Noël Akossi Bendjo limogé de la SIR pour des raisons politiques
Noël Akossi Bendjo a été viré de son poste de président du conseil d’administration (PCA) de la Société ivoirienne de raffinage (SIR), ce mercredi 28 février. A en croire Bruno Nabagné Koné, porte-parole du gouvernement ivoirien, parce qu’il était arrivé en « fin de mission ».
Une version qui ne semble pas satisfaire l’Hebdomadaire panafricain Jeune Afrique qui croit que « Même si cette “fin de mission” est présentée comme normale, elle n’est pas moins liée à l’activisme politique du maire Bendjo »
Le départ de Bendjo, actuellement en compétition à la mairie du Plateau avec Fabrice Sawegnon, homme d’affaires et proche du couple présidentiel, ainsi qu’un troisième homme, Ouattara Dramane dit OD, pionnier du Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel) au Plateau…
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Elections sénatoriales : La Coalition « Debout, sauvons la Côte d’Ivoire » chez le président Bédié
La Coalition « Débout, sauvons la Côte d’Ivoire », groupement de partis politiques de l’opposition ivoirienne dirigé par le Pr Bamba Moriféré, s’est rendue le dimanche 25 février 2018 à Daoukro où elle a rencontré le président Henri Konan Bédié. Au menu des discussions, la situation sociopolitique qui prévaut en Côte d’Ivoire à quelques semaines des élections sénatoriales.
« Nous venons de mettre en place la coalition ’’Debout, sauvons la Côte d’Ivoire’’. Nous avons décidé de rencontrer les acteurs politiques pour discuter de la situation qui prévaut dans notre pays. C’est une situation préoccupante à plusieurs égards. Il était tout à fait normal que dans les rencontres que nous prévoyons de faire, nous rencontrions, en premier lieu, le président Bédié. Non seulement en sa qualité d’ancien chef d’Etat mais aussi en sa qualité de doyen des responsables politiques ivoiriens ». C’est la raison qui justifie, a relevé Moriféré Bamba, l’audience sollicitée en vue d’échanger avec le président du RHDP. Déclaration faite à l’issue de la rencontre. Il a ensuite indiqué qu’ils ont attiré l’attention du président Bédié sur la situation très préoccupante en Côte d’Ivoire. Marquée, selon lui, par l’organisation précipitée, dans les prochains jours, des élections sénatoriales. Alors que l’article 90 de la Constitution dispose qu’il est nécessaire de prendre une loi organique avant d’organiser lesdites élections. Par ailleurs, le chef de la délégation a soutenu que le corps électoral est inexistant puisque les conseillers régionaux et municipaux sont quasiment en fin de mandat. Pour Moriféré Bamba, la commission électorale, dans sa composition actuelle, a été rejetée par les acteurs politiques du fait de sa partialité. « Tout cela fait que les Ivoiriens doivent se retrouver sur des bases nouvelles pour organiser les prochaines élections. C’est de cela que nous avons parlé avec le président Bédié, qui a été attentif puisqu’en tant qu’Ivoirien, en tant qu’ancien chef de l’Etat, il ne pouvait pas ne pas être sensible à nos propos. Nous entendons continuer non seulement à rencontrer les acteurs politiques ivoiriens mais aussi, nous allons mobiliser les Ivoiriens pour que, tous ensemble, nous puissions faire en sorte d’éviter à la Côte d’Ivoire ce que nous avons connu, c’est-à-dire une autre guerre », a souligné le président du RPCI.
DA
Gnamien Konan: La Côte d’Ivoire ne va pas disparaître si on n’a pas de Sénat
L’honorable GNAMIEN KONAN, ex-ministre de Ouattara, est contre le sénat en Côte d’Ivoire et il le fait savoir:
« …Le sénat, on sait d’avance que ça ne va servir à rien. Or, la vérité est qu’il y a déjà trop d’institutions qui ne servent à rien. Moi, j’étais contre cette constitution et je l’ai dit au président. J’ai dit au président en substance que ce n’est pas normal qu’un pays comme la Côte d’Ivoire, en 2016, se dote d’une Constitution qui ne va inspirer aucun Etat africain.
Il y a trop d’institutions déjà en Côte d’Ivoire qui ne servent à rien. Dans cette Constitution, on nous a vendu un Sénat, on nous a vendu une vice-présidence, on nous a vendu une chambre des rois. C’est trop pour un pays qui est tout le temps sur le marché international en quête d’argent, d’Eurobond.
On a autre chose à faire de notre argent. Alors si vous voulez mon avis, je fais partie du corps électoral mais je ne vais pas voter et j’appelle tous les électeurs à ne pas voter de sénateurs. Et mieux, je demande aux Ivoiriens de ne même pas être candidats pour aller au Sénat.
En tout cas moi je vois la Côte d’Ivoire en deux : d’un côté, ceux qui croient en ce pays et qui pensent que si on gère bien notre argent on peut développer ce pays, et ceux qui pensent que c’est en le gaspillant qu’on va y arriver. Donc tous ceux qui seront candidats, tous ceux qui vont voter, moi je considère qu’ils appartiennent au deuxième groupe.
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Vol Abidjan Pas Cher
Vol Abidjan pas cher: quelques infos
Vous souhaitez voyager en Côte d’Ivoire et vous vous demandez sûrement que coûte le billet d’avion pour Abidjan. Une question très légitime. Et une autre aussi bien légitime est de savoir quel est le vol le moins cher vers la Côte d’Ivoire. Nous nous posons tous ces questions quand arrive la saison des voyages.
Abidjan Ivory Coast #13
Abidjan Ivory Coast
A part Google, peut-être, nul ne peut répondre avec exactitude à la question de savoir quel est le prix du billet d’avion le moins cher pour la Côte d’Ivoire. Pour répondre à cette question, il va additionner quelques facteurs tels la classe dans laquelle vous souhaitez voyager, si, par exemple vous voulez un vol direct ou un vol avec correspondance.
Il vous appartient de répondre d’abord à ces quelques questions simples. Puis, lorsque les choses sont claires à votre niveau, continuer à l’étape suivante qui consiste à faire quelques recherches en lignes sur des sites de comparateurs de vols et de prix pour les billets d’avion. Cette étape est très productive, puisqu’elle permet au-delà de l’idée du prix du ticket de savoir aussi, quels sont les aéroports de départ, ceux de transit et même le poids des bagages que permettent les compagnies aériennes.
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Les partis de l’opposition disent non à la tenue des sénatoriales le 24 mars
Une plate-forme regroupant des partis politiques de l’opposition a donné, mercredi 21 février, son avis sur la tenue de l’élection sénatoriale.
Ahipeaud Martial, président de l’Union pour le développement et des libertés (Udl) qui a parlé au nom de ce cette coalition, lors d’un point de presse au siège du Rassemblement pour la paix, le progrès et le partage (Rpp) à Cocody, a exprimé son désaccord quant à l’organisation de ce scrutin prévue le 24 mars. Justifiant sa position, le conférencier a soutenu que la prise de l’ordonnance en Conseil des ministres annonçant l’organisation de cette élection ne s’est pas faite conformément à la Constitution.
« Aux termes de l’alinéa 3 de l’article 90 de la loi n°2016-886 portant Constitution ivoirienne du 8 novembre 2016, une loi organique fixe le nombre des membres de chaque chambre, les conditions d’éligibilité et de nomination, le régime des inéligibilités et incompatibilités, les modalités de scrutin ainsi que les conditions dans lesquelles il y a lieu d’organiser de nouvelles élections ou de procéder à de nouvelles nominations, en cas de vacance de siège de député ou de sénateur. C’est donc au législateur qu’il revient d’organiser le Sénat par l’effet d’une loi organique », a-t-il précisé.
Ahipeaud Martial, au cours de cette rencontre avec la presse, était assisté de Ouattara Gnonzié, président du Rpp, Abouo N’dori Raymond, vice-président du Front populaire ivoirien (Fpi), Adama Ouattara, président du Mouvement ivoirien pour le renouveau et l’espoir (Mire), Norlander Blé, président du mouvement politique, Les démocrates de Côte d’Ivoire (Ldci). Par la voix des responsables de ces formations politiques qui étaient à la table de séance, Ahipeaud Martial a réitéré leur demande de réforme de la Commission électorale indépendante (Cei) avant la tenue de toutes échéances électorales. Il a, en outre, demandé au gouvernement d’inviter les partis politiques de l’opposition à la table des discussions.
Avec FratMat