Guerrier piqué au vif
Ton sang qui coule
Bâtit le terrier
De nos espérances
Et puisque la haine
N’a pas eu raison de la raison
La raison vaincra la haine
Par Sage Daniel
by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Guerrier piqué au vif
Ton sang qui coule
Bâtit le terrier
De nos espérances
Et puisque la haine
N’a pas eu raison de la raison
La raison vaincra la haine
Par Sage Daniel
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by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Au cours de l’acte qui consacre le dépôt de sa candidature ce jour Jeudi 20 Août 2015, le président candidat du Front Populaire Ivoirien, Pascal Affi N’guessan s’est brièvement entretenu avec le gotha de la presse nationale et étrangère présente pour la circonstance à la CEI.
A ces portes voix, il a expliqué les motivations de cette candidature historique qu’il vient de porter officiellement au vu et qu su de la Cote d’Ivoire et des Ivoiriens, qui aspirent tous au changement maintenant.
Nous vous livrons ainsi, ses propos…
C’est à 10 heures 50 que le président du Front populaire ivoirien Pascal Affi N’Guessan, accompagné de son équipe de campagne, est arrivé au siège de la Commission électorale indépendante (CEI) à Cocody Deux-Plateaux pour le dépôt de son dossier de candidature. Souriant, décontracté, il a été reçu par une équipe de l’institution électorale qui a réceptionné son dossier. Après cela, Pascal Affi N’Guessan s’est adressé aux nombreux journalistes (une trentaine) venus couvrir l’événement. Voici l’intégralité de son propos. Il au aussi pris un bain de foule à la sortie et communié avec les nombreux militants venus le soutenir et qui étaient massés devant les locaux de la CEI.
Monsieur le président, vous venez de déposer votre candidature. Vous avez dit que c’est un acte important. En quoi le dépôt de votre candidature est un acte important ?
« C’est un acte important parce que c’est un acte qui marque que le changement est en marche. Parce que cet acte est l’acte fondateur du changement dans la mesure où nous avons déposé cette candidature au nom du Front populaire ivoirien pour gagner l’élection présidentielle d’octobre 2015 et apporter aux ivoiriens le changement qu’ils attendent à la fois pour la paix, pour la réconciliation nationale, pour la libération de tous les prisonniers politiques, pour le retour de tous les exilés, pour la restauration de la démocratie en Côte d’ivoire, pour mettre en œuvre toutes les actions diplomatiques nécessaires à la libération du président Laurent Gbagbo, pour mettre fin à la pauvreté, à la cherté de la vie, pour construire des emplois pour les jeunes, pour faire en sorte que les femmes participent activement au développement de ce pays. En fait, c’est cela l’enjeu de cette élection qui va avoir lieu en octobre. C’est par rapport à cela que le Front populaire ivoirien s’est engagé dans la bataille à travers le dépôt de la candidature que nous venons de faire ce matin. Donc nous nous engageons, au nom de la Côte d’Ivoire pour la Côte d’Ivoire afin que le pays retrouve la paix, la stabilité et la réconciliation nationale.
Après le boycott du parti, le FPI, est-ce de nature à vous inquiéter?
Non. Je crois que c’est un message qui est adressé aux ivoiriens.
Et aujourd’hui, nous savons que les ivoiriens dans leur grande majorité veulent le changement. Ils ne peuvent pas l’obtenir s’ils ne participent pas aux élections. Les élections sont une opportunité historique, une opportunité démocratique pour opérer le changement en Côte d’Ivoire. J’invite donc tous les électeurs qui veulent le changement, tous ceux qui veulent mettre fin à la situation inacceptable que nous vivons ici, au cauchemar que vivent les populations, à la tragédie dans laquelle nous sommes impliqués depuis tant d’années, tous ceux qui veulent la fin de tout cela, doivent savoir que l’élection est une occasion unique. En dehors de celle-là, nous serons obligés d’attendre encore cinq ans avant d’avoir une autre occasion. Donc mobilisons-nous pour le 25 octobre 2015. C’est la chance qui nous est offerte par l’Etat de Côte d’Ivoire, par notre constitution, pour mettre fin au drame que nous vivons. Et donc c’est pour cela qu’aucun ivoirien ne devrait bouder l’élection à venir.
Alors, vous affirmez que vous allez à ces élections pour gagner. Qu’est-ce qui motive votre conviction ?
Mais d’abord parce que le Front populaire ivoirien est un grand parti. Tout le monde le connait ici en Côte d’Ivoire comme en Afrique. Nous avons un bon programme. Nous avons des idées. Nous savons ce que nous voulons pour la Côte d’Ivoire et nous savons que ce que nous voulons pour la Côte d’Ivoire, c’est ce que les ivoiriens attendent. Nous avons aussi un bon candidat qui connait le terrain, qui connait les ivoiriens et que les ivoiriens connaissent, qui a une expérience gouvernementale, qui est apprécié de la communauté internationale. Ce sont tous ces atouts qui font que, logiquement, le Front populaire ivoirien à travers le candidat Affi N’Guessan devrait revenir au pouvoir le 25 octobre prochain »
Info: Adé Cacady
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Pour montrer son soutien à AFRIQUE MEDIA, IvoireDiaspo vous propose de suivre en direct la Télé Panafricaine Afrique Media sur son site:
http://www.ivoirediaspo.net/tv/afriquemedia.html
La chaîne Afrque Media se définit comme « une chaine d’information et Première chaîne de télévision panafricaine d’information multilingue ».
Le 4 juin dernier, le Conseil national de communication (CNC) camerounais a pris la décision de suspendre pour un mois la chaîne panafricaine Afrique Média, basée au Cameroun. A l’époque, les dirigeants de l’entreprise avaient fait appel de cette décision devant le Tribunal administratif, contestant la procédure et les raisons invoquées par l’organe de régulation. Alors que les bureaux de la chaîne à Yaoundé ont été fermés le 6 août dernier, les manifestants ont empêché la fermeture des locaux de Douala, d’où le média continuait d’émettre, ce lundi.
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by Le Magazine de la Diaspora Ivoirienne et des Ami(e)s de la Côte d’Ivoire
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a immédiatement suspendu deux soldats soupçonnés d’abus sexuels sur enfants au Burkina Faso, une célérité qui tranche avec la prudence observée lors d’un précédent scandale de même nature en Centrafrique.
« Deux soldats français en mission au Burkina Faso ont été soupçonnés, hier (lundi), de s’être livrés à des actes à connotation sexuelle sur deux enfants », a annoncé à l’AFP le ministère français de la Défense.
« Informé de ces soupçons, le ministre de la Défense a immédiatement signalé les faits allégués aux autorités judiciaires françaises compétentes (…). Il a également suspendu les deux soldats », a ajouté le ministère dans une déclaration écrite.
Une des victimes supposées des deux soldats est une fillette de 5 ans, dont les parents étaient amis des agresseurs présumés, a déclaré à l’AFP un haut responsable de la gendarmerie burkinabè.
« Il y a un soldat qui a filmé la scène avec une caméra quand le second effectuait les attouchements », a déclaré cette source proche de l’enquête.
La victime est « une mineure de 5 ans environ dont le père est Burkinabè et la mère Française », a poursuivi le gendarme, ajoutant que « les deux soldats sont des amis de la famille », chez qui ils ont « oublié la caméra » grâce à laquelle ils avaient enregistré leurs méfaits.
Le père de la fillette, après avoir visionné les images, a porté plainte à l’ambassade de France à Ouagadougou, qui a à son tour saisi la gendarmerie burkinabè, selon cette même source.
– Deux enquêtes ouvertes en France –
« Une enquête de commandement a été déclenchée par le chef d’état-major des armées », le général Pierre de Villiers, a annoncé le ministère français. « Si les faits étaient avérés, l’armée se montrerait implacable à l’égard des deux personnes concernées », a souligné le ministère.
Le parquet de Paris a ouvert dans la foulée, dès mardi soir, une enquête préliminaire pour agressions sexuelles sur mineurs, a appris l’AFP de source judiciaire. L’enquête a été confiée aux prévôts de la gendarmerie, chargés des investigations sur les militaires déployés sur les théâtres d’opérations extérieures.
La décision de rendre l’affaire publique de même que la suspension quasi-immédiate des deux soldats, pour l’heure seulement suspects, sont aux antipodes du traitement réservé au premier scandale de viol sur mineurs, qui a écorné l’image de l’armée française.
Jean-Yves Le Drian, informé dès juillet 2014 par les Nations unies d’accusations d’abus sexuels sur des enfants en Centrafrique, avait alors saisi la justice française et lancé une enquête interne, comme au Burkina Faso, mais n’avait pas dévoilé l’affaire ce qui lui fut reproché lorsque le scandale éclata au grand jour fin avril.
Les accusations en Centrafrique, dénoncées dans un rapport interne de l’ONU, ont été révélées in fine par le quotidien britannique The Guardian, suscitant indignation et incompréhension face à une armée qui se veut exemplaire.
– Malaise dans l’armée –
Selon une source judiciaire, 14 militaires français ont été mis en cause, dont trois sont identifiés, par les témoignages de six enfants de neuf à treize ans dénonçant des faits commis au début de l’opération Sangaris entre fin 2013 et fin mai-début juin 2014.
Jusqu’à ce jour, les trois militaires identifiés, qui ont depuis quitté la Centrafrique, n’ont pas été inquiétés au nom de la présomption d’innocence.
« Si d’aventure un seul d’entre eux a commis de tels actes, qu’il se dénonce immédiatement (…) car cela revient à trahir ses camarades, l’image de la France et la mission des armées », avait alors réagi le ministre de la Défense.
Au total 3.000 militaires français sont déployés au Sahel –dont 220 environ au Burkina Faso– dans le cadre de l’opération antiterroriste Barkhane qui s’étend sur cinq pays (Mauritanie, Mali, Tchad, Burkina Faso et Niger).
S’y ajoutent environ 900 soldats en Centrafrique où le contingent initial (2.000 hommes) a été progressivement réduit pour laisser la place à la force de l’ONU (Minusca).
Autre différence notable, la justice burkinabè a été immédiatement « saisie par l’ambassadeur de France à Ouagadougou », a précisé le ministère de la Défense. A Bangui, les autorités de transition ont déploré n’avoir été informées que tardivement de l’enquête française sur des viols présumés d’enfants par des militaires français.
L’affaire centrafricaine a aussi suscité un certain malaise au sein de l’armée française qui redoute que ce genre d’accusations, fondées ou pas, ne se multiplient et n’ouvrent la porte à tous les dérapages.
« Soit ces affaires sont avérées, auquel cas c’est extrêmement grave (…). C’est toute une armée qui en prend plein la figure », relève le chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Jean-Pierre Bosser. « Soit ce n’est pas avéré et c’est aussi grave (…). Tous nos soldats sont assimilés à des violeurs d’enfants. »
VOA
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Les Ivoiriens qui ne se sont pas inscrits sur la liste électorale ont encore 12 jours pour le faire à partir de ce mercredi 1er juillet. C’est la substance du décret pris hier par le chef de l’Etat, le président Alassane Ouattara et relayé tard dans la soirée, ce mardi 30 juin, sur la première chaîne de la télévision nationale. Le faible taux d’enrôlement des électeurs par la Commission électorale indépendante (CEI) pour les élections d’octobre prochain est, sans l’ombre d’un doute, l’une des raisons de cette décision. Le Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur Hamed Bakayoko a même effectué, à cet effet, une visite de travail le lundi 29 juin à l’Office nationale d’identification (ONI) au Plateau, pour s’imprégner de très près des problèmes éprouvés par la structure dans la confection des cartes nationales d’identité, document nécessaire pour l’inscription sur la liste électorale. Il avait annoncé que l’ONI était en voie d’acquérir une machine de production de 300 mille cartes par mois. Par ailleurs, le ministre de l’Intérieur avait informé, séance tenante, d’une rencontre qui a lieu ce même jour, à la CEI, en vue d’une éventuelle prorogation de la date butoir de l’inscription sur la liste électorale qui était initialement fixée au 30 juin 2015.
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Bamako – Le groupe jihadiste Ansar Dine a revendiqué mardi les attaques du week-end dernier contre deux localités du Mali proches de la Mauritanie et de la Côte d’Ivoire, et menacé de s’en prendre à ces deux pays.
L’attaque samedi matin contre un camp militaire à Nara (centre) a fait trois tués parmi les militaires maliens, ainsi que neuf chez les assaillants, selon le gouvernement, tandis qu’à Fakola (sud) dimanche, des bâtiments administratifs et de sécurité ont été saccagés.
« Nous revendiquons l’attaque de Nara et celle de Fakola, terres d’islam, pour punir les ennemis de l’islam », a déclaré par téléphone Ismaël Khalil, membre d’Ansar Dine, un des groupes jihadistes qui ont contrôlé le nord du Mali de mars-avril 2012 jusqu’au lancement, en janvier 2013, d’une intervention militaire internationale à l’initiative de la France.
« Nous allons multiplier les attaques en Côte d’Ivoire, au Mali et en Mauritanie, des pays qui travaillent avec les ennemis de l’islam », a affirmé à l’AFP ce prédicateur radical malien.
Formé à l’école coranique dans la région de Mopti (centre), avant
d’effectuer des séjours en Arabie saoudite et au Nigeria, Ismaël Khalil, qui
appartenait à une secte islamiste, avait rejoint en 2012 dans le Nord le chef
d’Ansar Dine, Iyad Ag Ghaly, a indiqué à l’AFP une source de sécurité malienne.
Les attaques jihadistes ont commencé à déborder du Nord vers le centre du
pays, limitrophe de la Mauritanie, depuis le début de l’année, mais le Sud,
frontalier de la Côte d’Ivoire et du Burkina Faso, était épargné jusqu’à
l’attaque de Misséni le 10 juin, au cours de laquelle un militaire malien
avait été tué et deux autres blessés.
Deux autres groupes radicaux alliés d’Ansar Dine « ont également participé
aux attaques de ce week-end », a affirmé à l’AFP une source sécuritaire
malienne, précisant qu’ils étaient « composés de Maliens et d’étrangers qui
tentent de s’implanter au Centre et vers la frontière ivoirienne ».
Un ancien altermondialiste malien, Tahirou Bah, a aussi revendiqué les
attaques de Nara et Fakola au nom du Mouvement populaire pour la libération du
Mali (MPPLM), se présentant comme le secrétaire général d’un mouvement armé
« basé à la frontière avec le Burkina Faso ».
« Nous revendiquons les attaques de ce week-end. Nous sommes un groupe armé qui veut le changement de régime au Mali. Nous sommes laïcs », a déclaré à
l’AFP M. Bah, qui a dirigé un mouvement altermondialiste, « les Sans-voix »,
ayant participé il y a quelques mois à un rassemblement contre la France.
AFP
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Ivoiriennes, Ivoiriens, Mes chers compatriotes, Chers amis de la Côte Read more
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