
Affi N’guessan: « l’opposition doit être inclusive » face à Ouattara

Ivoiriens de l'étranger | Diaspora Ivoirienne | Ivory Coast
Le site de la Diaspora ivoirienne et des Amis de la Côte d'Ivoire
Serge Daniel Atteby est le Directeur de publication de IvoireDiaspo
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Les Ivoiriens, avec les avancées constatées dans le processus électoral, notamment avec l’affichage de la liste électorale provisoire de 5.775.000 Read more
La rencontre d’information et de mobilisation des partisans de Laurent Gbagbo à Saïoua, le vendredi 30 juillet, a finalement tourné Read more
L’information avait fait l’effet d’une bombe. Elle a circulé d’abord sous forme de rumeur, avant d’être confirmée par les médias Read more
“Nous population du thoron savons que le candidat Gbagbo est celui qui pourrait, la paix et la cohésion retrouvée, nous Read more
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Transcription:
« Avant quand les gens disaient qu’il est Burkinabé, nous les Nordistes ont s’est senti insulter.
On pensait que les gens le traitaient de Burkinabé parce qu’il est Nordiste. On pensait que les gens mentaient sur lui en lui collant une nationalité parce qu’il est Nordiste.
Voilà pourquoi nous les Nordistes ont s’est mobilisé derrière lui car on disait que son combat, c’est le combat de tous les Nordistes.
Mais avec peu de recul, quand tu tombes sur une vidéo où lui même il dit que son père a été chef de tribu à Sindou, on comprend alors que les gens n’ont rien inventé à son sujet.
Quand il travaillait au FMI, il ne s’est jamais présenté comme in Ivoirien. Tous les journaux et télévisions de l’époque l’ont toujours présenté comme un Voltaïque ( Burkinabé ).
Quand son père est mort, il ne l’a pas enterré à Kong qui est tout près là, il est allé l’enterrer à Sindou loin là-bas, les journalistes étaient présents.
Donc chers frères IVOIRIENS du Nord, l’histoire de Zokou n’est pas l’histoire des Nordistes.
Donc si les gens disent qu’il est Burkinabé, ils n’ont pas parlé des Nordistes, ils ont parlé de Zokou lui et lui seul.
Pourquoi personne ne traite de Hamed BAKAYOKO de Burkinabè?
Pourquoi personne ne traite de SORO GUILLAUME de Burkinabè?
Pourquoi personne ne traitait de Amadou Gon Coulibaly de Burkinabè?
Même Fologo qui est Senoufo et qui a mangé dans tous les gouvernements personne ne le traite de Burkinabé.
Mais c’est toujours Zokou que les gens traitent de Burkinabé.
Pour vous dire que l’histoire personnelle de Zokou n’est pas l’histoire de tous les Nordistes.
Donc arrêtons de croire que parce que lui on le traite de Burkinabé que cela veut dire les gens traitent les Nordistes de Burkinabé.
Zokou a vécu à Sindou, il a enterré son père là-bas, toi IVOIRIEN du Nord tu n’as jamais mis les pieds à Sindou donc ton histoire, c’est ton histoire.
Donc si les gens disent qu’il est Burkinabé, ils n’ont pas parlé des Nordistes. »
Les Ivoiriens, avec les avancées constatées dans le processus électoral, notamment avec l’affichage de la liste électorale provisoire de 5.775.000 Read more
La rencontre d’information et de mobilisation des partisans de Laurent Gbagbo à Saïoua, le vendredi 30 juillet, a finalement tourné Read more
L’information avait fait l’effet d’une bombe. Elle a circulé d’abord sous forme de rumeur, avant d’être confirmée par les médias Read more
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by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
L’église catholique de Côte d’Ivoire, par la voix du cardinal Jean-Pierre Kutwa, archevêque d’Abidjan a s’est prononcée sur la situation sociopolitique qui prévaut actuellement en Côte d’Ivoire, à deux mois de l’élection présidentielle du 31 octobre.
Par la voix du cardinal, léglise catholique s’insurge contre le 3è mandat de monsieur Ouattara et soutient qu’il est mieux pour l’instant de panser les plaies de la division pour éviter de foncer droit dans un chaos qui verrait » le présent et l’avenir de notre pays être dévorés par l’épée et le feu ».
Pour éviter que plus de sang innocent coule en Côte d’Ivoire, le pasteur invite tous, sûrement Ouattara en premier, au respect de la loi.
Ci-dessous le message complet du cardinal Jean-Pierre Kutwa
Chers compatriotes,
Dans la Bible, lorsque Caïn tua son frère Abel et que Dieu lui demanda où était son frère, il répondit qu’il ne savait pas et qu’il n’était pas le gardien de son frère (Gn.4,25). Qu’ils le confessent ou non, les disciples de Caïn sont ceux qui refusent de veiller sur leurs frères, ceux qui se montrent indifférents face à la détresse ou à la souffrance d’autrui. Dans ces circonstances, le silence peut être synonyme de lâcheté et de complicité avec l’iniquité !
Ma présente démarche qui consiste à nous interpeller, face à la crise que nous vivons actuellement s’inscrit dans un souci de contribuer à la recherche des voies et moyens, non seulement d’un vivre ensemble, mais d’un vivre ensemble dans l’unité. C’est bien ce que suggèrent les paroles du psalmiste quand il affirme : « qu’il est bon qu’il est doux pour des frères, de vivre ensemble et d’être unis » (Ps 133,1)
La vie socio-politique de notre pays aborde un virage dangereux. Au fur et à mesure que s’approche l’échéance des élections présidentielles, force nous est donné de constater la radicalisation des positions de part et d’autre. Celles-ci se sont d’autant plus accentuées depuis la déclaration de candidature du Président de la République le 06 août 2020.
Certains citoyens ont pris les rues pour appeler au respect de la Constitution, qui, selon eux, venait ainsi d’être violée. D’autres ont pris à contrepied ces manifestations. Cette situation a conduit à des violences inacceptables. Des citoyens d’un même pays, armés de gourdins, de pierres, de machettes et d’armes à feu, se sont livrés à des massacres d’un autre âge, causant, comme il fallait s’y attendre, des morts et d’innombrables blessés, sans compter des dégâts matériels.
Devant un tel spectacle désolant et déshonorant pour notre pays et pour l’Afrique, peut-on honnêtement rester inactif et passif, pour ne pas dire indifférent? Peut-on garder le silence et laisser le présent et l’avenir de notre pays être dévorés par l’épée et le feu ? J’ai cependant gardé un long temps de silence, dans le recueillement et la prière. Je me suis contenu dans l’espoir que la sagesse habite les uns et les autres. Mais l’allure que prennent les évènements, avec les incertitudes qu’ils cachent, m’oblige à sortir de ma réserve pour ne pas être complice des graves dérapages que nous avons connus en si peu de jours, et que nous ne souhaitons pas revivre.
Ma responsabilité de pasteur se trouve engagée devant la nation, devant l’histoire de notre pays, devant le monde entier. Il s’impose donc à moi de dire une parole de consolation, qui en même temps, invite à la non-violence, au dialogue, au respect du droit et des lois, toutes choses sans lesquelles l’on ne peut bâtir un État moderne et paisible. On ne le dira jamais assez, il n’ya pas de paix sans justice et il n’ya pas de justice sans pardon. Voilà ce que je veux rappeler à ceux qui ont entre leurs mains le sort de nos populations, afin qu’ils se laissent toujours guider dans les choix graves et difficiles qu’ils doivent faire par la lumière du bien véritable de l’homme, dans la perspective du bien commun.
Le cœur meurtri de douleur, je me tourne vers les villes, les villages, les familles dont les membres ont été victimes d’atrocités. Certaines personnes ont trouvé la mort, d’autres grièvement blessés ; des biens acquis depuis de longues années ont été détruits. Je prie pour que les morts reposent en paix et que le Dieu en qui nous croyons, nous console ! Qu’il donne la guérison aux blessés et à ceux qui ont subit un traumatisme psychologique dû à l’inhumanité des actes dont ils ont été témoins ou même victimes.
Comment peut-on s’accommoder d’une telle tragédie, au point de ne pas s’indigner devant une violence qui a pris l’allure d’une norme ? Je ne puis me taire plus longtemps. J’en appelle solennellement à la conscience individuelle et collective afin qu’un terme soit mis à la violence et que place soit faite au dialogue.
La Côte d’Ivoire notre pays, est un pays de dialogue par tradition. Rappelons-le-nous ! Ne mettons pas le dialogue sous éteignoir pour emprunter des chemins qui n’honorent pas notre cher pays. Tout dialogue suppose deux individus ou des groupes d’individus. Tout dialogue implique le courage de regarder l’autre en face pour entrer en communication avec lui. L’on ne peut dialoguer sans faire un pas pour rejoindre l’autre. J’invite instamment tous les ivoiriens à renouer avec le dialogue pour que la parole, respectueuse des différences, prenne le pas sur les velléités d’embraser le pays.
Chers compatriotes,
Vous m’êtes témoins que je n’ai eu de cesse d’élever la voix pour nous supplier de nous accorder les uns aux autres, le pardon, chemin de réconciliation. La réconciliation est, nous le croyons tous, l’acte qui, après une crise, permet aux antagonistes de se retrouver et de repartir sur de nouvelles bases. Sans elle, aucune cohésion sociale n’est possible, puisque la rancœur, blottie dans notre subconscient, n’attend qu’une occasion pour refaire surface et briser la cohésion sociale tant recherchée.
Vous conviendrez avec moi qu’un environnement délétère n’augure rien de bon quant à l’organisation des élections. Comment, en effet, dans une ambiance perturbée par des récriminations et des malentendus autour des questions fondamentales, pourrait-on aller à des élections dignes de ce nom ? En vérité, la réconciliation est plus importante que les élections. Voilà pourquoi, il est totalement erroné de penser qu’il suffit d’organiser des élections, d’en déclarer un vainqueur, pour que les cœurs meurtris soient guéris et que la paix s’installe. J’ose encore une fois nous supplier : laissons-nous réconcilier les uns avec les autres ! Tout le reste ira de soi.
L’un des moyens pour aller à la réconciliation, est le respect des lois que l’on se donne bien plus que les élections. C’est ici que la maxime latine prend tout son sens : « Dura lex, sed lex : la loi est dure mais c’est la loi ». Cette pensée invite au respect de la loi même quand elle nous contrarie et va à l’encontre de nos intérêts du moment. Des explications des rédacteurs de la Constitution ont été suffisamment abondantes et partagées avec la population. De même, des communications par l’exécutif sur les sites officiels ont été faites pour expliquer la Constitution. A notre avis, il ne devrait pas avoir de lectures différentes, sources des affrontements actuels. Malheureusement la loi fondamentale de notre pays semble nourrir les violences, en ce que des écoles d’interprétations s’opposent et influencent la population qui s’engouffre dans des actes de revendications ou contre-revendications violentes. Pour ma part je crois que de tels conflits ne devraient pas avoir leur raison d’être.
En tout état de cause, qu’il me soit permis d’inviter tous les ivoiriens à emprunter les chemins scientifiques pour sortir de cette crise née de la compréhension de la loi qui fonde toutes les autres. Cela ne peut se faire à coup d’invectives, de machettes et de canons. En parlant de chemins scientifiques, je fais ici référence aux intellectuels, hommes de science capables d’indépendance intellectuelle et d’exégèse méthodique des textes, et notre pays n’en manque pas, pour que la lecture de sa loi fondamentale soit livrée à des courants politiques, au point qu’elle signifie à la fois une chose et son contraire, selon l’intérêt que l’on défend. A quoi servirait une boussole qui indique un jour le Nord, et un autre jour le Sud, selon les lunettes que l’on porte ? La loi fondamentale, qui peut être regardée comme une boussole, ne peut signifier, à la fois, une chose et son contraire.
Je voudrais inviter les uns et les autres à aller au dialogue et à la concertation, dans la recherche de solutions à cette crise qui n’augure pas d’un lendemain meilleur quant à l’organisation paisible des élections. J’insiste encore une fois pour vous rappeler que le respect de la loi est plus important que les élections.
La loi fondamentale de la Côte d’Ivoire s’ouvre par la reconnaissance des droits, des libertés et des devoirs par l’État (Cf art 1). Quel commentaire en faire sinon que, pour le législateur, ce triptyque forme un corps dont découle tout le reste. Le droit, les libertés et devoirs sont primordiaux dans toute société moderne, et l’État de Côte d’Ivoire s’est engagé à prendre les mesures pour son application effective. Les évènements de ces jours-ci laissent entrevoir que beaucoup restent à faire dans le rappel à tous des droits, des libertés et des devoirs, des individus et des collectivités. Cela ne peut se faire que loin des bruits d’intérêts électoralistes.
Seule la recherche du bien commun permettra à l’Etat et à ceux qui l’incarnent d’aider les citoyens à la connaissance et au respect des droits, des libertés et des devoirs de tous. Si le droit de la personne humaine, en général, et à la vie en particulier, est inviolable (Cf art 1-2), l’on ne peut le sacrifier sur l’autel des intérêts particuliers et des élections censées nous apporter la paix et le développement. Ma conviction profonde reste que le respect des lois est plus important et honore plus que la victoire à une élection.
Chers compatriotes,
Il est de notoriété que la force de la loi est et sera toujours à préférer à la loi de la force. Le premier est un chemin vers la paix dans le respect des droits, des libertés et des devoirs quand le second lui, est une voie qui éloigne de nous la paix et installe le désordre. Puissions-nous, dans un esprit civique et de concertation, donner à la loi toute sa force pour qu’elle nous aide à vivre dans la justice, la réconciliation et la paix, en vue d’une organisation consensuelle d’élection sans violence.
Je ne peux pas ne pas me tourner avec respect vers le Président de la République, chef de l’Etat dont la candidature à ces prochaines élections, n’est pas nécessaire à mon humble avis. Son devoir régalien de garant de la Constitution et de l’unité nationale appelle son implication courageuse, en vue de ramener le calme dans le pays, de rassembler les ivoiriens, de prendre le temps d’organiser les élections dans un environnement pacifié par la réconciliation. Comme le dit si bien un adage de chez nous : « on ne reste pas dans les magnans pour enlever les magnans. »
Je prie pour que chacun, dans l’exercice de sa responsabilité, ait la sagesse pour tout accomplir dans le strict respect des lois : que les appuis et les revendications se fassent dans le strict respect de la Constitution, particulièrement en ce qui concerne le respect du droit à la vie, droit inviolable selon notre Constitution (Cf art 3). Toute injustice sous quelque forme qu’elle se présente provoquera le désordre. Seule la justice qui reconnait à chacun ses droits et devoirs nous apportera la paix.
Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire et nous accorde sa paix !
Donné à Abidjan, le 31 août 2020
Jean Pierre Cardinal KUTWA
Archevêque d’Abidjan
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by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Au moins quatre personnes sont mortes mercredi et jeudi en Côte d’Ivoire, dans des violences liées à la candidature controversée du président Alassane Ouattara à un troisième mandat lors de l’élection présidentielle du 31 octobre.
Plusieurs mouvements d’opposition avaient appelé à manifester jeudi contre cette candidature.
Un jeune de 18 ans a été tué jeudi à Bonoua (sud-est) au cours de heurts avec les forces de l’ordre, a annoncé à l’AFP Jean-Paul Améthier, le maire de la ville située à 50 km d’Abidjan, ancien fief de l’ex-première dame Simone Gbagbo.
« Le commissariat de Bonoua a été saccagé par les manifestants en colère », a témoigné Hervé Niamkey, un habitant de la ville.
La situation est tendue dans cette ville traversée par une voie internationale qui relie Abidjan au Ghana.
Des violences ont aussi éclaté à Daoukro, bastion de l’ancien président Henri Konan Bédié, également candidat à la présidentielle.
« Le calme revient timidement, mais nous déplorons trois morts » a indiqué une source sécuritaire, sous couvert de l’anonymat. Des témoins ont aussi fait état de trois morts lors d’affrontements entre des partisans d’Henri Konan Bédié et des jeunes favorables à Ouattara.
D’autres heurts ont eu lieu jeudi entre manifestants et force de l’ordre, notamment dans la capitale économique Abidjan. Les autorités avaient interdit les manifestations.
Le président Alassane Ouattara, 78 ans, élu en 2010 puis réélu en 2015, avait annoncé dans un premier temps en mars passer le relais à son Premier ministre Amadou Gon Coulibaly. Mais celui-ci est décédé le 8 juillet d’un infarctus. Après ce décès, Alassane Ouattara a annoncé le 6 aout qu’il briguerait finalement un troisième mandat.
La Constitution limite à deux les mandats présidentiels, mais opposition et pouvoir sont en désaccord sur l’interprétation de la réforme adoptée en 2016: les partisans de Ouattara affirment qu’elle a remis le compteur des mandats à zéro, ses adversaires jugent anticonstitutionnelle une troisième candidature.
Avec AFP
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by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Johannesburg, 23 novembre 2019 – La société sud-africaine OPENN Africa annonce que le groupe Magic Diezel ne participera pas aux « Etoiles du Fromager » prévues le samedi 6 décembre 2019 à Paris, faute d’avoir obtenu des garanties sérieuses des organisateurs.
Certes, des négociations ont été entamées dès la mi-octobre 2019. Mais en l’absence de garanties contractuelles minimales et d’alternative, OPENN Africa se voit contrainte de devoir annuler la présence de Magic Diezel aux « Etoiles du Fromager ».
Dj-Luciano
Billy Billy
Dobe Gnahoret
Eugenie-artiste-baoulé
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
CPI/ Le procès contre Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé pour crimes contre l’humanité est relancé à la cour pénale internationale. Ce lundi, la procureure Bensouda a fait appel de l’acquittement de Charles Blé Goudé et de Laurent Gbagbo par la Chambre préliminaire 1 présidée par le juge Cuno Tarfusser.
Au vu de « l’extrême faiblesse » du dossier de l’accusation, le juge président Tarfusser avait décidé, le 15 janvier 2019, avec le juge Geoffrey Henderson contre la juge Olga Herrera-Carbuccia d’acquitter immédiatement l’ex-président ivoirien et son ministre. Mais Fatou Bensouda avait promis faire appel suite à cette décision.
C’est donc dans la logique normale des choses qu’elle a introduit ce jour son appel. Ce qui relance le procès.
En effet, la 3ejuge Olga Herrera-Carbuccia ne s’était pas jointe aux deux autres pour une décision unanime, parce qu’elle considérait qu’il y avait dans le dossier des germes d’un nouveau procès ou du moins pour poursuivre celui qui était déjà en cours.
Aucune date n’est encore arrêtée pour la suite du procès mais selon le chronogramme de la CPI, la procureure doit remettre son mémoire en décembre, ensuite les avocats devront répondre avant que les juges ne décident.
Par Serge Atteby
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