By: Seydina Kanté
Archives pour mars 2016
Attaques de Grand-Bassam: Abdoulaye Wade contredit Ouattara
Dans un message sur les réseaux sociaux suite aux attaques terroristes survenues a Grand-Bassam, hier, l’ex-président sénégalais Abdoulaye Wade a adressé un message de compassion aux Ivoiriens et contredit le president ivoirien Alassane Dramane Ouattara:
» Je dénonce avec force le lâche attentat à Bassam et témoigne aux victimes et leurs familles ma solidarité. Il reste encore et beaucoup à faire dans ce pays au niveau de la sécurité interieure, contrairement à ce que prétend le président Ouattara. Tel est mon CONSTAT. Courage Peuple de Côte d’Ivoire »
Fusillades à Bouaflé : 3 morts et deux blessés graves
48 heures avant l’attaque de Grand Bassam, soit vendredi 11 mars dernier, c’est la ville de Bouaflé, capitale de la Marahoué, qui était sous les feux des balles assassines d’individus non encore identifiés. Ces indélicats personnages ont fait trois morts et deux blessés graves dont un capitaine de gendarmerie. Au nombre de ces victimes, dame Djè Lou Agnès, propriétaire du célèbre « Bar Eclat » situé à Abidjan dans le quartier de Yopougon. Comme est-on arrivé là ? Selon des sources sécuritaires, les faits se sont produits aux environs de minuit ce vendredi. Dame Djè Lou Agnès, à bord d’une voiture de type 4X4, décide de faire un tour dans son village natal, Manfla, sur la route de Zuénoula. Elle voyage en plus du chauffeur dont l’identité ne nous a pas été donnée, trois autres personnes qui, certainement, sont ses parents. Un homme, une dame et une jeune fille qui, selon des proches, lui aurait été confiée. Toujours selon nos sources, c’est autour de minuit qu’arrivée à 2 kilomètres de Pakouabo, village du Ministre Charles Diby Koffi, sur l’axe Bouaflé-Zuénoula que le chauffeur signale aux occupants de la voiture qu’un véhicule qui les suivait leur faisait des jeux de phares. Ayant cru à un cortège, dame Agnès demande au chauffeur de ralentir afin de les laisser passer. C’est en ce moment que les malfrats, à leur niveau, sortiront des armes automatiques et coupant devant eux leur intiment l’ordre de garer. Le chauffeur, nous indique notre source, sort de la voiture avec la clé et lève les bras. Il est mis de côté. Et les hommes sans foi ni loi de faire savoir leur colère aux occupants de la voiture « Il y a longtemps qu’on vous suit et on vous fait des phares, vous ne pouvez pas vous arrêter ? » ont-ils montré leur colère avant de tirer à bout portant sur l’homme. Ne pouvant supporter l’horreur, dame Djè Lou crie et se couche sur le monsieur. Sans hésitation, ils ouvrent le feu sur elle. La jeune fille qui suppliait ces dangereux hommes aura pour réponse une balle. La seule dame pour le moment survivante va, elle aussi, recevoir des plombs dans la partie génitale et les jambes. Ayant passé au peigne fin les sacs des victimes, ils prennent leur véhicule de marque Peugeot 607 grise et prennent la clé des champs. Le chauffeur qui dit avoir profité des moments d’inattention des malfrats pour fuir en lieu et place d’aller dans le village alerter les gens est revenu à Bouaflé soit à 12 kilomètres.
UN CAPITAINE DE GENDARMERIE PREND UNE BALLE A L’EPAULE DROITE
L’autre fait marquant ce vendredi nuit, toujours selon nos sources, c’est que le capitaine de gendarmerie, après une journée de durs labeurs, rentre chez lui aux environs de minuit. Chemin faisant, il aperçoit une silhouette dans la pénombre de sa clôture. Il sort son arme et interjette des appels à l’endroit du suspect. Ce dernier, toujours dans le noir, fait savoir au capitaine qu’il sort du noir. Visiblement venu pour mettre fin à la vie de l’homme en arme, il tire sans hésitation sur le capitaine. La balle traverse l’épaule droite. Le bandit prend la poudre d’escampette. Transporté aux urgences de l’hôpital général de Bouaflé, il sera conduit par la suite à Abidjan pour des soins intensifs.
Avec educarriere.ci
Aqmi revendique l’attentat de Grand-Bassam
Le groupe Al-Mourabitoune, rallié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a revendiqué l’attaque de trois hôtels à Grand-Bassam en Côte d’Ivoire ce dimanche.
Le groupe islamiste avait déjà revendiqué l’attaque de l’hôtel Radisson, à Bamako au Mali, au mois de novembre 2015.
Attaque Djihadiste en Côte d’Ivoire: 14 civils, 2 militaires et 6 assaillants tués
Grand-Bassam (Côte d’Ivoire) – Quatorze civils et deux militaires ont été tués dimanche dans l’attaque contre la station balnéaire de Grand-Bassam, à l’est d’Abidjan, a annoncé le président ivoirien Alassane Ouattara.
« Le bilan est lourd, les terroristes ont réussi à tuer quatorze civils et nous avons perdu deux membres des forces spéciales », a déclaré le président qui s’est rendu sur les lieux, ajoutant que six assaillants avaient également été tués.
Fusillade en Côte d’Ivoire: « Ils ont fait le même scénario qu’à Sousse en Tunisie »
Une fusillade à éclaté dans une station balnéaire de la Côte d’Ivoire, Grand Bassam, à 40km d’Abidjan. Cette zone est très touristique et fréquentée par de nombreux occidentaux.
Une fusillade visant des hôtels fréquentés par des touristes occidentaux a éclaté à la mi-journée à Grand-Bassam en Côte d’Ivoire.
Des tirs ont été entendus à la mi-journée dans la station balnéaire touristique de Grand Bassam située à une quarantaine de kilomètres à l’est d’Abidjan en Côte d’Ivoire.
A propos du discours de démission non lu du président Laurent Gbagbo
En suivant sur la toile les réactions des très proches du Premier ministre Affi Nguessan qui soutiennent que le président Laurent GBAGBO était près à annoncer sa démission mais quil en a été empêché par son Épouse Simone et son frère jumeau Sangaré Abou Drahamane, au delà des incongruités qu’on relève dans leurs analyses en prenant pour vérité absolue ce que le journaliste de Jeune Afrique a pris soin de noter que c’est de la fiction, il ressort des révélations intéressantes pour l’histoire. Ainsi un mois avant la chute du président Gbagbo, soit le 11 mars 2011, tous ceux qui sont avec Affi Nguessan aujourd’hui notamment Alcide DJEDJE, Alphonse Voho Sahi, Michel Amani Nguessan, Alain Dogou, Firmin Krekre, et bien d’autres étaient dans un plan commun avec l’ambassadeur français Marc Simon pour obtenir la reddition du président Laurent Gbagbo. Merci à Nanan Ekanza IV pour cette révélation. Selon ce dernier Affi était déjà en rupture de ban avec le président Gbagbo et ses plus proches collaborateurs. Le temps vient où tout ce qui était caché va être révélé au grand jour.
#AFFAIRE_DISCOURS_DU_PRÉSIDENT_GBAGBO
Le rédacteur conseiller du président Gbagbo Laurent qui avait pris le soin d’écrire ce discours historique vit encore et est aujourd’hui Vice-président du Fpi chargé des politiques culturelles et éducatives.
C’est le professeur #Alphonse_Voho_Sahi.
Il est un proche collaborateur du président Affi Nguessan. Il est le conseiller politique du président Affi Nguessan.
Vous pouvez comprendre aisément que les deux camps se sont formés dès le 11 mars 2011.
Nanan Ekanza IV