Archives pour 2011
Côte d`Ivoire: Ouattara appelle à nouveau la CPI à juger Gbagbo
PARIS – Le président ivoirien Alassane Ouattara appelle de nouveau la Cour pénale internationale (CPI) à juger son prédécesseur
Laurent Gbagbo pour une partie des crimes qui pourraient lui être reprochés, dans un entretien mardi au Figaro.
« Laurent Gbagbo a été inculpé en Côte d`Ivoire pour crimes économiques avec de nombreux collaborateurs. Le pays a été pillé par son régime », affirme Alassane Ouattara. « Les audits des entreprises publiques, qui seront rendus publics en temps opportun, montrent l`étendue des malversations dans le cacao et le pétrole. Tout cela va cesser », précise-t-il.
Mais le président ivoirien estime que la CPI doit se saisir d`autres crimes imputés à Laurent Gbagbo qui a « refusé le verdict des urnes alors que les élections étaient transparentes et supervisées par les Nations Unies » et qui « a plongé la Côte d`Ivoire dans une crise sans précédent qui a fait des milliers de morts ».
« Nous n`avons pas les moyens de juger de tels crimes. Nous avons demandé à la Cour pénale internationale de se saisir de ce dossier. Ce processus est en cours. Je ne veux pas que l`on parle de justice des vainqueurs et que l`on dise que c`est Alassane Ouattara qui a condamné Laurent Gbagbo », ajoute-t-il.
Alassane Ouattara rappelle, dans cet entretien, ses efforts pour la réconciliation entre les Ivoiriens, assurant tenir « un langage de
rassemblement parce que l`exemple doit venir d`en haut ».
Il affirme que des membres des forces qui l`ont soutenu lors des affrontements qui ont suivi l`élection présidentielle de la fin 2010 seront jugés s`ils ont commis des exactions.
« J`ai mis en place une commission nationale d`enquête qui va terminer ses travaux d`ici à la fin de l`année. Nous prendrons alors les mesures nécessaires. Ceux qui doivent être jugés le seront, de quelque bord qu`ils
soient », dit-il.
Alassane Ouattara se trouve à Paris pour la remise mercredi à l`Unesco du prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix, qui porte le nom du premier président de la Côte d`Ivoire indépendante, dont il fut le Premier ministre.
Angolan beauty Leila Lopes is crowned Miss Universe 2011
Leila Lopes from Angola was crowned Miss Universe Monday night, smoothly handling an interview question about what physical trait she would change if could, while wearing a strapless cream-colored gown.
Lopes, Angola’s first winner, beat out 88 other competitors to win the title during the 60th anniversary of the world’s biggest beauty pageant.
She replaces last year’s winner, Ximena Navarrete of Mexico.
« Thank God I’m very satisfied with the way God created me and I wouldn’t change a thing, » Lopes said when asked her interview question.
« I consider myself a woman endowed with inner beauty. I have acquired many wonderful principals from my family and I intend to follow these for the rest of my life. »
The first runner-up was 23-year-old Olesia Stefanko of Ukraine and the second runner-up was Priscila Machado of Brazil. The third was Miss Philippines and the fourth Miss China.
Contestants from 89 nations on six continents spent the past three weeks in Sao Paulo, trying to learn samba dance steps, visiting impoverished children and kicking a football around for cameras as the globe’s biggest beauty contest is held in Brazil for the first time.
Before the contest began, judges offered little insight into who they thought might win.
« I know my job and I’ll be tough, but fair, » said pageant judge and journalist Connie Chung. « You have to keep in mind that these women are not objects just to be looked at. They’re to be taken seriously. I want to choose somebody I take seriously and the world takes seriously, too. »
Paula Shugart, president of the Miss Universe organization, was hyped for the night.
« It’s our 60th anniversary, it’s a very big show, » she said. « We’re anticipating close to a billion viewers from around the world. »
Shugart said it was fitting the globe’s biggest beauty pageant be held in Brazil at this time, as the nation prepares to host some major events in the coming years.
« I don’t think there is any doubt in the rest of the world’s mind that Brazil is the place, between hosting the Olympics and hosting the World Cup, » she said. « I love the fact we’re going to kick it off. I always say we’re the ‘World Cup’ of beauty. »
The contestants, who must never have been married or had children and who must be at least 18 years of age and under 27 years of age by Feb. 1 of the competition year.
The pageant, hosted by NBC « Today » anchor Natalie Morales and the Bravo network’s Andy Cohen, will air live on NBC and be distributed to about 170 countries. The contest is co-owned by Donald Trump and NBC, and will be judged by celebrities including Connie Chung, supermodel Isabeli Fontana and Indy race car driver Helio Castroneves.
Morales, who is half Brazilian, said that « what’s most important is for the women to be beautiful inside and out. »
For Cohen, the task of hosting is an easy one.
« It’s a fun job. All I have to do is stand there, smile and scream the names of countries, » he said.
Cohen said after the big event he would be taking advantage of Sao Paulo’s noted nightlife.
« I’m going to party hard tonight. That’s what you do in Sao Paulo. We’re going to see the sunrise tonight, » he said. « I’m going to samba … and then I’m going to samba some more. »
Sharply dressed women and men were jostling for chances to have their photos taken with stars on the red carpet. Some traveled from across the globe to support contestants.
Jehona Dreshaj, 17, arrived from Kosovo to cheer on her sister, Aferdita Dreshaj, who is representing the European country.
« It doesn’t really matter the outcome, she is already a winner in our eye and we are so proud of her, » she said. « This has been an incredible experience for her and for all of us. It’s great for her to be representing our country in an event like this ».
There have been no headline-grabbing gaffes going into this year’s competition, as opposed to past years that have seen controversies of various stripes. The show itself went off without a hitch.
Some of the contestants have complained to the local news media about the size of bikinis used in some photo shoots, with Miss Mexico Karin Ontiveros saying they were « very small. »
That was enough to draw chuckles in Brazil, where women from all walks of life, not just beauty queens, sport barely there swimwear on beaches throughout the country.
Miss USA Alyssa Campanella, from California, will be trying to end a long losing spell for the US in the competition. An American has not been named Miss Universe since Brook Lee won the title in 1997.
The pageant started as a local bathing revue in Long Beach, California, organized by a swimwear company.
Bernard Houdin: “… Je dirai à Alassane Ouattara, Gbagbo kafissa”
Abidjandirect : Pouvez vous nous raconter votre rencontre avec le Président Laurent Gbagbo ?
SarkAdo : le poids de la vertu
SarkAdo : le poids de la vertu
Il était une fois un putschiste félon qui, en l’espace de deux mois à l’hôtel du Golf, parvint à “claquer” 452 milliards de Fcfa (689 millions d’euros), prélevés en toute illégalité sur le compte ivoirien de la BCEAO, après avoir, huit années durant, présidé au détournement par la rébellion qu’il animait de 40 % des ressources de l’État ivoirien.
Et voilà que le plus hypocritement du monde alarmé par l’augmentation du nombre de fonctionnaires (de 92.000 à 132.700) pendant la période où il fomentait et menait sa sanglante guerre civile (de 2000 à 2010), le putschiste félon part en guerre contre le gaspillage, et décide arbitrairement d’annuler 120 concours administratifs.
Devinez donc ce qui se cache derrière la métamorphose de ce flambeur sanguinaire en champion de la saine gestion, pourfendeur du gaspillage et prodigue en économies ?
Simplement, la réalité d’un pays aux finances publiques ruinées par la folie meurtrière du système SarkAdo…
Les investisseurs (hormis quelques charognards de l’immobilier, qui s’enrichissent déjà sur le dos des innombrables “déguerpis” de la vaste opération “villes mortes”) persistent à fuir comme la peste un pays toujours rongé par l’anarchie et la délinquance d’État (quel autre nom donner en effet aux exactions quotidiennes des frci?), gangrené par le racket et les détournements de fonds tous azimuts.
Par contre, continuer à faire le malheur des petits, en les enfonçant toujours plus profondément dans la boue d’une précarité pourvoyeuse à terme de juteux dividendes FMIesques, çà, le SarkAdo y excellera toujours…
Si nous avions une suggestion à faire au sous-préfet momentanément en poste à la tête de l’arrondissement ivoirien de l’empire sarkafricain, ce serait de garder secrètes les minutes des sous-conseils qu’il préside, pour épargner aux Ivoiriens encore aptes à la gaieté – en dépit du malheur dont il restera longtemps le symbole – le risque de s’étouffer de rire à la lecture des vœux pieux surréalistes dont elles sont truffées.
Le dernier compte-rendu en date (celui du 7 septembre dernier) nous offre la burlesque mise en scène d’un Drame Man, tout à tour et en vrac:
-soudainement épris de respect de l’environnement lui, le champion toute catégorie du saccage à grande échelle;
-soucieux de sécurité pour tous, après avoir instauré le règne de la terreur dozo et licornue;
– soucieux également de santé publique, après avoir mis à mal le système de santé ivoirien, en commençant par condamner à mort des dizaines de dialysés victimes de l’ignoble boycott imposé par son parrain Sarko, avant de d’encourager ce dernier à bombarder les hôpitaux;
– soucieux aussi de présider à l’avènement d’une « école ivoirienne d’excellence » (si vous avez trop mal aux côtes, arrêtez de lire!), après avoir durablement désorganisé le système éducatif en sabotant l’année scolaire en cours au moment de son putsch, et en détruisant écoles et universités;
– soucieux toujours de création d’emplois, après avoir ruiné des millions d’Ivoiriens et jeté sur les routes de l’exil près de trois millions d’entre eux (et il ose promettre et s’engager, le bougre !);
– tout fier d’avoir ramené l’effondrement du taux de croissance provoqué par ses menées criminelles (il était de +4 % en 2010 avec SEM Laurent Gbagbo) de -6 à -5,3 %, évoquant même une projection de croissance de +8 % pour 2012 ! (au rythme actuel, et dans le meilleur des cas, on arriverait péniblement à 2,8 % fin 2012, et il faudrait au moins cinq ans pour atteindre ces mirifiques 8%.)
– enfin pour couronner l’ensemble, auto-promu, lui, le fraudeur invétéré, qui n’a cessé de mentir éhontément sur tout (ses origines, sa fortune, ses compétences, sa victoire aux élections…), en “terminator” de … la fraude.
Comme quoi, et plus que jamais, Ado solution, c’est PrestigitAdo rêve éveillé sur scène, cauchemar Adormir debout en coulisses…
Quant à la docte (?) assemblée de sinistres fantoches opportunistes suffisamment lâches ou pervertis pour cautionner une telle mascarade, en consentant à avaler autant de couleuvres, à céder au chant d’aussi piètres sirènes, à prendre d’aussi piteuses vessies pour autant de phares d’Alexandrie : çà a la couleur d’un gouvernement, le goût d’un gouvernement, mais ça n’est pas le gouvernement de Côte d’Ivoire, lequel est très provisoirement en prison ou en exil.
Eliahou Abel
résistanCIsraël
By: Abel Eliahou
L’Ennemi
Au lendemain de la prise d’assaut de l’ambassade israélienne au Caire par une foule déchaînée, et pour bien saisir les enjeux de ce qui se passe au Moyen-Orient, il importe de ne pas perdre de vue quelques repères.
Les révoltes du « printemps arabe » ont été largement suscitées et entretenues par l’Occident, États-Unis en tête. Mettant à profit l’usure du pouvoir des dirigeants en place – notamment en Tunisie et en Égypte – dans un contexte d’insatisfaction générale, les Tartuffes de l’Empire sont venus à point nommé se poser auprès des populations concernées en champions de leurs aspirations légitimes à la démocratie. La recette est fort simple : il suffit de relayer, à grand renfort de propagande médiatique, l’écho du mécontentement populaire, puis de livrer en pâture à des foules habilement téléguidées les « dictateurs » que les occidentaux eux-mêmes ont portés et maintenus au pouvoir pendant des décennies.
Ainsi, quand Israël « appelle au secours » Obama et Bloodhillary, avant de les remercier servilement pour leur intervention salvatrice, il se tourne en réalité vers les artisans de son malheur, les premiers à se frotter les mains devant les déboires de sa représentation diplomatique dans la capitale égyptienne.
Il serait en effet bien naïf de ne voir dans la montée en puissance d’un islamisme radical farouchement hostile aux accords de paix israélo-égyptiens que le fruit du hasard et d’une fatalité circonstancielle : tout cela a été voulu et préparé de longue date, l’essentiel étant, pour les maîtres du monde, de faire en sorte que le chaos s’installe et se pérennise, que le conflit israélo-arabe perdure et s’envenime, l’amplification exponentiellement favorisée de la « menace terroriste » permettant de justifier à l’avance toutes les dérives à venir de leur boulimie interventionniste.(1)
Tout cela, bien sûr, en veillant à ce que la situation ne dégénère pas en une conflagration à grande échelle, qui risquerait d’aboutir soit à la victoire définitive d’Israël soit à sa destruction : chacune de ces deux hypothèses représenterait en effet le pire des scénarios possible, puisque dans les deux cas, s’écroulerait tout l’édifice patiemment bâti autour du recyclage –lui aussi savamment élaboré dans les officines des confréries occidentales – de la vieille haine chrétienne anti-juive, parfaitement ruineuse et stérile, en haine musulmane anti-israélienne oh combien féconde et lucrative, puisque génératrice de conflits indéfiniment profitables.
Insécurité, attentats, destructions, terreur, précarité, fragilisation des institutions, constituent dans cette perspective autant d’ingrédients indispensables à la maîtrise, par les cartels militaro-politico-financiers, des réseaux complexes servant à occulter leur totale mainmise sur les ressources des pays déstabilisés; tandis que l’énormité des moyens mis en œuvre dans les domaines du renseignement, des médias de propagande, et de l’armement, leur garantit un contrôle de plus en plus exhaustif de tous les ressorts de l’existence des peuples de la région.
Quant aux multinationales de travaux publics en charge de la reconstruction, qui voient leurs gains se multiplier en fonction de l’ampleur des dégâts, elles surfent aujourd’hui littéralement sur la récurrence des vagues de destruction fomentées par leurs valets-mentors de la sphère politique franco-brittanico-américonusienne.
Peut-être serait-il temps, pour l’État d’Israël, de réaliser que ses « amis » et « protecteurs » occidentaux ne sont taraudés à son endroit que par une seule obsession : l’empêcher à tout prix d’être lui-même, et de devenir celui par qui leur domination de cendre, de meurtres, de pillages et de ruines prendra fin. Être et devenir ce qu’il est déjà – en dépit des efforts désespérés de ses vrais ennemis impériaux pour lui inculquer la haine de ceux qu’ils ont eux-mêmes délibérément destinés à le haïr – : un peuple épris de paix et de vérité, entièrement voué à l’établissement du règne d’une justice sans autre partage que celui de la compassion.
Peut-être serait-il temps pour les ennemis arabes et musulmans d’Israël, de réaliser qu’ils en ont toujours été réduits à jouer le rôle que les démiurges de Washington, New-York, Paris, Londres, Genève ou Bruxelles leur ont assigné dès l’origine : celui de porteurs du feu maudit que ces derniers n’ont fait mine d’expulser de chez eux que pour mieux en exploiter les ravages partout ailleurs dans le monde, et singulièrement en terre d’Islam; celui de « boucs émissaires » de l’antisémitisme de leurs ennemis : ces ennemis qu’ils croient combattre en combattant Israël, alors qu’ils ne font qu’exécuter par étapes le plan diabolique de ceux-là même qui, après avoir, chez eux, cherché à anéantir le corps du peuple Juif, n’auront de cesse qu’ils ne soient parvenus, en terre promise, à anéantir son âme.
A n’en pas douter, La tentative de création d’un état palestinien, va une fois de plus échouer. On va faire mine de s’en émerveiller, comme s’il s’agissait d’une victoire d’Israël, et de l’ajournement d’un grand danger; alors qu’il s’agira d’une nouvelle victoire des maîtres du monde – qui auront opté pour la relance d’un terrorisme indispensable à leur survie –, et de la cristallisation, pour Israël, d’un danger infiniment plus grave que toutes les menaces militaires : le danger consistant à demeurer dans le camp des complices de la Bête immonde, celle qui a nom mensonge, manipulation, profit coûte que coûte et sang versé; beaucoup de sang, comme celui des 20 000 victimes de la campagne de « protection des civils » menée par Sarkozy en Côte d’Ivoire, et des 60 000 morts de l’opération « humanitaire » de l’OTAN en Libye…
Peut-être serait-il temps pour chacun de nous, qu’il soit juif, musulman ou chrétien, de se résoudre à identifier le véritable ennemi, et de se préparer à le combattre par tous les moyens. Comprenons bien que face à un tel défi, aucune lutte étroitement nationaliste n’est plus à l’ordre du jour. L’Occident est sur le point de faire son unité, sous le signe de la violence et des ténèbres, et d’imposer sa gouverne infernale à l’Afrique et au monde musulman. Soyons de ceux qui, eux aussi, veulent faire leur unité sous le signe des promesses du D.ieu d’Abraham, Isaac et Jacob, et lutter de toutes leurs forces pour qu’Israël, aimé de quiconque a compris le sens de sa vocation d’ambassadeur du vrai Royaume, achève de sortir de son « Égypte » américano-européenne.
Qui que nous soyons, juif, musulman ou chrétien, appliquons-nous à guetter l’irruption, en pleine lumière et aux yeux du monde entier, de ce signe imminent et imprévisible de la Vie triomphante au cœur de l’histoire des hommes.
Eliahou Abel
résistanCIsraël
(1) L’instrumentalisation du terrorisme à des fins économico-politiques et militaires : telle est, ne l’oublions pas, la fonction première de la dixième commémoration par toute une Amérique pieusement recueillie de la tragédie des Tours Jumelles, comme ce fut la fonction première de la tragédie elle-même. Rappelons au passage que l’ « épouvantail » Ben Laden a toujours nié en être l’instigateur, et que l’enregistrement de sa revendication tardive de cet attentat sans précédent n’est qu’un faux grossier vendable aux seuls non arabophones.
(2) Est-il besoin de rappeler aux juifs qui lisent ces lignes qu’Amalek est un descendant d’Edom, et non de Yishma’ël ?
By: Eliahou Abel
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