C’est Jules César qui disait que pour réussir à gouverner les hommes, il faut les diviser.C’est pourtant contre lui que tous ses ennemis vont s’unir un jour pour l’assassiner.Les partisans de Dramane Ouattara me font souvent penser à l’entourage de l’empereur Romain:
1-Guillaume Soro qui se prend pour le fils adoptif du tyran me fait penser à Brutus, le fils adoptif de Jules César que l’empereur a aperçu parmi ses assassins au moment où celui-ci lui donnait le dernier coup de poignard en plein coeur.
2- Ahmed Bakayoko, le Loubard franc- maçon me rappelle étrangement le Général Petrolus, chef des Services secrets de Jules César, spécialisé dans la fabrication des faux complots pour distraire l’empereur et l’engager dans une répression sans fin contre ses ennemis externes en vue de l’empêcher de regarder ce qui se trame autour de lui.
3-Chérif Ousmane, l’hyène qui se fait appeler guépard, me fait penser à Depravus, le centurion sanguinaire chargé d’exécuter les sales besognes de l’empereur.Fatigué de torturer ses victimes, de les découper et de leur retirer les organes, il a été le premier à suggérer l’idée d’assassiner son maître.
4-Koné Zakarias, Wattao, Fofié et tous les autres fidèles de Ouattara, hommes et femmes, pourraient bien devenir un jour, le temps de l’assassinat, des alliés et complices malgré tout ce qui les oppose.
Disons-le tout de suite: L’épée de Damoclès qui menace Dramane Ouattara, n’est ni en haut, ni loin de lui.Elle est à ses côtés et autour de lui, prête à l’égorger ou à le transpercer quand tous sauront qu’il ne sert plus à rien.Et ceci semble désormais incontestable avec l’échec de la tentative d’en finir avec Laurent Gbagbo et le FPI.
Par Océane Yacé