Les ex-combattants démobilisés des forces armées des Forces nouvelles (FAFN) dans la région du Worodougou ont repris leur tenue militaire, depuis une semaine, en vue de sécuriser, selon eux, leur zone qui se vide des fonctionnaires redéployés.
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Les ex-combattants démobilisés des forces armées des Forces nouvelles (FAFN) dans la région du Worodougou ont repris leur tenue militaire, depuis une semaine, en vue de sécuriser, selon eux, leur zone qui se vide des fonctionnaires redéployés.
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Forte tension de trésorerie en cette fin d’année 2010. Difficile bouclage de l’exécution budgétaire 2010 ; budget qui s’équilibrait en recettes et en dépenses à 2481 milliards de Fcfa dont 1884,7 milliards émanant des recettes fiscales. Question d’élaboration et de bouclage du budget 2011.
Voici les premières épreuves urgentes du gouvernement du Professeur Aké N’Gbo dont les membres ont commencé, depuis hier, à se saisir des dossiers ministériels, à se soumettre à la procédure de passation de service. Dossiers parmi lesquels la poursuite satisfaisante de la mise en œuvre du programme économique et financier conclu avec le Fmi et du processus Ppte (Initiative en faveur des pays pauvres très endettés) ; la réhabilitation des infrastructures socioéconomiques ; l’instauration des conditions de création d’emploi pour résorber progressivement les quelques 4 millions de chômeurs figurent en bonne place.
Ces questions meublent, à souhait, bien des discussions entre amis, collègues de service ou voisins de quartier. Ce qui traduit bien évidemment les préoccupations des uns et des autres, et amènent certains à se demander si l’Etat pourra payer les salaires à la fin de ce mois de décembre ? Non pas qu’ils ignorent la capacité de l’Etat ivoirien en la matière- puisque depuis les évènements du 19 septembre 2002 à ce jour, les fonctionnaires et agents de l’Etat, de même que les salariés du secteur privé n’ont connu aucun retard dans le paiement de leur salaire -, mais c’est parce que la situation actuelle les trouble.
Et ils ne sont pas les seuls, puisque les opérateurs du secteur privé ont tiré, mardi, par la voix de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci), la sonnette d’alarme. « Le blocage politique étouffe l’économie nationale. La situation économique et financière commence déjà à être difficile et elle risque de s’aggraver si la situation perdure au-delà du 15 décembre » a déclaré Jean Kacou Diagou, son président, lors de la conférence de presse qu’il a animée.
Morosité économique
En fait, les performances des régies financières que sont les Impôts, les Douanes et le Trésor public sont rudement mises à l’épreuve dans cette période de morosité économique provoquée par les deux tours de l’élection présidentielle et le contentieux électoral qui a suivi. Parce que les commerces, trafics portuaires, aéroportuaires et maritimes qui sont « des mamelles nourricières » de ces régies n’ont pas vraiment marché au cours de ce dernier trimestre de l’année. Or, les recettes fiscales et parafiscales (entre autres le droit unique de sortie ou Dus) et douanières, ainsi que des bons du trésor ou emprunts obligataires émis ont contribué, chaque année, à donner du volume au budget de l’Etat et surtout mobiliser effectivement – et parfois beaucoup plus- les ressources budgétaires projetées. Il convient de rappeler que les recettes fiscales 2010 étaient projetées à 951,6 milliards et celles des douanes à 925 milliards de Fcfa, et 95,5 milliards provenant des autres ressources intérieures.
Concernant les bons du Trésor (une sorte d’appel public à l’épargne), ils se sont, au cours des dernières années, arrachés sur le marché financier national et sous-régional, permettant ainsi à l’Etat de mobiliser les ressources financières dont il a besoin pour faire face à ses obligations régaliennes telles que le paiement des salaires, les investissements publics, et même le paiement des fournisseurs de la puissance publique par le système de titrisation des créances. Et le succès d’un tel système repose essentiellement sur la confiance en l’émetteur, la visibilité qu’ont les souscripteurs de l’avenir et l’assurance d’être remboursés au terme de l’échéance. Pour le Premier ministre Aké N’Gbo et son gouvernement, et plus particulièrement pour les tous nouveaux ministres de l’Economie et des Finances, et délégué chargé du Budget, le défi, ici, consiste à convaincre les principaux souscripteurs que les banques et établissements financiers de la Côte d’Ivoire et de la sous-région à garder leur même confiance dans la qualité de la signature de l’Etat de Côte d’Ivoire.
Bouclage rapide du budget
Par ailleurs, le gouvernement doit rassurer le bouclage rapide du budget 2011 en vue de donner une bonne visibilité aux partenaires. Il doit également rassurer que les salaires et autres soldes seront payés effectivement en décembre. Car pour de nombreux analystes, la prudence doit être ici de mise. Celle-ci s’appuie sur plusieurs facteurs. En fait, le pays vient de perdre quasiment deux mois de recettes publiques. Depuis la période électorale, les activités économiques tournent au ralenti. Il en résulte une perte de recettes fiscales pour l’Etat : volume de taxes sur la valeur ajoutée (Tva) forcément en baisse, impôts sur les bénéfices industriels et commerciaux qui vont, eux aussi, décliner, sans oublier les vignettes automobiles. Par ailleurs, les services douaniers tournant au ralenti du fait du climat de blocage politique qui contraint à une position d’attentiste des opérateurs économiques faisant de l’import-export, les recettes douanières pourraient ne pas atteindre finalement l’objectif de 1000 milliards de Fcfa que la Direction générale des douanes annonçait, il y a cinq mois, lors de son séminaire bilan semestriel de l’année 2010.
Qu’en est-il du Trésor? Les bons (du trésor) émis par cette régie financière que se disputaient les banques et établissements financiers connaîtront-ils ce même succès dans cette situation délétère? Pas si évident parce qu’il y a une sorte de désinvestissement des opérateurs du secteur financier qui se veulent prudents pour le moment. L’équation n’est pas simple pour la Côte d’Ivoire. Et avec elle, pour les Ivoiriens dans leur ensemble. C’est d’ailleurs pourquoi, tout juste après la passation des charges, hier, entre le nouveau ministre de l’Economie et des Finances, Désiré Dallo, et le directeur de cabinet du ministre sortant, Emmanuel Ahoutou Koffi, toute l’équipe de ce ministère s’est mise immédiatement au travail. Pour trouver des solutions idoines aux problématiques susmentionnées. Pour s’attaquer aux questions brûlantes de l’heure: mobiliser les ressources nécessaires au paiement des salaires de décembre des fonctionnaires et agents de l’Etat, y compris ceux des collectivités décentralisées.
Autre challenge du nouveau gouvernement à court terme, le maintien du dialogue et surtout de bonnes relations avec les décideurs de la communauté financière (Banque mondiale, Fmi, Bad) et l’ensemble des créanciers souverains (Club de Paris) et commerciaux (Club de Londres). Pour que ceux-ci maintiennent leurs engagements pris vis-à-vis de la Côte d’Ivoire lors des négociations ardues qui ont abouti déjà à l’annulation partielle (plus de 700 milliards de Fcfa) de la dette publique extérieure. En fait, le nouveau gouvernement devra œuvrer à l’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative Ppte censée amener à l’abandon par les créanciers de la quasi-totalité de la dette extérieure (plus de 6500 milliards de Fcfa). Ce qui équivaudrait au renoncement à environ 500 milliards de Fcfa par an de remboursement; une somme que l’Etat pourra utiliser souverainement pour investir dans des infrastructures socioéconomiques susceptibles de contribuer à la réduction de la pauvreté en Côte d’Ivoire.
Les axes dorsaux
Déjà, aux dernières assemblées de la Banque mondiale et du Fmi qui se sont tenues du 5 au 10 octobre dernier, à Washington, les responsables des deux institutions n’avaient pas manqué de souligner clairement que tout autre octroi de leurs appuis budgétaires seraient, dorénavant, conditionné à la bonne visibilité de la gouvernance post-élection présidentielle. Mais surtout à la volonté affichée par le gouvernement qui en sera issu de s’inscrire résolument dans les sillons de la gouvernance économique qui leur a arraché satisfecit, conclusion du programme économique et financier en mars 2009 et point de décision de l’Initiative Ppte. Le nouveau gouvernement a d’ailleurs affiché, dès sa formation, cet engagement fort. Le Premier ministre Aké N’Gbo, n’a-t-il pas déclaré tout juste après la formation de son gouvernement que «la gestion, la bonne gouvernance et l’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative Ppte constitueront des axes dorsaux de son équipe?»
L’ensemble des questions évoquées sont importantes pour l’avenir du pays et exigent que la Côte d’Ivoire rentre en elle-même pour trouver des solutions idoines à ses contradictions actuelles; pour éviter que la pauvreté qui s’est déjà aggravée (48,94% d’Ivoiriens devenus pauvres) ne s’accentue davantage avec des fermetures d’entreprises et donc des licenciements, faute d’activité et de sécurité. Pour éviter que ce climat délétère n’accentue la flambée incontrôlable des prix des denrées sur les marchés et l’assèchement des finances publiques.
Gooré Bi Hué (Fratmat)
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Gbagbo-Laurent
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Après son investiture le 4 décembre, le nouveau président de la République de Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo a été félicité, hier, par les populations du Sud-Comoé, qui lui ont réaffirmé leur soutien dans son combat pour la dignité de la Côte d’Ivoire.
Le président Laurent Gbagbo a déclaré, hier, qu’“avec le temps, les écailles qui sont sur les yeux des gens tombent, et ils voient plus clair” dans le flou qui a prévalu à la proclamation des résultats de la présidentielle du 28 novembre. Le chef de l’Etat a fait cette sortie à l’occasion de sa rencontre avec les populations du Sud-Comoé (Aboisso, Adiaké, Tiapoum, Grand-Bassam), au Palais présidentiel, au Plateau. Il a soutenu que “le temps qui est l’autre nom de Dieu est en train de faire son effet”, au point que la vérité se découvre. Ainsi, non seulement les écailles tombent des yeux des gens mais surtout “les bouchons qui sont dans leurs oreilles quittent et ils entendent et ils comprennent”.
Le président de la République a réaffirmé la primauté de la loi dans la construction de la démocratie. A cet égard, Laurent Gbagbo a indiqué que “dans un pays, il y a la pagaille, quand on ne respecte pas la loi”. Pour lui, c’est même le respect des lois qui distingue la société humaine de la jungle. “Dans la République, il y a des règles. Celui qui ne respecte pas les règles se met en dehors de la société. Je voudrais qu’en retournant, vous enseigniez à tous vos enfants, à tous vos sujets, que le principe élémentaire qui gouverne la vie en société, est celui du respect des règles”, dira-t-il. Le chef de l’Etat a demandé aux membres du corps préfectoral et aux chefs traditionnels de sensibiliser les Ivoiriens aux respects des lois ivoiriennes. “Je voudrais, à l’occasion de votre visite ici, inviter les Ivoiriens à apprendre les lois qui gouvernent la Côte d’Ivoire et à les respecter. Mesdames et messieurs du corps préfectoral, c’est votre mission d’expliquer ce que c’est que la loi. On ne fait pas ce qu’on veut. On ne fait pas ce qu’on a envie de faire. On ne dit pas comme je suis fatigué, aujourd’hui c’est mon tour. On ne vit pas en société comme on vit dans la jungle”, a soutenu le président Gbagbo.
Laurent Gbagbo a invité les Ivoiriens à se remettre au travail après les élections. “N’ayez pas peur. C’est notre pays. Il y a des secousses, mais notre rôle, c’est d’amener la pirogue à avoir des temps favorables et à naviguer sur des eaux calmes. Ne vous inquiétez pas, reprenez votre travail”, a conseillé le chef de l’Etat. Qui a ajouté que sa “préoccupation aujourd’hui, c’est qu’il y a beaucoup de jeunes qui n’ont pas de travail. Nous avons un seul adversaire, c’est le chômage”.
M. N’Guetta N’Guetta, porte-parole des populations d’Aboisso, Adiaké et Tiapoum, a dit la joie des peuples du Sud-Comoé pour la réélection de Laurent Gbagbo. Il a salué le courage et la ténacité du chef de l’Etat ivoirien qui ne ménage aucun effort pour conduire le navire ivoire à bon port. “Tous, en présence du Corps préfectoral et des chefs de services des départements d’Aboisso, d’Adiaké et de Tiapoum, par ma voix, saluent solennellement votre brillante réélection à la tête du pays et vous félicitent pour le courage, la ténacité, mais aussi la patience par lesquelles vous avez remporté cette incontestable victoire”, a-t-il affirmé. N’Guetta N’Guetta a exprimé la volonté des populations du Sud-Comoé d’accompagner le président Gbagbo dans son défi de reconstruction de la Côte d’Ivoire.
Le président du Conseil général de Grand-Bassam a abondé dans le même sens en adressant ses félicitations au président élu. Il a demandé au président de la République de travailler afin que la paix revienne définitivement en Côte d’Ivoire.
César Ebrokié (Notre Voie)
Les Ivoiriens, avec les avancées constatées dans le processus électoral, notamment avec l’affichage de la liste électorale provisoire de 5.775.000 Read more
La rencontre d’information et de mobilisation des partisans de Laurent Gbagbo à Saïoua, le vendredi 30 juillet, a finalement tourné Read more
L’information avait fait l’effet d’une bombe. Elle a circulé d’abord sous forme de rumeur, avant d’être confirmée par les médias Read more
“Nous population du thoron savons que le candidat Gbagbo est celui qui pourrait, la paix et la cohésion retrouvée, nous Read more
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Les manœuvres se multiplient en France pour arracher la victoire électorale à Laurent Gbagbo. A défaut de réussir le scénario mis en marche, depuis la fin du scrutin du 2nd tour, pour évincer l’actuel chef de l’Etat ivoirien, l’Elysée envisagerait de plus en plus l’attentat à l’intégrité physique du président ivoirien. Une perspective qui n’enchante pas certains agents secrets français. Qui ont décidé de ne pas se rendre complices du complot.
Dans quelques jours, peut-être dans quelques heures, des mercenaires mandatés par l’Elysée, dont nous taisons la nationalité pour l’instant, vont débarquer à Abidjan. Ils ont officiellement reçu pour mission de venir «sécuriser» les locaux de l’ambassade d’un pays européen voisin de la France. Les agents de cette ambassade de pays simplement voisin de celui de Nicolas Sarkozy sont pompeusement supposés menacés à cause de la tension post électorale en Côte d’Ivoire. Et, pour y remédier, les agents très spéciaux chargés de la sécuriser sont annoncés. Mais, fait curieux, le communiqué produit à cet effet et repris par des médias de la place ne mentionne pas le matériel d’espionnage de pointe dont ces agents de sécurité sont dotés pour venir dans notre pays. En vérité, ces «sécurocrates», déclarés spécialistes en protection d’ambassade, seraient en mission pour le compte d’une cellule de crise installée à l’Elysée (palais présidentiel parisien). C’est cette cellule qui, sur les ordres du président français, Nicolas sarkozy, gèrerait, désormais, «le dossier ivoirien». Cette cellule, selon nos informations, avaient court-circuité tous les services secrets français, notamment la DGSE, pour convaincre le président Sarkozy de ce que sa «stratégie» pour chasser Gbagbo du pouvoir allait parfaitement fonctionner. A présent, face au bourbier que cette «stratégie» de tripatouillage de l’élection présidentielle ivoirienne a créé dans notre processus, une option plus surréaliste vient d’être envisagée. Il s’agit d’attenter à la vie du président Gbagbo. Ce scénario à gros risques prévoit qu’en cas de difficulté pour accomplir la mission, les mercenaires pourraient envisager de «recruter» le (s) assassin (s) au sein du «cercle présidentiel». D’énormes sommes d’argent pourraient alors circuler pour espérer convaincre des agents de la sécurité présidentielle. Le hic, c’est que, déjà, avant même que nos mercenaires ne quittent l’Europe, de solides amitiés dans les services secrets français, opposées à l’opération, ont pris sur elles d’alerter, encore une fois, les autorités d’Abidjan. Pour elles, il ne fait l’objet d’aucun doute. «Si par extraordinaire, quelque chose était tenté contre le président Gbagbo, comme ce fut le cas avec Juvénal Habyarimana en 1994, la Côte d’Ivoire connaîtra une situation pire que le génocide rwandais, et la France doit en être tenue pour responsable», prévoient les amitiés ivoiriennes au sein des Longues Oreilles en France. Celles-ci ont donc informé, à leur tour, les agents ivoiriens chargés de la sécurité des institutions de la Côte d’Ivoire.
L’Afrique, rien qu’une
juxtaposition de tribus
M. Benjamin Mathieu Tagbo, Ben Tagbo pour ses intimes, politologue, avait regagné la Côte d’Ivoire, son pays, une semaine avant le 2nd tour de l’élection présidentielle. Ancien sous-officier de la police nationale, promotion 83-85, cet ivoirien vit depuis des années en France où il s’est établi avec sa famille. «Mais la situation est si grave, les informations si préoccupantes que j’ai décidé de mettre ma famille en sécurité et de rentrer chez moi en Côte d’Ivoire», nous avait-il confié avant le second tour de la présidentielle. Selon cet ancien policier qui se réjouit d’avoir tissé de solides relations au sein de la police et des services de renseignements en France, le nouveau complot politique en phase d’exécution a été minutieusement préparé dans l’ancienne métropole pour «offrir» le pouvoir à Alassane Ouattara, candidat du Rassemblement des Républicains (RDR). Selon Ben Tagbo, «c’est à la DGSE, service secret et d’espionnage français, que les manœuvres ont commencé. Certaines cellules au sein de la DGSE ont réussi à convaincre Sarkozy qu’on pouvait facilement écarter Laurent Gbagbo du pouvoir. Et ce sont mes amis à la DGSE qui ont eu l’amabilité de m’en parler».
Pendant près de deux heures Ben Tagbo s’était vidé comme d’une charge dont il ne pouvait plus supporter tout seul le poids. De quoi s’agit-il ?
En France, la classe des agents racistes qui pullulent dans les services de renseignements et d’espionnage continue de considérer les anciennes colonies françaises d’Afrique comme étant des tribus sauvages peuplées d’individus incapables de raisonner. De ce fait, les présidents de ces pays d’Afrique doivent toujours être choisis par métropole. Pour le malheur de la Côte d’Ivoire, cette insulte est partagée par une minorité d’hommes d’affaires français installés chez nous, mais influents à l’Elysée. avec leurs racistes lunettes, la lecture des résultats du premier tour des élections ivoiriennes a été la suivante : Avec 25% et 32% des voix, les tribus d’Henri Konan Bédié et d’Alassane Ouattara font à elles seules 60% des électeurs en Côte d’Ivoire. De façon moutonnière, pensaient ces agents des services secrets français, la tribu d’Henri Konan Bédié – remarquez qu’ils ne parlent pas d’électeurs – ne devait que se déverser derrière Ouattara, puisque le président du PDCI-RDA, battu au premier tour, avait appelé à voter pour le président du RDR. Cependant, à écouter Ben Tagbo, la théorie n’arrivait pas à rassurer ses concepteurs. Ces prévisionnistes de la DGSE avaient du mal à se convaincre que les Ivoiriens soient aussi bornés qu’ils l’entendent. Mais ils subissaient la pression des hommes d’affaires français qui ne rêveraient que d’un président ivoirien «docile». Pour ces affairistes, Laurent Gbagbo prône «l’ouverture du marché ivoirien, la coopération dans la dignité et le respect de chaque peuple», et cela est dangereux. D’où leur implacable volonté qui aurait fini par pousser la cellule DGSE en question à convaincre les plus hautes autorités françaises que l’on peut «organiser la défaite de Laurent Gbagbo».
Les Patriotes ivoiriens,
l’obstacle majeur
Dans leurs prévisions, nous avait prévenu Ben Tagbo, «dès le soir du 2nd tour, une fois les résultats proclamés sur les ondes des radios et télés françaises, les militants du RHDP devaient descendre dans la rue pour orchestrer des troubles graves dans le pays». Et à Ben Tagbo de continuer : «Dans ce cafouillage, les militaires français pré-positionnés à Dakar et à Libreville allaient se déployer en Côte d’Ivoire avec pour mission d’assassiner le président ivoirien, Laurent Gbagbo». Pour quel objectif ? «Installer Alassane Ouattara au pouvoir», avait coupé Ben Tagbo. Qui a ajouté que, pour les tenants de cette thèse à la DGSE, «le second tour de l’élection présidentielle ivoirienne était déjà bouclé avant d’avoir commencé ; Alassane Ouattara devait être déjà nommé président de la Côte d’Ivoire depuis la Franc».
Ce scénario était beau, mais, en France, il donnait la chair de poule à bon nombre d’agents lucides de la DGSE. Ces derniers n’avaient pas oublié l’échec de la barbarie de la France chiraquienne en novembre 2004. Selon Tagbo, en France, beaucoup de stratèges en opération kamikaze en Afrique se souviennent que, les 4, 5 et 6 novembre de cette année-là, la tentative «d’enlever» Laurent Gbagbo du pouvoir a débouché sur des tueries «inutiles et idiotes» de jeunes Ivoiriens par l’armée française (65 morts à l’Hôtel Ivoire). Jacques Chirac avait échoué en Côte d’Ivoire, alors que les interventions françaises du même type avaient été couronnées de succès en Haïti (contre Jean Bertrand Aristide) ou en Centrafrique (contre Ange Félix Patassé). «Rien, au moment de la conception du plan, ne permettait de dire que Sarkozy était informé de cette manœuvre. Mais apparemment, le président français a fini par céder». Et, depuis, selon les informations communiquées aux autorités ivoiriennes, la gestion de ce dossier a été simplement transférée à une cellule d’extrémistes installée à l’Elysée, au détriment de la DGSE.
De toute évidence, à l’Elysée, l’on est persuadé que le «Plan A», truquer les élections pour chasser Gbagbo, a échoué. A présent, c’est un «Plan B» qui est envisagé avec, au bout, l’assassinat du président ivoirien. Fini donc les déclarations de M. Claude Guéant, Secrétaire général de l’Elysée, bras droit de Sarkozy, qui, le dimanche 3 octobre 2010, après un séjour de 48h en Côte d’Ivoire, déclarait, avant de reprendre l’avion, la main sur le cœur : «La France n’a pas de candidat en Côte d’Ivoire». Parole en l’air !
César Etou -Notre Voie- (cesaretou2002@yahoo.fr)
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Les Ivoiriens des Etats-Unis ont demandé au secrétaire général de l’ONU et à la France connue sous le sobriquet de la communauté internationale d’approuver et de respecter la décision du Conseil Constitutionnel de Côte-d’Ivoire. Cela, lors d’une gigantesque marche de protestation qui a eu lieu le mardi 7 décembre 2010 devant le siège de l’organisation mondiale à New York.
“Sarkozy, Ban Kimoon et Choi, responsables du prochain génocide en Cote d’Ivoire”, “Laurent Gbagbo, Président légal de Côte d’Ivoire”, ou encore, “Respectez la souveraineté de la Côte d’Ivoire”. C’est ce qu’on pouvait lire sur les écriteaux que brandissaient ces hommes et femmes qui ont bravé le terrible froid qu’il faisait à New York ce jour, juste pour venir crier leur ras-le bol face à cette situation confuse à eux imposée par les ennemis connus de leur pays.
Dans un courrier transmis au secrétaire général de l’ONU, les Ivoiriens des Etats Unis ont rappelé à Ban Ki moon les obligations de maintien de l’ordre, de la paix et de la sécurité entre les pays qui composent l’institution qu’il dirige et surtout le fait que, “rien dans sa charte n’autorise les Nations Unies à agir en lieu et place des juridictions légales de ces Etats souverains qui sont d’ailleurs sa raison de vivre”. Pour eux, “mettre entre parenthèses ces principes fondamentaux, reviendrait à donner raison aux détracteurs de cette nébuleuse qui, apparemment, semble avoir du mal à se démarquer de son stade de
«machin” où De gaulle l’avait laissée en 1958”.
Aussi, estiment ces patriotes, qu’il est “absolument honteux et malheureux que, la France, abusivement appelée communauté internationale, se plaise à bander ses muscles sur un petit pays, juste pour des intérêts égoïstes”. Ce pourquoi ils ont promis de ne pas se laisser intimider et distraire par la campagne de désinformation et d’intoxication que cette puissance mène depuis quelques jours avec sa presse en prêtant des propos tendancieux au Président Obama. Ils donneront d’ailleurs les raisons pour lesquelles Obama et l’Amérique ne devraient pas se ridiculiser jusqu’à ce point : “En 2000, durant les élections Présidentielles aux Etats-Unis qui opposaient M. Georges Bush à M. Al Gore et face aux irrégularités dans l’état de Floride, la plus Haute Institution Juridique Américaine, la Cour Suprême, a déclaré M. Georges Bush 43ème Président des Etats-Unis. Malgré le désaccord des Démocrates, la décision prise par cette Haute Institution Juridique a été acceptée et respectée. M. Gore n’est pas allé former un gouvernement parallèle dans sa chambre et appeler Choi, Ban kimoon et consorts pour le certifier ou le reconnaître. Pourquoi alors chercher à tout prix à installer la chienlit en Côte d’Ivoire en encourageant l’anarchie ?
Ces ivoiriens ont alors pris la ferme décision de rencontrer les missions diplomatiques de tous les Etats représentés à l’Onu afin de leur expliquer la différence entre une commission électorale et un conseil constitutionnel dans leur pays, espérant vivement que, ceux qui ont les oreilles pour entendre, comprendront pour laisser les Ivoiriens appliquer leurs lois.
Correspondance particulière depuis New York, Fanta Camara (Notre Voie) (fantagbe2003@yahoo.com)
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SOLDATS FRANCAIS
A la base de l’échec à notre challenge collectif escompté sur huit bonnes années d’endurance, c’est la tricherie. Quelle honte !
Que la France et l’Onu en Côte d’Ivoire se signalent en relief comme les agents de change chargés de la cotation de notre souveraineté au Conseil de Sécurité, c’est un moindre mal, par rapport à cet acte de l’auto-infantilisation de notre faculté d’être actuels. En 1885, à Berlin, l’Europe s’appropriait l’Afrique. Ce schéma se reproduisait à l’échelle territoriale de notre pays, plus près de nous, en 2002, à Paris. La France, en effet, se fondant de ses droits de propriétaire historique de nos richesses et de nous-mêmes, la France initiait et parrainait le partage de la Côte d’Ivoire entre ceux qui la voulaient République vassale, et les résistants. La dernière élection présidentielle avait pour objectif de mettre un terme à cette situation, besoin de souveraineté oblige. Mais, hélas, y en a à qui ça ne convient pas. Et donc, il leur faut brouiller la capacité de notre résurgence, pour continuer à dépendre des implications de cette triste histoire. Quelle honte! !
Entre solliciter l’arbitrage de l’Onuci pour donner les résultats provisoires du deuxième tour de l’élection présidentielle dans sa vision, en présence des partis impliqués, en portant ses observations, ou, proclamer les résultats dans le camp des adversaires qui représentent toute la rébellion armée, avec l’encadrement partisan de cette même Onuci, la première option sauverait la Côte d’Ivoire de l’emprise des prédateurs. Mais tout dépendait de l’éthique du Président de la Cei.
L’éthique, oui, siège de nos fibres morales en nous, et ancêtre de la loi. L’éthique et la loi harmonisées avec notre personnalité, inspirent au respect de l’autorité de la loi. De quoi s’agit-il, en terme chiffré ? Selon la liste électorale produite, 5 725 721 électeurs étaient inscrits. Au premier tour, 83% ont répondu présents pour voter. Soit 4,752 millions de votants effectifs, desquels Lmp et Rhdp ont eu respectivement les quotas qu’on connaît. Au deuxième tour, les observateurs ont relevé une baisse du flux électoral, estimé de l’avis de la Cei et du Conseil constitutionnel à 71,29%. Ce qui veut dire de 4,752 millions d’électeurs, 71,29% du nombre initial devenaient 4,082 millions d’électeurs, dont 88 750 bulletins nuls, d’où, électeurs répartis entre les deux: 3,993 millions d’électeurs. Or, l’addition des électeurs entre les deux, selon la Cei, totalise 4,500 millions d’électeurs. Donc, tricherie. Et les observateurs commis, dans leurs différents rapports produits, décrivent avec minutie, et en termes crus, les nombreuses dérives qui ont entouré la scène du déroulement des élections dans les régions contrôlées par le Rhdp : les empêchements, les séquestrations, les sévices corporels, voire même la liquidation physique des électeurs de Lmp, le tout couronné par le bourrage des urnes à hauteur de 500.000 voix.
Le colonialisme qui réunit toutes les conditions favorables de son éligibilité au rang de crime contre l’humanité, la colonisation qui en est le produit dont quelques chefs d’Etat des ensembles sous-régionaux du continent africain font la promotion, avec l’emblème idéologique du pays colonisateur, ne pouvaient pas ne pas dire autre chose que ce qu’ils croient être dans l’intérêt de notre pauvre Côte d’Ivoire. Mais, ils ne sont pas nous. Et merci aux dignes fils d’Afrique qui se sont abstenus de ce piètre spectacle éhonté. Des accords conclus sans éthique, Guillaume Soro en fournit la preuve, par ses déclarations indécentes. Plus à l’aise dans la rébellion, il faisait la comédie dans ses attributs de Premier ministre de la République. L’histoire de chaque homme lui crée des ouvertures du côté de ses prétentions d’y entrer, c’est-à-dire, avec, ou sans décence. Les portes de l’histoire de la Côte d’Ivoire restent ouvertes. De nos illustres disparus, après Houphouët et Yacé, Guei Robert y est déjà.
En somme, ils sont plus de deux millions d’Ivoiriens déterminés à sauver, avec Gbagbo, leur pays. Non pas en brûlant et en assassinant les villages et leurs habitants qui n’y sont pour rien.
Mais en rassurant, des vertus sécurisantes du vrai concept de vivre ensemble.
Patrice Djedje Sahiri
Consultant
Lula
PDCI
Dr zagbla
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En 2025, la diaspora ivoirienne en France s’impose comme l’une des plus dynamiques et influentes d’Europe. Forte de plusieurs centaines de milliers de membres, elle joue un rôle crucial dans les relations entre la Côte d’Ivoire et la France, tant sur le plan politique qu’économique et culturel. Mais derrière cette vitalité se cachent aussi des […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
La diaspora ivoirienne de France est une communauté florissante et engagée. Avec plus de 400 000 personnes, elle constitue l’une des plus importantes diasporas africaines en Europe. Cette communauté dynamique est présente dans tous les aspects de la société française, contribuant activement à son développement économique, social et culturel. Les Ivoiriens de France se distinguent […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
La diaspora ivoirienne est un groupe dynamique qui joue un rôle essentiel dans le développement socio-économique de la Côte d’Ivoire. Contribuant à la croissance du pays de multiples façons, ces Ivoiriens expatriés apportent leur expertise, leur savoir-faire et leur soutien financier aux projets locaux. En investissant dans l’économie ivoirienne, en créant des emplois et en […]
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En 2025, la diaspora ivoirienne au Royaume-Uni s’affirme comme une communauté engagée, solidaire et de plus en plus visible dans les débats politiques liés à la Côte d’Ivoire. Bien que moins nombreuse que celle de France, elle joue un rôle stratégique dans les mobilisations internationales, les transferts de fonds et les dynamiques associatives. Mais elle […]
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En 2025, la diaspora ivoirienne en France s’impose comme l’une des plus dynamiques et influentes d’Europe. Forte de plusieurs centaines de milliers de membres, elle joue un rôle crucial dans les relations entre la Côte d’Ivoire et la France, tant sur le plan politique qu’économique et culturel. Mais derrière cette vitalité se cachent aussi des […]
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La diaspora ivoirienne de France est une communauté florissante et engagée. Avec plus de 400 000 personnes, elle constitue l’une des plus importantes diasporas africaines en Europe. Cette communauté dynamique est présente dans tous les aspects de la société française, contribuant activement à son développement économique, social et culturel. Les Ivoiriens de France se distinguent […]
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La diaspora ivoirienne est un groupe dynamique qui joue un rôle essentiel dans le développement socio-économique de la Côte d’Ivoire. Contribuant à la croissance du pays de multiples façons, ces Ivoiriens expatriés apportent leur expertise, leur savoir-faire et leur soutien financier aux projets locaux. En investissant dans l’économie ivoirienne, en créant des emplois et en […]
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La diaspora ivoirienne occupe une place essentielle dans le tissu social de la Côte d’Ivoire. Éparpillés aux quatre coins du monde, ces Ivoiriens expatriés sont non seulement des ambassadeurs culturels, mais aussi les piliers économiques du pays. Cette diaspora représente un pont crucial entre deux mondes, liant leur pays d’origine à leur pays d’adoption. Grâce […]
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Voici plus de détails sur les sujets abordés dans l’actualité ivoirienne du 18 décembre 2024 : Présidentielle 2025 L’annonce de la candidature d’Alassane Ouattara à la présidentielle de 2025 a suscité des réactions variées. Le RHDP a officiellement soutenu sa candidature, avec une mobilisation active du parti. Harlette Badou, saluée pour son bilan, a réaffirmé […]
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Voici un résumé de l’actualité ivoirienne du 5 décembre 2024 : Suspension d’un journal pro-PDCI : L’Autorité nationale de la presse (ANP) a suspendu pour trois parutions le quotidien Le Nouveau Réveil, affilié au PDCI-RDA, en raison de contenus jugés non conformes à la déontologie journalistique. Cette décision intervient dans un contexte politique tendu à […]
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Alassane Ouattara met fin aux fonctions de son premier ministre Patrick Achi, selon un communiqué officiel de la présidence ivoirienne, ce vendredi 6 octobre 2023. Ledit communiqué ne nous donne aucune raison du débarquement de monsieur Patrick Achi, premier ministre de Ouattara depuis le décès d’Hamed bakayoko, en 2021. Si la raison de ce limogeage […]
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L’ex-ministre Ally Coulibaly et membre du parti d’Alassane Ouattara, le RHDP, a été nommé Grand Chancelier de l’Ordre national en remplacement de Henriette Dagri Diabaté nommée Grande chancelière honoraire » en reconnaissance de sa grande contribution au rayonnement de l’institution ». Le président ivoirien Alassane Ouattara a procédé le mercredi 04 octobre 2023, à la signature […]
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Voici ci-dessous, précisement le salaire d’un officier militaire ivoirien, et ce depuis la nouvelle grille salariale de 2018: SOUS-LIEUTENANT: 760 000 FCFA LIEUTENANT: 780 000 FCFA CAPITAINE: 800 000 FCFA COMMANDANT: 900 000 FCFA LIEUTENANT-COLONEL: 1.000.000 FCFA COLONEL: 1.300.000 FCFA GÉNÉRAL: 1.500.000 FCFA Lire aussi: Voici la nouvelle grille salariale de l’armée ivoirienne Abidjan, […]