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Déclaration des FDS(Forces de défenses et de sécurité) de Côte d’Ivoire Un message des forces pro-ivoirien

16 mai 2011 by Contribution

Déclaration des FDS(Forces de défenses et de sécurité) de Côte d’Ivoire Un message des forces pro-ivoirien

à l’attention de la population e t au-delà.

La déclaration des FDS non ralliés, qui a été relayée intégralement par téléphone sur un numéro masqué au quotidien l’inter, depuis leur base se veut une mise en garde sérieuse contre le régime Ouattara.

Ces militaires restés fidèles à la constitution ivoirienne, exigent la libération immédiate et sans conditions de Laurent Gbagbo et ses proches.

Demande à Mr Ouattara de renoncer à l’investiture qu’il compte organiser le samedi 21 mai prochain.

Demande aux chefs d’état voulant se rendre à cette mascarade d’événement, d’y renoncer.

Attendent le mot d`ordre du Général, avant d`entrer en action .

Demandent aux populations ivoiriennes de quitter le territoire ivoirien situé dans les potentielles zones de combats avant le 21 mai 2011.

Déterminés à renverser la situation, ils dénoncent, au passage, des exactions et exécutions sommaires sur des partisans du chef de l`Etat, son excellence Laurent Gbagbo, dans la commune de Yopougon et en interpellent le Gal Philippe Mangou. «Les partisans et sympathisants du président Laurent Gbagbo ne peuvent plus vivre en paix, ils sont pourchassés et tués.

Nous interpellons toute la communauté nationale et internationale de demander à Alassane Ouattara d`arrêter les épurations, car nos hommes sont sur le terrain avec toutes les preuves. (…). Nous interpellons et demandons au Gal Mangou, s`il est encore le chef d`Etat-major, de demander aux forces rebelles de Côte d`Ivoire de quitter Yopougon. Car à l`heure où nous parlons, ces forces continuent d`y perpétrer des exécutions sommaires et des arrestations arbitraires, et le général Mangou sera tenu pour responsable de tous ces faits, s`il ne réagit pas à temps. Nous lui demandons de leur dire de libérer les jeunes innocents emprisonnés dans un magasin de la station Lubafrique de Niangon au terminus 27, sous-prétexte qu`ils seraient des miliciens et à qui ils réclament la somme de 10.000 francs CFA pour les libérer».

Ces soldats pro-Côte d’Ivoire, qui demandent à la population de commencer déjà à sécher ses larmes, ne cachent pas leur connexion avec leurs camarades, qui ont créé un base à l`Ouest. « Nous remercions et encourageons nos amis qui se battent contre les forces rebelles à l`Ouest et sur toute l`étendue du territoire national», concluent-ils dans ce message, qui achève de convaincre quant aux lendemains toujours incertains en Côte d`Ivoire.

Affaire à suivre…

By: seka

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Tribune Libre : Le prochain duel à mort entre Ouattara et Soro. Qui éliminera l’autre ?

16 mai 2011 by Contribution

Tribune Libre : Le prochain duel à mort entre Ouattara et Soro. Qui éliminera l’autre ?

La sortie de Ouattara à Dakar au Sénégal a été faite avec le souci d’aller remercier Wade pour le soutien que ce dernier a apporté à Ouattara. D’ailleurs même si l’on peut se soucier des soldats Sénégalais tombés au combat pour cette guerre en Côte d’Ivoire, Wade en secret a dû demander des comptes à Ouattara dans une fraternité empreinte de fraternité musulmane. Et les parents des victimes : qu’est ce qu’ils en disent ?

Par ailleurs, la traditionnelle épreuve de question et réponse à laquelle s’abreuve tout individu qui arrive tout fraichement au pouvoir, même si ce pouvoir est teinté de sang, on n’échappe pas à la règle.
Mais, la prudence ou la démagogie dans les réponses données par Ouattara, l’on a bien senti que ce dernier n’a pu répondre qu’à demi-mot sinon en esquivant les questions les plus corsées, question de ne pas allumer des tensions au sein de la rébellion au pouvoir, même si Ouattara compte sur la force de la Licorne ou la force de l’armée française qui l’a placé au pouvoir après les bombardements des sites militaires et le palais présidentiel en tuant plus de 5000 ivoiriens.

La question qu’on attendait des journalistes c’est celle liée à l’armée ivoirienne dont les généraux , colonels, commandants, capitaines et de nombreux milliers de soldats ne sont plus que des tigres en papiers, car, en dehors des chars et des lances roquettes que les Français brandissent fièrement en Côte d’Ivoire en tant qu’armée d’occupation impérialiste, et en dehors des armes infâmes des FRCI, il n’y a pas apparemment plus d’armement propre à l’armée ivoirienne, en dehors des fusils portatifs et individuels. L’occupation de la Côte d’Ivoire est totale.

Passons….

Ouattara parle d’IB avec une certaine légèreté qui traduit le manque d’intérêt à cette mort. C’est normal question de ne pas avoir une brouille avec Soro, son premier ministre et ministre de la défense. Ce que Ouattara l’économiste oublie, c’est que Soro est prêt à lui foutre les balles dans le cul.
D’ailleurs, Ouattara a même mal et brièvement répondu à la question qui lui a été posée sur le cas Soro, à savoir s’il sera remplacé ou pas.

Ouattara a simplement ronronné dans une réponse à peine audible et placée dans une sortie d’embrouillamini, qu’il continue à être premier ministre, alors que les pressions de Paris ne sont plus à demander. Ouattara doit valser Soro à cause des crimes contre l’humanité.

Ouattara doit sûrement aller à Ouaga dans quelques jours, ensuite après ce voyage de Ouaga, il se rendra en France à Paris et tout droit à l’Élysée pour aller féliciter le maître Sarko pour l’avoir installé après d’intenses bombardements du palais présidentiel pour faire partir Laurent Gbagbo.
Cependant, pendant le départ de Ouattara, Soro pourra échafauder son petit plan avec ses commandants. ET, tout le monde sait combiens les maîtres sont changeants.

«Ouattara est un homme du passé, il doit toujours partir». Rêve ou réalité, de toutes les façons, le scenario est en marche depuis quelques temps.
La guerre interne ne fait que commencer. Voir Soro sortir, cela devra se faire avec doigté. Oui, il va toujours sortir par la grande porte, les crimes sont d’un grand niveau des violations des droits de l’homme. Paris est embarrassée, Les ONG des droits de l’homme et surtout la Cour Pénale Internationale, ont bien changé leurs études. Ouattara au pouvoir, mais pas Soro, cela facilitera la compensation.

Soro le cruel criminel a réussi de tromper la vigilance de la CPI, mais, elle vient de se rattraper. Soro sera bel et bien traduit devant la justice pour crime contre l’humanité.

Gervais Mboumba, militant des droits de l’homme

Lundi 16 Mai 2011

Gervais Mboumba, militant des droits de l’homme

By: Gervais Mboumba, militant des droits de l’homme

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Cote Ivoire : Bédié en résidence surveillée à Daoukro ?

16 mai 2011 by Contribution

Cote Ivoire : Bédié en résidence surveillée à Daoukro ?

r Bongo.

Il y a quelques jours l’on parlait de clash au golf hôtel, des informations rendues publiques faisaient état de ce que le torchon brûle entre les deux responsables de la coalition du RDHP.

L’assassinat d’Ibrahim Coulibaly jugé hostile au pouvoir en place en a été la bûchette incandescente. Dans la même ligne de suspicion, Kouadio Konan Bertin (KKB) Président de la Jeunesse du PDCI, été indexé de collaborer avec le putchiste assassiné.

Cette autre accusation a mis la poudre au feu au sein du RHDP, et Bédié qui de toute évidence se voit dans le viseur de sbire de Ouattara. Ce fut donc le clash dont faisaient état les informations il quelques plutôt.

Mais la situation était bien au-delà d’un clash, car selon certaines sources bien informées le Président Bédié aurait été mis aux arrêts au Golf Hôtel deux jours avant la cérémonie d’Investiture au palais présidentiel, et que par la suite il aurait déporté à Daoukro, où il serait assigné en résidence surveillée.

Cette dernière information semble être la plus complète, car on le sait que le Président Bédié était le grand absent à l’investiture, et l’on a évoqué globalement, un empêchement, pour certains du fait de son anniversaire, et d’autres pour le coup de sang non encore digéré.

Nous n’avons pourtant cessé de nous faire toute sorte d’interrogations quant à la vraie raison de cette absence au palais ce jour-là.

Est-ce pour l’Anniversaire ?-Est-ce pour la colère ? –Est-ce pour les deux choses combinées, c’est-à-dire l’anniversaire pour masquer le coup de colère ?

Analyse :

D’une part, un an de plus ! C’est précieux certes, mais pour le Président Bédié, il est de trop, car cet an l’éloigne davantage du pouvoir, dans la théorie soit au vue de la Constitution ; il venait déjà d’être repêché pour la dernière élection, et dans la pratique, temps qui passe, à ce stade de la vie, ruine le physique plutôt, mais nous connaissons les grandes envies de pouvoir du Président Bédié, c’est pourquoi nous pensons que l’investiture le rapprochait davantage du pouvoir, et il n’avait jamais été au si proche du palais après son éviction il y a 12 ans. C’est donc chose absolument incohérente de notre point vue de dire qu’il ait préféré son anniversaire à cette cérémonie. En plus ça aurait pu être « la cerise sur le gâteau » en associant son anniversaire à l’investiture à un pouvoir dont il l’un des piliers.

D’autre part, ne pas y être pour le coup de sang, nous disons que c’est une maladresse que de réagir sur un coup de tête, une grosse erreur politique à plusieurs égards : dans l’immédiat ce retrait facilite le partage, en effet Ouattara est en train de coiffer au poteau le PDCI, mais à long terme, ce sera une répression sur cette partie des ivoiriens jusqu’alors « intouchable », et ce sera pire que celle subie par le FPI et tout son peuple.

Ce serait le comble d’agir ainsi quand on a engagé 26% de son peuple dans une aventure si périlleuse, car c’est bien ce calcul mathématique qui fonde la mauvaise foi des occidentaux quand ils refusent la victoire de LG, en faisant 26%+32%, ceci est non avéré dans le fait au second tours, c’est même mesquin, mais le Président Bédié aura ouvert cette voie par ce cynique appel au vote pour l’alliance, alors même qu’un appel à l’abstention du PDCI, à défaut reconnaître la victoire de la LMP, nous aurait évité cette interprétation mesquine et la mauvaise foi aurait été moindre, en mettant en avant « une prétendue parité » au score , et par conséquent une voie pacifique soit reprise partielle ou total soit le recomptage.

Pourtant le Président Bédié avait un gros motif de prendre ses distances vis à vis de l’alliance, suite à une fin de non recevoir à sa requête, sans soutien du RDR, sur les voix du premier tour. Cela aurait pu être une occasion de garder la main et permettre à son parti de conserver sa place réelle dans l’arène ; ses acquis politiques : son autonomie, ensuite placer sa popularité en pôle position. Ce n’est donc pas seulement maintenant qu’il va réagir de cette manière. Mais si cette seconde option est avérée, alors il a aussi mis sa propre tête à prix, et c’est ce qui nous conduit à la troisième interrogation.

Est-ce l’anniversaire pour masquer le coup de colère ? Cette question en soulève une autre, le Président Bédié aurait-il peur de quelque chose ?

Nous pensons que si mascarade, il y a, ce n’est pas vraiment la colère du Président Bédié, mais plutôt sa mise en résidence surveillée et de surcroît à Daoukrou, loin de tous les regards, là où ses geôliers peuvent tout se permettre. Aussi faudra-t-il s’attendre au scénario de janvier 2011 ; quand pour donner une suite aux préoccupations sur sa situation au Golf Hôtel, il avait dit être en mission et être tranquille. Dans tous les cas il y a anguille sous roche, car rien ne semble cohérent dans cette situation. Mais, gardons le calme, et attendons de voir, les jours à venir nous en diront plus.

Affaire à suivre…Que Dieu bénisse notre pays, la Côte d’Ivoire est toujours si belle même quand elle saigne, préservons-la !

Emile Gnohan Gouaposeré.

By: Emile Gnohan Gouaposeré.

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Côte d’Ivoire : qui va assurer la défense de Laurent Gbagbo?

14 mai 2011 by Contribution

Côte d’Ivoire : qui va assurer la défense de Laurent Gbagbo?

Samedi, 14 Mai 2011 08:11

La famille de Laurent Gbagbo a modifié la liste des avocats chargé d’assurer la défense de l’ex président. Désormais, selon ce communiqué, Jacques Vergès, Roland Dumas, Marcel Ceccaldi et Lucie Bourthoumieux ne font plus partie du collectif avocats. Faux rétorque plusieurs conseillers de Laurent Gbagbo, ces quatre personnalités restent les avocats de Laurent Gbagbo.

Laurent Gbagbo n’est pas encore poursuivi par la justice mais déjà son entourage se déchire pour savoir qui assurera sa défense. Qui sont aujourd’hui ses avocats ? Bien difficile de répondre à cette question avec la moindre certitude. Désormais, deux groupes affirment être mandatés pour s’occuper des affaires judiciaires le concernant.

D’un côté, il y a celui mandaté par Marie-Antoinette Singleton, la fille de Simone Gbagbo. Dans ce collectif, on retrouve le très médiatique Gilbert Collard et dix autres avocats, des Français et des Africains. Pourquoi avoir modifié l’équipe initiale ? Parce qu’elle ne gagne pas, explique un membre de ce groupe. Exit donc les stars du barreau que sont Jacques Vergès ou Roland Dumas ? Pas du tout répondent deux conseillers de l’ex-président.

De l’autre, le Français Bernard Houdin affirme que cette nouvelle liste n’a aucune valeur et Laurent Gbagbo a fait savoir au procureur venu l’auditionner à Korhogo que ses quatre principaux défenseurs restaient les mêmes. Ce conseiller spécial de l’ex-président affirme par ailleurs que tous les actes posés par Toussaint Alain et la belle-fille de Laurent Gbagbo sont nuls et non avenus.

Plus modéré, l’un de ces avocats considère que la famille s’impatiente, s’angoisse et cède à tous ceux qui lui promettent monts et merveilles. Laurent Gbagbo, lui, n’a pas encore vu ses défenseurs mais déjà on peut prévoir dans les prochains jours un embouteillage de robes noires à l’aéroport d’Abidjan.

Par ailleurs, la division des droits de l’homme de l’Onuci a rendu visite le 10 mai aux sept proches de Laurent Gbagbo retenus à Bouna dans le nord-est du pays. Parmi ces personnalités retenues à la prison civile de Bouna, il y a le président du FPI, Pascal Affi Nguessan, le fils de l’ex-chef de l’Etat, Michel Gbagbo, ou encore l’un des conseillers diplomatiques de Laurent Gbagbo, Nyamien Yao.

Selon une source interne aux Nations unies, les conditions de détention sont assez dures, d’autant que trois des sept personnes incarcérées souffrent de divers problèmes de santé. L’Onuci a demandé au gouvernement de prendre des mesures particulières pour que ces proches de Laurent Gbagbo reçoivent les soins dont ils ont besoin.

By: seka

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Côte d’Ivoire : Reporters sans frontières exprime sa déception à Ouattara Alassane

13 mai 2011 by Contribution

Côte d’Ivoire : Reporters sans frontières exprime sa déception à Ouattara Alassane

ABIDJAN – Reporters sans Frontières a exprimé vendredi sa déception à Alassane Ouattara sur la situation de la liberté de la presse en Côte d’Ivoire un mois après la capture du Président Laurent Gbagbo par les forces spéciale Françaises.

Selon l’organisation, la situation de la presse en Côte d’Ivoire demeure problématique. Les journaux proches du Président ivoirien Laurent Gbagbo, ne paraissent toujours plus. Les locaux du quotidien Notre Voie, un quotidien proche du Front populaire ivoirien (FPI, parti de Laurent Gbagbo) sont même occupés par des combattants d’Alassane Ouattara qui interdisent l’accès des lieux aux journalistes.

« L’absence de presse d’opposition porte un coup très dur à la liberté de la presse en Côte d’Ivoire. Dans ces conditions, nous craignons que ne se développe le règne de la pensée unique. Le gouvernement d’Alassane Ouattara suscite des attentes dans le domaine du respect des libertés. Il doit les satisfaire », a déclaré l’organisation.

Les rédactions des quotidiens Notre Voie et Le Temps ont été saccagées et leur imprimerie a été incendiée par les combattants d’Alassane Ouattara.

« Cette situation est tout à fait nouvelle. Dans le passé, les locaux du Patriote, quotidien favorable à Alassane Ouattara, avaient été attaqués et détruits, mais jamais occupés comme le sont ceux de Notre Voie aujourd’hui. Nous ne comprenons pas le comportement des FRCI qui violent de façon flagrante le droit des employés de ce journal de se rendre sur leur lieu de travail », a estimé Reporters sans frontières.

Dans un discours prononcé au Conseil national de la presse, le 3 mai 2011, à l’occasion de la 20è Journée internationale de la liberté de la presse, le ministre de l’Intérieur et de la Communication, d’Alassane Ouattara, Hamed Bakayoko, avait eu des mots peu rassurants vis-à-vis des médias.

« La liberté oui, mais elle a ses limites. La liberté a une certaine frontière. On ne parle plus de liberté quand elle transcende certaines valeurs. Des gens avaient pensé que l’impunité était sans limite. Il faut qu’ils réalisent que ce n’est plus possible. On ne peut pas déstabiliser le tissu social simplement parce qu’on est journaliste. Nous n’allons pas accepter que la presse enfonce la Côte d’Ivoire. La presse porte une responsabilité importante dans cette crise. Les journaux et les journalistes ont voulu être aux avant-postes des politiques, ils ont voulu aller plus loin que les politiques », a-t-il déclaré.

By: SEKA

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Côte d’Ivoire : Communiqué de presse de la famille du Président Gbagbo

13 mai 2011 by Contribution

Côte d’Ivoire : Communiqué de presse de la famille du Président Gbagbo

Ce vendredi 13 mai 2011 – La Famille GBAGBO est très inquiète quant au respect des droits attachés à la personne du Président Laurent GBAGBO et de son épouse Madame Simone GBAGBO.
En effet, les avocats mandatés par la Famille n’ont, à ce jour, toujours pas reçu de permis de communiquer avec le couple présidentiel et leurs collaborateurs, et cela malgré leurs nombreuses demandes adressées aux autorités ivoiriennes.

La Famille condamne fermement ces violations flagrantes des droits de la défense dont se rendent coupables les autorités de Monsieur Ouattara.

La Famille GBAGBO tiendra pour responsables Monsieur Ban KI-MOON, Secrétaire général de l »ONU, et son Représentant spécial en Côte d’Ivoire, Monsieur Young-Jin CHOI, des conséquences de cette situation sur la vie de Monsieur et Madame GBAGBO.

En effet, nous nous étonnons de l’attitude de l’ONUCI, qui a été très réactive lorsqu’il s’agissait d’appuyer les bombardements de la Licorne dont fut victime la Côte d’Ivoire, mais qui demeure étrangement très passive et silencieuse pour ce qui est des atteintes aux Droits de l’Homme. Ceci est d’autant plus étrange que c’est la mission qui lui a toujours été confiée dans les différentes résolutions.
A cet égard, la Famille GBAGBO a demandé à ses avocats de faire diligences quant aux manquements de l’ONUCI au regard de sa mission.

Enfin, compte-tenu de la gravité de la situation, la Famille GBAGBO a décidé de modifier et de renforcer le Collectif des avocats en charge de la défense du Président Laurent GBAGBO et de son épouse Madame Simone GBAGBO.

La famille GBAGBO informe qu’à ce jour, seuls les avocats ci-dessous mentionnés ont reçu mandat exclusif de sa part pour assister et représenter le couple présidentiel et leurs proches collaborateurs :

„h Me Habiba TOURÉ (France)
„h Me Gilbert COLLARD (France)
„h Me Josette KADJIS (Cameroun)
„h Me Michel NOULOWE (Cameroun)
„h Me Aref Mohamed AREF (Djibouti)
„h Me Simplice Séri ZOKOU (Bruxelles)
„h Me Jean-Charles TCHIKAYA (Congo)
„h Me Charles TCHOUGANG (Cameroun)
„h Me Ciré Clédor LY (Sénégal)
„h Me Thomas NUAKOWARD-BREW (Ghana)
„h Me Elesy NUAKOWARD-BREW (Ghana)
Le Collectif est domicilié à Abidjan (Côte d’Ivoire). Il comptera en outre deux (2) avocats Sud-Africains, un (1) avocat Angolais et un (1) avocat Cap-Verdien.

Pour la Famille GBAGBO
Madame Marie-Antoinette SINGLETON,
Fille de Laurent et Simone GBAGBO vivant aux États-Unis

By: seka