Le président de la Commission Electorale Ivoirienne, le diplomate Youssouf Bakayoko se refugie actuellement en France, précisément à l’hôtel Courthiard les Marriottes de Neuilly-sur-Seine.

Youssouf-Bakayoko
Ivoiriens de l'étranger | Diaspora Ivoirienne | Ivory Coast
Le site de la Diaspora ivoirienne et des Amis de la Côte d'Ivoire
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Le président de la Commission Electorale Ivoirienne, le diplomate Youssouf Bakayoko se refugie actuellement en France, précisément à l’hôtel Courthiard les Marriottes de Neuilly-sur-Seine.
Youssouf-Bakayoko
Photo Afrique
Ouf ! Il ne manquait plus que ça ! La xénophobie. Le racisme. Tous ont désormais un pays d’adoption. C’est Read more
Oxfam
UNOCI
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Nicolas Sarkozy Goodluck Ebele Jonathan Silvio Berlusconi
Alors qu’il s’était fait le porte parole de Sarkozy à travers la CEDEAO, le président nigérian a été invité à réviser ses déclarations sur la crise ivoirienne par plusieurs de ses pairs de l’Afrique de l’Ouest parmi lesquels les présidents de la Gambie, du Cap-Vert, du Ghana et du Libéria.
Apparemment le message est reçu 5/5 car Jonathan Goodluck qui était le défenseur ultime de la thèse de l’utilisation de la force par la CEDEAO contre la Côte d’Ivoire est devenu plus sage et évoque dorénavant les possibilités du dialogue pour résoudre la crise ivoirienne survenue aux lendemains du second tour des présidentielles.
« Quand il y a un désaccord, c’est le dialogue qui peut le régler. Et le dialogue est en cours» en Côte d’Ivoire, a déclaré, hier mercredi 29 décembre, le Président nigérian, Jonathan Goodluck, à Abuja. Le Chef de l’Etat du Nigeria, président en exercice de la Cedeao, venait de rencontrer les Présidents Thomas Yayi Boni du Bénin, Ernest Baï Koroma de la Sierra Leone et Pedro Verona Rodrigues Pires du Cap-Vert que l’institution ouest africaine avait dépêchés à Abidjan le mardi 28 décembre, en vue de trouver une solution à la crise née du second tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire le 28 novembre dernier ».
Par Daniel Atteby
Les Ivoiriens, avec les avancées constatées dans le processus électoral, notamment avec l’affichage de la liste électorale provisoire de 5.775.000 Read more
La rencontre d’information et de mobilisation des partisans de Laurent Gbagbo à Saïoua, le vendredi 30 juillet, a finalement tourné Read more
L’information avait fait l’effet d’une bombe. Elle a circulé d’abord sous forme de rumeur, avant d’être confirmée par les médias Read more
“Nous population du thoron savons que le candidat Gbagbo est celui qui pourrait, la paix et la cohésion retrouvée, nous Read more
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Banjul, Gambie – Le gouvernement gambien a critiqué la décision de la CEDEAO de faire usage de la force, si nécessaire, pour bouter Laurent Gbagbo hors de Côte d’Ivoire, selon le Dr Njogu Bah, Secrétaire général et directeur de la Fonction publique gambienne.
‘Nous réaffirmons plutôt notre engagement à participer pleinement aux initiatives pacifiques, à tous les niveaux, destinées à trouver une solution pacifique à la crise en Côte d’Ivoire’, a déclaré M. Bah.
Cette déclaration du gouvernement gambien réagit au récent sommet extraordinaire des chefs d’Etat de la CEDEAO à Abuja (Nigeria), sur la crise politique actuelle en Côte d’Ivoire et qui a décidé de prendre toutes les mesures nécessaires, y compris l’usage de la force militaire, pour obliger M. Gbagbo à céder le pouvoir politique.
D’après les services de la radio et télévision gambiennes, le gouvernement gambien n’a pas approuvé l’usage de la force ou le recours à la violence ‘pour résoudre ce contentieux électoral’, estimant que ceci constituerait ‘une ingérence dans les affaires intérieures d’un Etat membre et donc illégal au regard des chartes de la CEDEAO et de l’Union africaine (UA).
Le Dr Bah a indiqué que cette décision gambienne a été communiquée au corps diplomatique en Gambie, aux représentants des organisations internationales et au public.
Selon lui, ‘le gouvernement gambien a de sérieuses réserves en ce qui concerne l’usage de la force et il s’y oppose, étant donné les conséquences apparemment désastreuses qui pourraient découler d’une telle initiative’.
Il a soutenu que la CEDEAO n’avait pas de mandat légal pour intervenir militairement et renverser M. Gbagbo, précisant que la CEDEAO, avant de revendiquer toute autorité morale sur la situation ivoirienne, devait répondre à certaines questions, à savoir: ‘Pourquoi la CEDEAO n’était-elle pas intervenue, lorsque les rebelles avaient envahi la Côte d’Ivoire en 2003 ?
« Ce qui, selon M. Bah, a conduit à la guerre civile qui avait tué des milliers d’innocents. Ce sont ces mêmes rebelles qui prétendent être sortis victorieux d’une élection dont les résultats ont été entérinés par une Cour constitutionnelle », argumente le directeur de la Fonction publique gambienne.
Selon le Dr Bah, ‘dans toute l’Afrique francophone, les cours constitutionnelles ont la décision finale en cas de litige électoral et dans le cas de la Côte d’Ivoire, cette cour a tranché et la CEDEAO n’accepte pas cette décision à cause des pressions de certaines puissances occidentales dont l’intérêt personnel pour les ressources naturelles de la Côte d’Ivoire ne sont un secret pour personne’.
‘Nous nous rappelons qu’aux Etats-Unis d’Amérique un contentieux électoral a été résolu par la Cour suprême et que tout le monde l’avait accepté. Pourquoi la CEDEAO et la communauté internationale ne peuvent pas accepter la décision de la Cour constitutionnelle de Côte d’Ivoire’ ? , interroge également M. Bah.
Il a ajouté que la Guinée-Bissau avait été le théâtre d’une série de coups d’Etat et d’assassinats dans un passé récent et que la CEDEAO n’était jamais intervenue pour mettre fin au carnage et à l’impunité dans ce pays.
Il a également demandé à l’organisation régionale: ‘Pourquoi la CEDEAO n’était pas intervenue en Guinée Conakry pour mettre fin au gouvernement criminel du capitaine Moussa Dadis Camara qui avait fini par massacrer beaucoup de gens, dont des femmes et des enfants innocents? Pourquoi a-t-il fallu tant de temps à la CEDEAO pour intervenir en Sierra Leone, après avoir laissé des milliers d’innocents se faire massacrer, mutiler et violer?’
Pour le Dr Bah, l’organisation régionale, créée pour assurer la prospérité économique des populations d’Afrique de l’Ouest, ne devait se laisser transformer en une machine de guerre, s’embarquant dans des aventures militaires au nom d’intérêts étrangers, ‘au détriment de l’Afrique en général et de l’Afrique de l’Ouest en particulier’.
‘Les pays africains devraient être vigilants face à ces puissances néocolonialistes dont le seul souci est de mettre en place des régimes fantoches dans les pays riches en ressources naturelles, afin de continuer à les piller, au vu et au su de tout le monde », accuse Dr Bah qui estime qu’il « est grand temps que les puissances étrangères respectent l’indépendance et la souveraineté des pays africains.
« Il faut également qu’elles mettent fin à leur ingérence dans nos processus électoraux internes, édicte Dr Bah qui appelle les Africains à mettre fin à cette dictature des puissances néocolonialistes et racistes qui décident, à notre place, qui doit diriger les pays africains’.
Il a par ailleurs souligné que les Ivoiriens devaient être conscients que s’ils ‘optaient pour la guerre, ce seraient leurs propres enfants qui seraient tués et cela pour une poignée d’individus uniquement intéressés par le pouvoir à tout prix et à qui importe peu le prix terrible à payer pour les citoyens de la Côte d’Ivoire’.
Il a invité la CEDEAO à privilégier la voie du dialogue, afin d’éviter un bain de sang et la reprise éventuelle de la guerre civile en Côte d’Ivoire, avec les conséquences qui pourraient en découler pour la stabilité de la sous-région ouest-africaine.
‘En tant que partisan de la paix à travers le monde et considérant que la résolution pacifique de toute crise est la seule solution bénéfique pour l’humanité, la position de la Gambie sur la crise politique actuelle en Côte d’Ivoire est que seul le dialogue entre les Ivoiriens et les membres bien intentionnés de la communauté internationale pourra déboucher sur une solution dans l’intérêt de la Côte d’Ivoire et de la sous-région’, a-t-il affirmé.
‘C’est, par conséquent, au nom du principe de non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats souverains, contenu dans la Charte de la CEDEAO, que nous avons invité la CEDEAO à amener les deux parties à la table des négociations plutôt qu’à prendre partie dans une affaire que seul le peuple ivoirien, en utilisant les dispositions de leur Constitution, peut résoudre pacifiquement’, a-t-il conclu.
Pana 30 décembre 2010
Photo Afrique
Ouf ! Il ne manquait plus que ça ! La xénophobie. Le racisme. Tous ont désormais un pays d’adoption. C’est Read more
Oxfam
UNOCI
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Le Ghana n`enverra pas de troupes en Côte d`Ivoire dans le cadre d`une éventuelle intervention militaire des pays ouest-africains pour forcer le président sortant ivoirien Laurent Gbagbo à partir, a annoncé jeudi son ministre de la Défense.
Photo Afrique
Ouf ! Il ne manquait plus que ça ! La xénophobie. Le racisme. Tous ont désormais un pays d’adoption. C’est Read more
Oxfam
UNOCI
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Roland_Dumas
Arrivés jeudi en Côte d’Ivoire pour soutenir et conseiller Laurent Gbagbo, dont la presque totalité de la communauté internationale demande le départ, l’ancien ministre socialiste des Affaires étrangères Roland Dumas et Jacques Vergès – tous deux avocats – ont dénoncé l’ingérence française et internationale.
«Qu’est-ce qui autorise le gouvernement français à intervenir dans une querelle électorale en Côte d’Ivoire ? Le temps de la colonisation et des juges de paix à compétence étendue est terminé», a lancé sur iTélé Jacques Vergès, 85 ans. «J’ai quelques indications pour pouvoir dire que tout le monde n’est pas d’accord dans la communauté internationale. Elle se résume à quelques personnalités qui se mêlent de tout et dont on va examiner le cas», a pour sa part estimé Roland Dumas, 88 ans.
Des déclarations qui tranchent avec l’unanimité en faveur d’Alassane Ouattara, affichée par les Nations unies, l’Union africaine, l’Union européenne et la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao).
Déjà la semaine dernière, Didier Julia, député UMP de Seine-et-Marne s’était prononcé contre la position de Sarkozy à son avis trop suiviste des options américaines et non gaulliste.
« Le fait pour la France de s’identifier à la position américaine, qui est anti Gbagbo, parce qu’ils n’ont jamais pu conquérir les marchés de Côte d’Ivoire, ce n’est pas une position gaulliste. »
Avant Didier Julia, Emmanuelli et Loncle s’étaient tous deux prononcés contre le lynchage mensonger de Sarkozy contre Laurent Gbagbo.
« Au lieu de respecter le processus électoral ivoirien, d’analyser sereinement, équitablement et objectivement la situation en Côte d’Ivoire, ainsi que les différents aspects du scrutin, y compris les fraudes avérées dans les régions du nord du pays, la majorité des médias français, relayés, hélas, par un certain nombre de responsables politiques, ont entrepris une campagne de suspicion et de dénigrement à sens unique dirigé contre les autorités ivoiriennes. »
Toutes ces prises de position en sa faveur devraient redonner du tonus au président ivoirien Laurent Gbagbo dans son combat pour la vérité dans cette affaire.
Dans une interview accordée à une télévision ghanéenne le weekend dernier, Gbagbo avait dit qu’il ne souhaitait que la manifestation de la vérité avant toute chose. Pour lui, certes les négociations politiques sont importantes mais à l’état actuel de la situation politique, il est impérieux de connaître le vrai vainqueur des élections présidentielles. Pour lui, ses adversaires sont catégoriquement opposés à une commission internationale d’investigation sur les résultats des élections qu’il souhaite de tous ses vœux. Une commission qui devrait pourtant rétablir la vérité afin que baissent les tensions inutiles et les provocations guerrières. Une étape très importante dans la recherche de la paix pour la Côte d’Ivoire selon le Woody de Mama.
Par Daniel Atteby
L’élection de Barack Obama avait suscitté beaucoup d’optimisme en Afrique et partout parmi les communautés noires. Tous les regards s’étaient Read more
Nicolas Sarkozy Goodluck Ebele Jonathan Silvio Berlusconi
Ivoiriennes, Ivoiriens, Mes chers compatriotes, Chers amis de la Côte d’Ivoire.
Laurent Gbagbo
Raila_Odinga
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Former Clinton aide Lanny Davis, who has faced criticism here for lobbying on behalf of the incumbent president of the Ivory Coast after his apparent electoral defeat, resigned the contract in a letter to the country’s ambassador tonight.
Davis had presented himself as a mediator rather than a lobbyist, and he cites President Gbagbo’s refusal to take a call from President Obama, who is pressing him to step aside, in the decision:
Unfortunately, as you know, the decision was made in Abijan not to allow President Obama’s call to be put through to Mr Gbagbo, despite my repeated objections to that decision. Nor have I been able to reach Mr. Gbagbo directly myself to offer him this advice, despite repeated requests, as recently as the last twenty-four hours. Therefore, without going into further details regarding disagreements between me and representatives of the government, of which you are aware, I have reached the conclusion that I have not been allowed to effectuate the mission that I was expressly asked to do by your government, despite all my best efforts to do so.
I therefore cannot in conscience continue to represent your government. This is a difficult decision for me because I truly believed that I could assist in finding a peaceful solution consistent with the international community’s concerns and the interests of the people of the Ivory Coast to avoid further bloodshed.
Full letter after the jump.
Ambassador Charles Koffee
Embassy of the Ivory Coast
2424 Massachusetts Avenue
Washington D.C. 20008
kycharly@hotmail.com
December 29, 2010
Dear Mr. Ambassador,
As you know, for the last two weeks, I have been working to help resolve the crisis in the Ivory Coast. As I said publicly in my statement on December 20th, my mission was not to say who won or who lost the election or who was right or who was wrong, but rather to help resolve this crisis peacefully, through dialogue, mediation and with leadership and participation of the international community.
As you know Mr. Ambassador, from the earliest moments of my involvement, I have publicly urged Mr. Gbagbo to invite an independent international investigation into his claims of electoral fraud and violence, and to respect the results of that review, as a path to the peaceful and mediated resolution of this crisis.
In the past ten days, I have spoken repeatedly with a senior official of the State Department toward this end, and specifically to facilitate a call between the President of the United States and Mr. Gbagbo so Mr. Gbagbo could be presented with options for a peaceful resolution, that would avoid further bloodshed and be in the best interests of his country and the people of the Ivory Coast. There is no excuse for a return to violence or civil war.
Unfortunately, as you know, the decision was made in Abijan not to allow President Obama’s call to be put through to Mr Gbagbo, despite my repeated objections to that decision. Nor have I been able to reach Mr. Gbagbo directly myself to offer him this advice, despite repeated requests, as recently as the last twenty-four hours. Therefore, without going into further details regarding disagreements between me and representatives of the government, of which you are aware, I have reached the conclusion that I have not been allowed to effectuate the mission that I was expressly asked to do by your government, despite all my best efforts to do so.
I therefore cannot in conscience continue to represent your government. This is a difficult decision for me because I truly believed that I could assist in finding a peaceful solution consistent with the international community’s concerns and the interests of the people of the Ivory Coast to avoid further bloodshed.
My decision is final.
I will continue to do all I can to help encourage the parties to resolve this matter peacefully, through dialogue and mediation and non-violence, but for the reasons expressed above I will no longer be able to do so as a representative of your government.
Sincerely,
Lanny J. Davis
Lanny J. Davis and Associates
Washington D.C.
Ivorian rebels
Despite the long-awaited announcement of an election date for 31 October, key issues remain unresolved. And while a younger generation Read more
LUKoil
Cheick-Tiote
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire Laisser un commentaire
En 2025, la diaspora ivoirienne au Canada s’impose comme une communauté active, instruite et en pleine expansion. Présente dans les grandes villes du pays, elle joue un rôle croissant dans les échanges entre la Côte d’Ivoire et le Canada, tant sur le plan économique que politique. Mais derrière cette vitalité se cachent aussi des défis […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire Laisser un commentaire
En 2025, la diaspora ivoirienne au Royaume-Uni s’affirme comme une communauté engagée, solidaire et de plus en plus visible dans les débats politiques liés à la Côte d’Ivoire. Bien que moins nombreuse que celle de France, elle joue un rôle stratégique dans les mobilisations internationales, les transferts de fonds et les dynamiques associatives. Mais elle […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire Laisser un commentaire
En 2025, la diaspora ivoirienne en France s’impose comme l’une des plus dynamiques et influentes d’Europe. Forte de plusieurs centaines de milliers de membres, elle joue un rôle crucial dans les relations entre la Côte d’Ivoire et la France, tant sur le plan politique qu’économique et culturel. Mais derrière cette vitalité se cachent aussi des […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
La diaspora ivoirienne de France est une communauté florissante et engagée. Avec plus de 400 000 personnes, elle constitue l’une des plus importantes diasporas africaines en Europe. Cette communauté dynamique est présente dans tous les aspects de la société française, contribuant activement à son développement économique, social et culturel. Les Ivoiriens de France se distinguent […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
La diaspora ivoirienne est un groupe dynamique qui joue un rôle essentiel dans le développement socio-économique de la Côte d’Ivoire. Contribuant à la croissance du pays de multiples façons, ces Ivoiriens expatriés apportent leur expertise, leur savoir-faire et leur soutien financier aux projets locaux. En investissant dans l’économie ivoirienne, en créant des emplois et en […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire Laisser un commentaire
En 2025, la diaspora ivoirienne au Royaume-Uni s’affirme comme une communauté engagée, solidaire et de plus en plus visible dans les débats politiques liés à la Côte d’Ivoire. Bien que moins nombreuse que celle de France, elle joue un rôle stratégique dans les mobilisations internationales, les transferts de fonds et les dynamiques associatives. Mais elle […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire Laisser un commentaire
En 2025, la diaspora ivoirienne en France s’impose comme l’une des plus dynamiques et influentes d’Europe. Forte de plusieurs centaines de milliers de membres, elle joue un rôle crucial dans les relations entre la Côte d’Ivoire et la France, tant sur le plan politique qu’économique et culturel. Mais derrière cette vitalité se cachent aussi des […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
La diaspora ivoirienne de France est une communauté florissante et engagée. Avec plus de 400 000 personnes, elle constitue l’une des plus importantes diasporas africaines en Europe. Cette communauté dynamique est présente dans tous les aspects de la société française, contribuant activement à son développement économique, social et culturel. Les Ivoiriens de France se distinguent […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
La diaspora ivoirienne est un groupe dynamique qui joue un rôle essentiel dans le développement socio-économique de la Côte d’Ivoire. Contribuant à la croissance du pays de multiples façons, ces Ivoiriens expatriés apportent leur expertise, leur savoir-faire et leur soutien financier aux projets locaux. En investissant dans l’économie ivoirienne, en créant des emplois et en […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
La diaspora ivoirienne occupe une place essentielle dans le tissu social de la Côte d’Ivoire. Éparpillés aux quatre coins du monde, ces Ivoiriens expatriés sont non seulement des ambassadeurs culturels, mais aussi les piliers économiques du pays. Cette diaspora représente un pont crucial entre deux mondes, liant leur pays d’origine à leur pays d’adoption. Grâce […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Voici plus de détails sur les sujets abordés dans l’actualité ivoirienne du 18 décembre 2024 : Présidentielle 2025 L’annonce de la candidature d’Alassane Ouattara à la présidentielle de 2025 a suscité des réactions variées. Le RHDP a officiellement soutenu sa candidature, avec une mobilisation active du parti. Harlette Badou, saluée pour son bilan, a réaffirmé […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Voici un résumé de l’actualité ivoirienne du 5 décembre 2024 : Suspension d’un journal pro-PDCI : L’Autorité nationale de la presse (ANP) a suspendu pour trois parutions le quotidien Le Nouveau Réveil, affilié au PDCI-RDA, en raison de contenus jugés non conformes à la déontologie journalistique. Cette décision intervient dans un contexte politique tendu à […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Alassane Ouattara met fin aux fonctions de son premier ministre Patrick Achi, selon un communiqué officiel de la présidence ivoirienne, ce vendredi 6 octobre 2023. Ledit communiqué ne nous donne aucune raison du débarquement de monsieur Patrick Achi, premier ministre de Ouattara depuis le décès d’Hamed bakayoko, en 2021. Si la raison de ce limogeage […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
L’ex-ministre Ally Coulibaly et membre du parti d’Alassane Ouattara, le RHDP, a été nommé Grand Chancelier de l’Ordre national en remplacement de Henriette Dagri Diabaté nommée Grande chancelière honoraire » en reconnaissance de sa grande contribution au rayonnement de l’institution ». Le président ivoirien Alassane Ouattara a procédé le mercredi 04 octobre 2023, à la signature […]
Par Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Voici ci-dessous, précisement le salaire d’un officier militaire ivoirien, et ce depuis la nouvelle grille salariale de 2018: SOUS-LIEUTENANT: 760 000 FCFA LIEUTENANT: 780 000 FCFA CAPITAINE: 800 000 FCFA COMMANDANT: 900 000 FCFA LIEUTENANT-COLONEL: 1.000.000 FCFA COLONEL: 1.300.000 FCFA GÉNÉRAL: 1.500.000 FCFA Lire aussi: Voici la nouvelle grille salariale de l’armée ivoirienne Abidjan, […]