont elles sont truffées.
Le dernier compte-rendu en date (celui du 7 septembre dernier) nous offre la burlesque mise en scène d’un Drame Man, tout à tour et en vrac:
-soudainement épris de respect de l’environnement lui, le champion toute catégorie du saccage à grande échelle;
-soucieux de sécurité pour tous, après avoir instauré le règne de la terreur dozo et licornue;
– soucieux également de santé publique, après avoir mis à mal le système de santé ivoirien, en commençant par condamner à mort des dizaines de dialysés victimes de l’ignoble boycott imposé par son parrain Sarko, avant de d’encourager ce dernier à bombarder les hôpitaux;
– soucieux aussi de présider à l’avènement d’une « école ivoirienne d’excellence » (si vous avez trop mal aux côtes, arrêtez de lire!), après avoir durablement désorganisé le système éducatif en sabotant l’année scolaire en cours au moment de son putsch, et en détruisant écoles et universités;
– soucieux toujours de création d’emplois, après avoir ruiné des millions d’Ivoiriens et jeté sur les routes de l’exil près de trois millions d’entre eux (et il ose promettre et s’engager, le bougre !);
– tout fier d’avoir ramené l’effondrement du taux de croissance provoqué par ses menées criminelles (il était de +4 % en 2010 avec SEM Laurent Gbagbo) de -6 à -5,3 %, évoquant même une projection de croissance de +8 % pour 2012 ! (au rythme actuel, et dans le meilleur des cas, on arriverait péniblement à 2,8 % fin 2012, et il faudrait au moins cinq ans pour atteindre ces mirifiques 8%.)
– enfin pour couronner l’ensemble, auto-promu, lui, le fraudeur invétéré, qui n’a cessé de mentir éhontément sur tout (ses origines, sa fortune, ses compétences, sa victoire aux élections…), en “terminator” de … la fraude.
Comme quoi, et plus que jamais, Ado solution, c’est PrestigitAdo rêve éveillé sur scène, cauchemar Adormir debout en coulisses…
Quant à la docte (?) assemblée de sinistres fantoches opportunistes suffisamment lâches ou pervertis pour cautionner une telle mascarade, en consentant à avaler autant de couleuvres, à céder au chant d’aussi piètres sirènes, à prendre d’aussi piteuses vessies pour autant de phares d’Alexandrie : çà a la couleur d’un gouvernement, le goût d’un gouvernement, mais ça n’est pas le gouvernement de Côte d’Ivoire, lequel est très provisoirement en prison ou en exil.
Eliahou Abel
résistanCIsraël
By: Abel Eliahou
L’Ennemi
Au lendemain de la prise d’assaut de l’ambassade israélienne au Caire par une foule déchaînée, et pour bien saisir les enjeux de ce qui se passe au Moyen-Orient, il importe de ne pas perdre de vue quelques repères.
Les révoltes du « printemps arabe » ont été largement suscitées et entretenues par l’Occident, États-Unis en tête. Mettant à profit l’usure du pouvoir des dirigeants en place – notamment en Tunisie et en Égypte – dans un contexte d’insatisfaction générale, les Tartuffes de l’Empire sont venus à point nommé se poser auprès des populations concernées en champions de leurs aspirations légitimes à la démocratie. La recette est fort simple : il suffit de relayer, à grand renfort de propagande médiatique, l’écho du mécontentement populaire, puis de livrer en pâture à des foules habilement téléguidées les « dictateurs » que les occidentaux eux-mêmes ont portés et maintenus au pouvoir pendant des décennies.
Ainsi, quand Israël « appelle au secours » Obama et Bloodhillary, avant de les remercier servilement pour leur intervention salvatrice, il se tourne en réalité vers les artisans de son malheur, les premiers à se frotter les mains devant les déboires de sa représentation diplomatique dans la capitale égyptienne.
Il serait en effet bien naïf de ne voir dans la montée en puissance d’un islamisme radical farouchement hostile aux accords de paix israélo-égyptiens que le fruit du hasard et d’une fatalité circonstancielle : tout cela a été voulu et préparé de longue date, l’essentiel étant, pour les maîtres du monde, de faire en sorte que le chaos s’installe et se pérennise, que le conflit israélo-arabe perdure et s’envenime, l’amplification exponentiellement favorisée de la « menace terroriste » permettant de justifier à l’avance toutes les dérives à venir de leur boulimie interventionniste.(1)
Tout cela, bien sûr, en veillant à ce que la situation ne dégénère pas en une conflagration à grande échelle, qui risquerait d’aboutir soit à la victoire définitive d’Israël soit à sa destruction : chacune de ces deux hypothèses représenterait en effet le pire des scénarios possible, puisque dans les deux cas, s’écroulerait tout l’édifice patiemment bâti autour du recyclage –lui aussi savamment élaboré dans les officines des confréries occidentales – de la vieille haine chrétienne anti-juive, parfaitement ruineuse et stérile, en haine musulmane anti-israélienne oh combien féconde et lucrative, puisque génératrice de conflits indéfiniment profitables.
Insécurité, attentats, destructions, terreur, précarité, fragilisation des institutions, constituent dans cette perspective autant d’ingrédients indispensables à la maîtrise, par les cartels militaro-politico-financiers, des réseaux complexes servant à occulter leur totale mainmise sur les ressources des pays déstabilisés; tandis que l’énormité des moyens mis en œuvre dans les domaines du renseignement, des médias de propagande, et de l’armement, leur garantit un contrôle de plus en plus exhaustif de tous les ressorts de l’existence des peuples de la région.
Quant aux multinationales de travaux publics en charge de la reconstruction, qui voient leurs gains se multiplier en fonction de l’ampleur des dégâts, elles surfent aujourd’hui littéralement sur la récurrence des vagues de destruction fomentées par leurs valets-mentors de la sphère politique franco-brittanico-américonusienne.
Peut-être serait-il temps, pour l’État d’Israël, de réaliser que ses « amis » et « protecteurs » occidentaux ne sont taraudés à son endroit que par une seule obsession : l’empêcher à tout prix d’être lui-même, et de devenir celui par qui leur domination de cendre, de meurtres, de pillages et de ruines prendra fin. Être et devenir ce qu’il est déjà – en dépit des efforts désespérés de ses vrais ennemis impériaux pour lui inculquer la haine de ceux qu’ils ont eux-mêmes délibérément destinés à le haïr – : un peuple épris de paix et de vérité, entièrement voué à l’établissement du règne d’une justice sans autre partage que celui de la compassion.
Peut-être serait-il temps pour les ennemis arabes et musulmans d’Israël, de réaliser qu’ils en ont toujours été réduits à jouer le rôle que les démiurges de Washington, New-York, Paris, Londres, Genève ou Bruxelles leur ont assigné dès l’origine : celui de porteurs du feu maudit que ces derniers n’ont fait mine d’expulser de chez eux que pour mieux en exploiter les ravages partout ailleurs dans le monde, et singulièrement en terre d’Islam; celui de « boucs émissaires » de l’antisémitisme de leurs ennemis : ces ennemis qu’ils croient combattre en combattant Israël, alors qu’ils ne font qu’exécuter par étapes le plan diabolique de ceux-là même qui, après avoir, chez eux, cherché à anéantir le corps du peuple Juif, n’auront de cesse qu’ils ne soient parvenus, en terre promise, à anéantir son âme.
A n’en pas douter, La tentative de création d’un état palestinien, va une fois de plus échouer. On va faire mine de s’en émerveiller, comme s’il s’agissait d’une victoire d’Israël, et de l’ajournement d’un grand danger; alors qu’il s’agira d’une nouvelle victoire des maîtres du monde – qui auront opté pour la relance d’un terrorisme indispensable à leur survie –, et de la cristallisation, pour Israël, d’un danger infiniment plus grave que toutes les menaces militaires : le danger consistant à demeurer dans le camp des complices de la Bête immonde, celle qui a nom mensonge, manipulation, profit coûte que coûte et sang versé; beaucoup de sang, comme celui des 20 000 victimes de la campagne de « protection des civils » menée par Sarkozy en Côte d’Ivoire, et des 60 000 morts de l’opération « humanitaire » de l’OTAN en Libye…
Peut-être serait-il temps pour chacun de nous, qu’il soit juif, musulman ou chrétien, de se résoudre à identifier le véritable ennemi, et de se préparer à le combattre par tous les moyens. Comprenons bien que face à un tel défi, aucune lutte étroitement nationaliste n’est plus à l’ordre du jour. L’Occident est sur le point de faire son unité, sous le signe de la violence et des ténèbres, et d’imposer sa gouverne infernale à l’Afrique et au monde musulman. Soyons de ceux qui, eux aussi, veulent faire leur unité sous le signe des promesses du D.ieu d’Abraham, Isaac et Jacob, et lutter de toutes leurs forces pour qu’Israël, aimé de quiconque a compris le sens de sa vocation d’ambassadeur du vrai Royaume, achève de sortir de son « Égypte » américano-européenne.
Qui que nous soyons, juif, musulman ou chrétien, appliquons-nous à guetter l’irruption, en pleine lumière et aux yeux du monde entier, de ce signe imminent et imprévisible de la Vie triomphante au cœur de l’histoire des hommes.
Eliahou Abel
résistanCIsraël
(1) L’instrumentalisation du terrorisme à des fins économico-politiques et militaires : telle est, ne l’oublions pas, la fonction première de la dixième commémoration par toute une Amérique pieusement recueillie de la tragédie des Tours Jumelles, comme ce fut la fonction première de la tragédie elle-même. Rappelons au passage que l’ « épouvantail » Ben Laden a toujours nié en être l’instigateur, et que l’enregistrement de sa revendication tardive de cet attentat sans précédent n’est qu’un faux grossier vendable aux seuls non arabophones.
(2) Est-il besoin de rappeler aux juifs qui lisent ces lignes qu’Amalek est un descendant d’Edom, et non de Yishma’ël ?
By: Eliahou Abel
Côte d`Ivoire-France-Afrique: L`ex N°2 de Gbagbo dit que 3 millions d`euros ont été versés à Chirac en 2002
ABIDJAN – L`ex-numéro 2 du régime du président déchu
Laurent Gbagbo en Côte d`Ivoire a affirmé dimanche à l`AFP que quelque trois
millions d`euros avaient été transférés d`Abidjan à Paris pour financer la
campagne électorale du président français Jacques Chirac en 2002.
Ces déclarations de M. Mamadou Koulibaly, actuel président de l`Assemblée
nationale, vont dans le sens des accusations de l`avocat français Robert
Bourgi, conseiller officieux pour l`Afrique du président français Nicolas
Sarkozy.
« Robert Bourgi a parfaitement raison il y a eu un transfert d`argent entre
Laurent Gbagbo (2000-2011) et Jacques Chirac, en 2002 » a déclaré M. Koulibaly,
faisant état « d`environ deux milliards de FCFA (environ trois millions
d`euros) transportés d`Abidjan vers Paris par valise ».
« J`ai dit au président (Gbagbo) que nous étions un pays pauvre et que nous
n`avions pas d`argent à financer des élections d`hommes politiques de pays
riches », a-t-il expliqué.
M. Koulibaly a ajouté avoir « rencontré Robert Bourgi à la table de Gbagbo
en 2002, venu solliciter de l`aide en vue d`un financement de la campagne
présidentielle en France ».
« Monsieur, vous êtes jeune, quand on veut faire de la politique on est
généreux », lui aurait répondu M. Bourgi devant son opposition.
M. Bourgi a affirme au journal français le Journal du dimanche (JDD) avoir
« participé à plusieurs remises de mallettes à Jacques Chirac » et avoir
également remis des fonds occultes à Dominique de Villepin, ex-Premier
ministre français.
Ce dernier a démenti les accusations tandis que l`avocat de M. Chirac a
annoncé que l`ex président allait porter plainte contre M. Bourgi pour
diffamation.
A Paris, un membre de l`entourage en France de M. Gbagbo a dit s`étonner
que les Français paraissent découvrir l`existence de versements de fonds
occultes africains à des personnalités politiques.
« Cela devait éclater un jour ou l`autre. Nous nous étonnons juste que ce ne
soit que maintenant que l`opinion publique française semble découvrir tout ça.
Et on s`étonne aussi que cela s`arrête à Dominique de Villepin », a-t-il
déclaré, sous couvert d`anonymat.
Ce genre d`accusations « ne sortira jamais de la bouche de Gbagbo, ce n`est
pas son genre », a ajouté cette source.
M. Koulibaly a lancé en aout son parti Liberté et démocratie pour la
République (Lider).
Il était devenu président par intérim du parti créé par M. Gbagbo après la
chute en avril de ce dernier ainsi que l`arrestation ou l`exil de la plupart
des hauts cadres du Front populaire ivoirien (FPI, ex-parti au pouvoir).
M. Koulibaly, aujourd`hui président de l`Assemblée nationale, avait suscité
d`importants remous dans le parti en émettant de fortes critiques sur
l`attitude de M. Gbagbo durant la crise et le comportement du FPI durant ses
années de pouvoir (2000-2011).
Nouvelles fraîches du président Gbagbo
Depuis ce matin, nous avons quelques nouvelles fraîches du président Gbagbo, des nouvelles qui nous viennent en grande partie de « Aujourd’hui » un quotidien ivoirien appartenant à la presse d’opposition en Côte d’ivoire que le régime Ouattara tente de museler.
Selon ce quotidien,
Depuis sa résidence surveillée de Korhogo, le président Laurent Gbagbo s’adonne à des intenses activités littéraires. Ses journées et ses nuits sont meublées pour la plupart par la lecture, la méditation et aussi le jeûne. Il s’est ouvert à des hôtes récemment.
Le président Gbagbo se porte bien, si l’on en croit les toutes dernières nouvelles qui nous sont parvenues de Korhogo avant-hier, et qui émanent de personnalités assermentées dignes de foi, nous rapporte ce quotidien.
Il s’en est confié, dimanche, lundi, mardi et mercredi derniers à des visiteurs, pendant 5 à 6 heures cumulées d’horloge. Par le truchement de ses hôtes, le président Gbagbo a transmis ce message à ses concitoyens : « Dites aux ivoiriens de garder espoir ; je me porte bien très bien. Je respire la grande forme physiquement et sur le plan moral et intellectuel, tout est parfait ! », a-t-il lâché entre deux causeries.
Son passe-temps favoris actuellement est la lecture. Il dévore livre après livre. Mais son livre préféré est la Bible. Le président a terminé en début de cette semaine sa deuxième lecture du Nouveau Testament ; et il a entamé depuis mercredi la relecture de l’Ancien Testament. « J’ai déjà lu la Bible, mais aujourd’hui j’ai plus de temps pour me consacrer entièrement et méthodiquement à la revisiter. J’ai donc redécouvert avec beaucoup d’émotions, les chapitres consacrés aux histoires de Daniel, Shadrak, Meschak et Abed Négo ainsi que le noble combat mené par la Reine Esther ; tous voués à une fin effroyable mais qui, au finish, ont bénéficié d’une délivrance spectaculaire de la part de Yahvé, l’Eternel Dieu des Armées. Je suis encore abasourdi par ces prodiges que Dieu a accomplis au temps jadis pour ses enfants », a commenté le Président Gbagbo.
Le président Gbagbo s’octroie également quelques temps de jeûne. « C’est surtout pour garder la ligne », plaisante-t-il avec l’hilarité qu’on lui connaît. Toujours selon ses visiteurs, l’hôte de marque de Korhogo fait du sport, principalement la marche dans la cour et les jardins abondamment feuillus de la résidence présidentielle, construite pour accueillir le président Houphouet Boigny à l’occasion de la célébration tournante des fêtes de l’indépendance, en 1965 à Korhogo.
La prière également fait parti de son quotidien. Il prie beaucoup, nous rapporte-t-on, « pour lui-même, pour sa famille, pour ses proches, pour ses collaborateurs, pour toute la Côte d’ivoire. Et, peut-être que cela va vous étonner, pour les dirigeants actuels du pays », poursuivent nos sources. Les personnalités qui ont rendu visite au Président Gbagbo dans la cité de Poro avaient les bras chargés de livres ; notamment des biographies de grands hommes d’Etat qui ont marqué l’histoire de l’humanité.
Télédiaspora
LIBYE: Massacre de Noirs par les « rebelles démocrates » (CNT)
The Associated Press a annoncé froidement le massacre d’un groupe de personnes noires installées dans un campement en face de la résidence présidentielle libyenne. Des dizaines de corps ont été retrouvés avec les mains attachées dans le dos.
L’agence précise que ce n’étaient pas des combattants. Michel Collon et la délégation qui s’étaient rendus sur place au mois de juillet avaient rencontré ces hommes qui aimaient la Libye.
MICHEL COLLON : « J’ai rencontré ces personnes lors de ma mission à Tripoli. J’ai pu converser avec certains. Ce n’étaient nullement des « mercenaires » comme nous le prétendent les « rebelles » et les médias. Les uns étaient des Libyens à la peau noire (une grande partie de la population est de type africain en fait), les autres étaient des civils venus de pays d’Afrique noire et séjournaient en Libye depuis longtemps. Tous soutenaient Kadhafi justement parce qu’il s’opposait au racisme et qu’il traitait Arabes et Africains sur pied d’égalité.
Au contraire des « rebelles » de Benghazi, connus pour leur racisme anti-Noirs et qui se sont rendus coupables d’atrocités épouvantables et systématiques dès les premiers jours de guerre. Le paradoxe, c’est que l’Otan prétend apporter la démocratie et qu’il s’allie à une section libyenne d’al Qaeda et à des racistes du type Ku Klux Klan ! »
Avec http://labasoche.wordpress.com
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MASSACRE MASSIF DES NOIRS EN LIBYE
DE CENTAINE DES MILLIERS DES NOIRS AFRICAINS SONT MASSACRES MASSIVEMENT PAR LES REBELLES LIBYIENS ET LES ARABES
S.O.S. pour la race noire en Libye, de centaine des milliers des noirs sont tués, massacrés en Libye délibérément et expressément sans distinction parce que la presse Occidentale et Arabe les considèrent comme des mercenaires au solde de Kadhafi, or tout le monde sait que des milliers des noirs Africains travaillent en Europe et en Libye comme des travailleurs immigrés et non comme des mercenaires.
Les racistes arabes et Européens profitent de la guerre en Libye pour exterminer les noirs Africains dans les pays arabes notamment en Egypte et en Tunisie, mais ce qui est triste, les accusations de la presse Occidentale qui amplifie les accusations des noirs Africains sont « des mercenaires de Kadhafi » pour que les arabes les massacrent. Les images des Tunisiens refusant de donner de l’eau et de la nourriture aux noirs, les « frappant même cet acte est félicité par la presse Occidentale et Arabe. Toute la presse occidentale sans distinction accuse les noirs Africains. « Les autorités du monde et le Secrétaire Général de l’ONU Ban ki-moon sont responsables de l’extermination des noirs dans les pays arabes ».
Je tire un signal d’alarme pour que les humanitaires du monde sauvent les noirs africains et je demande en particulier aux Présidents Africains de faire quelque chose.
L’Union Africaine ne fait rien alors que les pauvres travailleurs immigrés sont tués et massacrés par les arabes. Sauvons les Africains noirs.
Paris, le 02/03/2001
Jean-Jacques NGANGWESHE
Tél. (00) (33) 643793274