Alassane Dramane OUATTARA
Also known as « ADO »
(born 1 January 1942) 67 years old
Website: http://www.adosolutions.ci/ado/home.php
Contact: http://www.adosolutions.ci/ado/lire.php?link=contact
Representing the RDR (Rally of Republicans) Political Party in 2010 Presidential Elections in the Ivory Coast
Statement
(French version: http://www.adosolutions.ci/ado/lire.php?link=politique)
(Translation by Sara Atteby)I am running in the next presidential election because I love my country; I want and I can be useful to my countrymen and women.
So it is for you, for your family and for Côte d’Ivoire (Ivory Coast) that I present myself.I am the candidate of the Union for Peace and Change
If you trust me, together, in new found peace and in an unshakable faith in our nation, we will make every Ivorian, all Ivorians, Men and Women, happy and prosperous.Alassane Ouattara
Work History
- Aug. 2007 – Now: Re-elected as President of the RDR
- Aug. 1999 President of the RDR
- Jul. 1994 – Jul. 1999: Deputy Managing Director at IMF (International Monetary Fund)
- Nov. 1990 – Dec. 1993: Prime Minister of Côte d’Ivoire (sworn in on November 7, 1990). Carried out presidential duties while Houphouët-Boigny was ill from Mar. 1993 to Dec. 1993
- Apr. 1990 – Nov. 1990: Chairman of the Interministerial Committee for Coordination of the Stabilization and Economic Recovery Programme of Côte d’Ivoire (Appointed by President Félix Houphouët-Boigny)
- Oct. 1988 – Nov. 1990: Governor of the BCEAO (Central Bank of West African States) sworn in on December 22, 1988
- Nov. 1984 – Oct. 1988: Director of the African Department at the IMF (International Monetary Fund)
- Jan. 1983 – Oct. 1984: BCEAO (Central Bank of West African States) Vice Governor
- Feb. 1975 – Dec. 1982: BCEAO (Central Bank of West African States) Special Advisor to the Governor and Director of Research
- 1973 – 1975: BCEAO (Central Bank of West African States) Chargé de Mission in Paris
- 1968 – 1973: Economist for the IMF (International Monetary Fund) in Washington, D.C.
Education
1972: PHD in Economic Sciences
1967: University of Pennsylvania Master of Arts in Economy
1962: Drexel Institute of Technology Bachelor of Science in Informatics
Family
Currently married to Dominique NOUVIAN: Entrepreneur and President & founder of Children of Africa Foundation (Also with two children from a previous marriage: Loïc et Nathalie FOLLOROUX)
First wife: Barbara JEAN DAVIS
With whom he had two children: Dramane David and Fanta Catherine OUATTARA (who has two children: Eric Alassane et Alexis Lanciné).
Religion
Practicing Muslim, his wife Dominique NOUVIAN is Catholic.
Hobbies
- Football (Soccer)
- Basketball
- Swimming
- Ping-pong
- Reading
Representation in the Diaspora:
United Kingdom: http://www.rdruk.org/
USA: http://www.rdrci.org/sections/masection/usanews.asp
koudou dit
LES ERREURS ECONOMIQUES D’ALLASSANE OUATTARA
Le défi majeur de celui qui sera élu au soir du 28 novembre 2010 comme président de la Cote D’Ivoire sera d’ordre économique. Un historien (Laurent Gbagbo) affronte un économiste (Allassane Ouattara). Certains Ivoiriens se plaisent à dire que puisque ADO est économiste, il faut lui confier le pays pour le relever. Mais nous pensons humblement que ADO, comme grand économiste n’est qu’un mythe au regard de ses nombreuses “erreurs” économiques commises lorsqu’il était premier ministre de Cote d’Ivoire sous un Houphouët Boigny très malade.
Analyse:
Les 3 erreurs économiques commises lors de la privatisation de la CIE(électricité), SODECI(eau), Cote d’Ivoire Telecom(télécommunications).
Gestion des Risques
La diversification est la première méthode de gestion (réduction) des risques dans tout investissement ou opération financière. Lors de la privatisation des 3 compagnies sus citées ADO a cédé 3 secteurs stratégiques de l’économie Ivoirienne (énergie, eau, télécom) à un seul groupe d’intérêts ; notamment les intérêts français. L’absence de diversification et donc la concentration de ces secteurs dans les seules mains de la France a travers ses entreprises Bouygues et France Telecom a accru le risque spécifique pays de la Cote d’Ivoire vis-à-vis de la France. Cette situation a affaiblit la position stratégique de la CI vis-à-vis de la France qui avait tout le loisir de mettre les dirigeants et l’armée ivoirienne sur écoute et d’opérer d’autres actes anti citoyens au niveau de l’eau et l’électricité afin d’affaiblir l’état de Cote d’Ivoire. La sagesse populaire recommande de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier ; ADO, contre tout bon sens de gestion économique a mis pratiquement tous les ‘œufs’ de la CI dans le panier de la France. Nous comprenons donc pourquoi la France s’évertue tant (a travers ses militaires, ses rebelles, et ses medias) a imposer ADO a la tête de la CI pour venir terminer ce qu’il avait commence pour elle. En effet les pays n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts. Les intérêts de la France en CI sont contraires a ceux de la CI en CI. Si la France supporte tant ADO c’est qu’ils ont les mêmes intérêts. Etant donne que leurs intérêts en CI convergent, ADO ne veut pas être président pour défendre les intérêts économiques de la CI mais plutôt pour servir les intérêts coloniaux de la France, leur brader nos ressources minières, minérales, et le peu d’entreprises viables (SOTRA, SIR, PETROCI…) qui nous restent.
Evaluation
En économie, la valeur d’une entreprise est déterminée par l’actualisation des flux financiers futurs. Plus ces flux sont élevés, plus l’entreprise a de la valeur. Les bonnes perspectives dans l’avenir permettent d’avoir des flux prévisionnels élevés et par conséquent une grande valeur de l’entreprise. La CIE, la SODECI et Cote d’Ivoire TELCOM sont des entreprises dont la clientèle est très urbaine. Compte tenu du fort taux d’urbanisation de la population Ivoirienne dont près de 50% vit en zone urbaine aujourd’hui et des programmes d’électrification villageoise, un économiste verrait la de bonnes perspectives d’intensification de la demande de ces entreprises et maximiser leurs valeurs. En plus la CI est un pays a fort taux de croissance démographique, ce qui sous entend que la demande pour ces entreprises a un fort potentiel de croissance. Enfin ces entreprises opèrent dans un marché monopolistique dans leurs differents domaines de production, excluant la menace de concurrents potentiels et leur garantissant leurs parts de marché. Toutes ces raisons économiques leur assuraient des flux prévisionnels élevés à faible risque. Elles auraient du être cédées au prix fort. Malheureusement l’économiste ADO n’a pas vu ce potentiel et les a sous évaluée afin de les brader a ses amis et partenaires financiers que sont Bouygues et autres.
3) Objet
La privatisation est définie comme la cession des droits de propriété d’une entreprise publique aux investisseurs privés. Le but étant d’améliorer la performance et la rentabilité de l’entreprise. Or dans le cadre de la privatisation en CI, l’économiste ADO a cédé Cote d’Ivoire Telecom, entreprise publique ivoirienne a France Telecom, entreprise publique française. S’agit il ici d’une privatisation ou plutôt d’un transfert de propriété de l’état de Cote d’Ivoire a l’état français ? Quel était le but d’une telle opération si ce n’est d’accroître le contrôle et l’hégémonie de l’état français sur l’état de Cote d’Ivoire.
La dévaluation du franc CFA
La dévaluation d’une monnaie n’est pas mauvaise en soi car elle peut permettre a un pays d’améliorer sa balance commerciale grâce a la baisse relative du prix de ses produits d’exportation sur le marche international. Mais elle est mauvaise lorsqu’un pays y est contraint. Dans le cas des pays de la zone franc elle s’est avérée mauvaise car les produits d’exportation de ces pays sont des matières premières dont les prix sont fixés sur le marché international en dollar et non en CFA. Les prix de ces matières n’ont donc pas bénéficié d’une compétitivité prix due à la dévaluation. Au contraire, étant de grands importateurs de produits manufacturés, leur dette a doublé. Ainsi Air Afrique dont la dette libellée en monnaies étrangères a mécaniquement doublé pour atteindre l’équivalent de 300 milliards de FCFA, précipitant la faillite de cette multinationale d’intégration africaine économiquement viable mais qui n’avait que des problèmes de gestion et ouvrant la voie a Air France pour exercer un quasi monopole de fait sur le marche de l’Afrique noire francophone. Si la dévaluation a été nécessaire c’est qu’il y avait problème. Comment peut il y avoir problème lorsque nous avons eu la ‘chance’ d’avoir le grand économiste ADO a la tête de l’économie de la première puissance économique de la zone franc (Cote d’Ivire) pendant 5 ans (1989 – 1993) dont la mission était justement de trouver une solution a l’économie du pays. ADO avait demandé 100 jours, ensuite 1000 jours, il lui a été donne 5 ans sans qu’il réussisse a trouver la solution a la crise économique de la CI alors que le pays disposait des ressources du nord comme du sud dans un climat de paix. L’échec d’ADO vient de l’application d’une politique néo libérale (consensus de Washington) sans égard au volet social, par une réduction de la demande globale due a la diminution du revenu des ménages par la réduction des salaires et les nombreux licenciements. La tendance de paupérisation a commencé par la, sans retombées économiques significatives en terme de croissance (taux de croissance négatif du PIB en 1993). La dévaluation est venue comme une sanction de l’échec de la politique économique du ‘grand’ économiste ADO.
Réfléchissons :
Comment un si grand économiste peut il commettre des erreurs aussi triviales que même un novice ne commettrait pas ? Nous pensons qu’il est soit incompétent malgré ses diplômes soit de mauvaise foi. Dans un cas ou dans l’autre le mettre à la tête de la CI serait une erreur. En effet, le programme économique d’ADO qui était un plan d’ajustement structurel (PAS) a montre ses limites en matière de développement car ils sont conçus selon le Washington consensus sans tenir compte des spécificités de chaque pays comme l’a décrié Joseph Stieglitz (prix Nobel d’économie et ancien économiste en chef de la Banque Mondiale).
Si au contraire il est de mauvaise foi cela confirmerait les propos d’un journaliste qui disait ADO vend et rachète (parlant de sa politique de privatisation). ADO porte sur ses épaules trop d’intérêts étrangers (France et autres pays de la sous région) qu’il s’attellera a satisfaire avant de penser aux intérêts de la CI notre pays. Que chaque Ivoirien fasse son choix en connaissance de cause et pense a l’avenir des enfants de nos enfants car la COTE D’IVOIRE doit appartenir aux IVOIRIENS.
DIEU bénisse la Cote d’Ivoire.
Matthew Odhiambo dit
Drawing a parallel between the case of a dispute of Ivory Coast’s presidential election and that of Kenya’s bungled presidential election results, one sees application of completely different logic and reactions by foreign institutions to what was done in the case of Kenya. This is interesting!