Le colonel Ludovic Pinon, chef de corps du 1er régiment de Spahis de Valence, a pris le commandement des Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) au cours d’une cérémonie militaire sur le camp de Port Bouët, le samedi 21 février 2015. Il succède au colonel Nicolas Chabut, dernier commandant de la Force Interarmées Licorne (Mandat 35) et premier chef des FFCI crées le 21 janvier 2015.
Cinq jeunes decédés dans un accident de la circulation à Abidjan
La vie nous joue parfois des tours bizarres. Cinq jeunes gens dans le courant des fêtes ont voulu s’amuser dans l’un des nombreux bars que compose la ville d’Abidjan. C’est ainsi qu’a bord de leur nouvelle voiture BMW ils prirent la route. Ils sortaient dans le but d’aller passer du bon temps et revenir à la maison préparer une nouvelle soirée, mais comme le dit l’adage, l’homme propose et Dieu dispose. A leur retour ils furent violemment percutés par un camion. La voiture s’est retrouvée en débris et les cinq jeunes sont morts sur le champ.
Par Boris A.
LE PRIX DU PAIN AUGMENTE A ABIDJAN

prix du pain augmente à Abidjan
Grosse colère de la population ivoirienne car pendant plus de 10 ans la baguette de pain qui était à 150f l’unité a connu une hausse des prix depuis hier. Elle est passée au prix de 200f l’unité dans certaines boulangeries. Cette hausse du prix du pain n’est pas appréciée par la population qui se dittrès surprise vu que le panier de la ménagère atteint déjà des proportions insupportables.
Par Boris A.
Jeune Afrique révèle que Compaoré est le parrain de la rébellion de Guillaume Soro et IB contre Gbagbo, et le lieutenant-Colonel Zida, son interface entre les rebelles et lui
La rébellion qui a éclaté en septembre 2002 en Côte d’Ivoire n’en finit pas de livrer ses secrets.
Douze ans après l’éclatement de cette insurrection armée, on en sait un peu plus sur les connections supposées entre le Burkina Faso et ces ex-rebelles qui avaient occupé le Nord ivoirien durant plus d’une décennie.
A en croire le confrère Jeune Afrique, les autorités burkinabé d’alors étaient bel et bien impliquées dans cette rébellion, au plus haut sommet. En effet, révèle l’hebdomadaire dans son édition à paraître cette semaine, l’actuel homme fort du Burkina, le Lieutenant-colonel Isaac Zida, avait partie liée avec les soldats qui avaient annexé le Nord de la Côte d’Ivoire des années durant.
L’ex-n°2 de la garde rapprochée de Blaise Compaoré était en connexion avec les ex-Forces nouvelles au plus fort de la rébellion, a soutenu dimanche 16 novembre 2014, sur Rfi, le Directeur des rédactions de Jeune Afrique, François Soudan. « Il a joué un rôle non négligeable en Côte d’Ivoire dans les années 2000 », avance le confrère, avant de se faire plus précis : « Il était une interface entre Diendéré et les Forces nouvelles ; il est allé sur le terrain à plusieurs reprises. C’était, disons, l’opérationnel à l’époque où les mercenaires burkinabé étaient légion en terre ivoirienne ».
En établissant un lien entre le Colonel Zida qui « fait partie de la garde présidentielle( de Compaoré) depuis 18 ans », et les ex-rebelles, l’on met au jour l’implication des plus hautes autorités burkinabé dans la naissance des mouvements armés à l’origine de l’insurrection du 19 septembre 2002. D’autant que, croit savoir le confrère, le général Gilbert Diendéré, un des proches parmi les proches de l’ex-président Compaoré, était le « père militaire » du Colonel Zida. Autant d’éléments qui amènent Jeune Afrique à mettre en doute le démenti de l’ex-leader de la rébellion, Guillaume Soro quant aux liens entre le Burkina et les ex-rebelles du Nord. « Il est évident que Zida était dans le coup, même si, en réalité, le véritable officier, c’était Djindjéré. Mais Zida a joué un rôle », soutient fermement son directeur des rédactions.
Source: L’Inter par Assane NIADA via Ivoirebusiness
Abidjan : retour au calme après d’importantes manifestations de militaires
(AFP) – Des centaines de militaires ivoiriens qui avaient manifesté la veille pour obtenir de l’avancement et de meilleures soldes ont mis fin mercredi à leur mouvement après une promesse du gouvernement de satisfaire leurs revendications, a-t-on appris de sources concordantes.
« Le calme est revenu dans les casernes et partout dans le pays », a déclaré à l’AFP un officier sous couvert d’anonymat.
« Les manifestants attendent le résultat de la rencontre » prévue ce mercredi entre le ministre de la Défense et les représentants de chaque unité en vue « d’arrêter les modalités de règlements des décisions gouvernementales », a poursuivi la même source.
La vague de protestation est partie de Bouaké, capitale de la rébellion qui contrôlait le nord du pays de 2002 à 2011, durant une crise politico-militaire qui fit des milliers de morts et pendant laquelle la Côte d’Ivoire fut coupée en deux.
Le mouvement s’est ensuite étendu à Abidjan, la capitale économique, Ferkéssédougou et Korhogo, deux villes du nord, ainsi que Bondoukou et Abengourou, dans l’est.
« Nous sommes à nos postes et avons procédé ce matin au salut du drapeau », a expliqué un soldat du Bataillon de sécurité de l’Est (BSE) basé à Bondoukou, joint au téléphone depuis Abidjan.
A Bouaké, les barricades ont été levées, la circulation a repris et les commerces ont ouvert, a constaté le correspondant de l’AFP.
« C’est comme si rien ne s’était passé hier », s’étonne Salif Konaté, un chauffeur de taxi, soulignant toutefois » qu’on a eu chaud, cela nous a fait penser aux années de crise ».
Mardi, le ministre de la Défense Paul Koffi Koffi a rapidement annoncé une série de mesures et demandé aux militaires « de regagner leurs postes ». Dans la soirée, le ministre de l’Intérieur Hamed Bakayoko a annoncé lui aussi des mesures allant dans le sens des revendications des militaires.
Un groupe de 575 militaires, intégrés dans l’armée en 2011, et un autre groupe de 8.400 caporaux demandaient la prise en compte d’arriérés de soldes à partir de 2009, a déclaré M. Bakayoko. « La réponse est positive », a affirmé le ministre, venu, a-t-il dit, « rassurer tous les jeunes pour dire que leur message a été entendu ».
Même si le calme est revenu, cette vague de protestations inquiète à moins d’un an du scrutin présidentiel d’octobre 2015.
Selon plusieurs sources sécuritaires, d’anciens éléments rebelles, intégrés en 2009 dans les forces de sécurité nationales à la suite de l’accord de paix de Ouagadougou, signé en 2007, sont à l’origine du mouvement de mardi.
AFP
Ivory Coast soldiers protest over benefits
ABIDJAN (Reuters) – Former rebels now serving in Ivory Coast’s army erected barricades and blocked streets outside barracks across the country on Tuesday in protest over unpaid benefits and bonuses, military and diplomatic sources said.
Ivory Coast, the world’s number one cocoa producer, is still recovering from a decade of political turmoil and a 2011 civil war that saw French- and U.N.-backed rebels topple President Laurent Gbagbo after his refusal to accept defeat in elections.
Demonstrations broke out at around a half dozen military bases in the commercial capital Abidjan, in the second largest Ivorian city Bouake as well as in Korhogo, Bondoukou and Daloa, a hub of the country’s cocoa industry.
« The soldiers are on the streets, » said a Reuters witness near an army base in the northern Abidjan neighbourhood of Abobo. « They used tyres, old cars, everything they could find to block the road. You can’t get in. All the shops are closed. »
There were no reports of violence during the protests.
Some of the demonstrating soldiers were demanding promotions and payment of a 5 million ($10,000) CFA bonus they say each was promised three years ago while fighting for the rebels supporting current President Alassane Ouattara.
Others said they have been shortchanged on benefits.
Speaking on state television, Defence Minister Paul Koffi Koffi urged the protesters to return to barracks. He said the government had agreed to pay overdue travel stipends and housing allowances and to set aside money for soldiers’ health care.
Koffi further said he would meet a delegation of soldiers to look for « a definitive solution » to demands for back wages.
Ouattara, who defeated Gbagbo him in a run-off vote in 2010, has overseen a rapid revival of French-speaking West Africa’s largest economy. But rights groups have criticised him for not doing enough to heal deep political and ethnic divisions.
Gbagbo is awaiting trial before the International Criminal Court in The Hague, charged with crimes against humanity.
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