Exclusivité/ Accusé d’extorsion de fonds portant sur la somme de 2 millions de Fcfa, M. Tohou Henri est incarcéré depuis le 3 janvier 2014. Pour la première, il donne sa version des Faits, ici au micro de Philippe Kouhon, depuis sa cellule de prison de la Maca à Abidjan.
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COMMUNIQUE DE LA REPRESENTATION DU FPI EN FRANCE
Nous venons de lire avec un grand étonnement un communiqué de la camarade Brigitte Kuyo, SN du Fpi dans lequel elle informe les militants, les militantes et sympathisants du Fpi de la mise en place d’un comité Ad ‘Hoc pour une levée de fonds pour le compte du Fpi en France. Une telle démarche de la part de notre camarade est malheureuse et infondée car elle est menée au détriment des statuts et règlements intérieurs du Front populaire ivoirien. Faut-il préciser que l’article 62 des Statuts du Front populaire ivoirien stipule qu’ « à l’étranger, le FPI existe sous la forme d’une Représentation et de sections ». Seule la Représentante du Front populaire ivoirien est donc fondée à initier toute action au nom du Front populaire ivoirien sur le territoire français. Toute autre initiative émanant de toute autre personne, fut-elle de la Secrétaire nationale chargée des Représentations et de la diaspora est contraire à nos dispositions statutaires et donc frappée de nullité. Je rappelle qu’en son temps lorsqu’elle était Représentante du Fpi en France, la camarade Brigitte Kuyo s’était systématiquement opposée à tout acte n’émanant pas d’elle sur le territoire français en vertu de ces mêmes dispositions statutaires. Pire, la camarade Brigitte Kuyo avait refusé de collaborer avec la direction intérimaire du Fpi et s’était opposée farouchement à la levée de fonds initiée pour parer aux difficultés financières du parti. La camarade Brigitte Kuyo, en tentant ainsi maladroitement de procéder à une levée de fonds en France outrepasse ses missions qui ne sont que des missions de coordination de l’activité des Représentations du Fpi à l’étranger. La Secrétaire nationale n’a donc pas vocation à se substituer aux Représentations dont les missions sont définies de façon statutaire. En conséquence, je déclare nulle et de nul effet cette disposition de la camarade Brigitte Kuyo instituant un comité Ad ‘hoc en France pour une levée de fonds. J’invite les militantes, les militants et les sympathisants du Fpi à ne pas s’inscrire dans cette action et à ne pas se laisser abuser par la camarade Brigitte Kuyo. J’appelle les militantes, les militants et les sympathisants du Fpi de France au calme. En son temps, la Représentation du Front populaire ivoirien en France informera les Ivoiriennes et les Ivoiriens désireux d’aider au financement du Fpi de le faire dans le calme et dans un esprit assaini.
Faits à Paris le 7 janvier 2014
Mme Hortense Adé Assalé Représentante du Fpi en France
Ampliation – Pascal Affi N’Guessan, Président du Fpi – Laurent Akou, Secrétaire Général du Fpi – Dr Richard Kodjo, Vice-Président du Cercle Fpi Franceline Emile Kohou Kwahi
Abidjan: Voici les images de l’effondrement d’un immeuble à Yopougon-Maroc ce mardi 07 janvier 2014 [VIDEO]
[VIDEO] YOPOUGON. Voici les images de l’effondrement d’un immeuble à Yopougon-Maroc (mardi 07 janvier 2014).
Un immeuble s’est effondré dans la Commune de Yopougon au quartier Maroc ce mardi en début d’après-midi. Le drame, selon notre reporter sur place a fait six victimes.
C’est à 15 h 30 non loin de l’Hôtel Kimi au quartier Maroc dans la commune de Yopougon, que l’immeuble s’est effondré. Selon les témoins, les prémisses de la catastrophe étaient visibles depuis le 31 décembre 2013 dernier.
Info: Alain Toussaint
Israël ne veut plus d’Africains
Pour satisfaire la population, le gouvernement israélien s’est lancé dans une campagne d’expulsion des réfugiés africains.
C’est la grande préoccupation du moment en Israël. Il ne s’agit pourtant ni de la menace iranienne encore moins du renoncement de l’Autorité palestinienne à réclamer un État à l’ONU, mais bien du nombre grandissant de clandestins africains présents dans le pays. D’après le ministère israélien de l’Intérieur, ils sont 62 000 « infiltrés » (terme tout d’abord utilisé par Israël pour désigner les terroristes palestiniens, NDLR) à être illégalement entrés en territoire israélien par le biais du Sinaï égyptien. Ils proviennent majoritairement du Soudan, du Soudan du Sud et de l’Érythrée, trois pays marqués par la guerre. « Ce ne sont pas des clandestins, mais des demandeurs d’asile », rectifie Yael Aberdam, coordinatrice du projet d’aide aux demandes d’asile de l’ONG Africa Refugee Development Center (ARDC) à Tel-Aviv.
En cas d’arrestation sur le territoire, les réfugiés sont envoyés dix jours en prison. À l’issue de cette période, ils sont reconnus par l’État israélien comme « demandeurs d’asile ». Ils reçoivent alors une licence de libération sous condition. Problème, contrairement à la France qui dispose de l’Ofpra pour répondre à leur demande, il n’existe en Israël aucun organisme pour traiter leur dossier. « Le vrai problème est qu’Israël n’a développé aucune politique sur la question des réfugiés », explique au Point.fr Yael Aberdam. Ainsi, depuis la création de l’État, seuls 160 Africains ont obtenu le statut de réfugié. Résultat, Israël se retrouve aujourd’hui totalement dépassé par l’afflux massif de migrants africains, dont le nombre a été multiplié par six en quatre ans.
Accumulation de misère
Or, en étant signataire de la convention de Genève sur les réfugiés, Israël ne peut pas se permettre de renvoyer dans leur pays des personnes menacées chez elles. En sortant de l’illégalité, les réfugiés ne se voient toutefois pas accorder de permis de travail, ni aucune autre aide. « Le bus les dépose, sans rien, dans le sud de Tel-Aviv », raconte Yael Aberdam. « Ils restent alors en groupe et s’entassent à quarante dans des taudis. » Or, ces quartiers rassemblent déjà les classes les plus défavorisées de la ville. Ce sont elles qui ont dressé des tentes à l’été 2011 pour dénoncer le coût de la vie.
Une accumulation de misère qui ne pouvait que s’enflammer. Il n’a fallu qu’une étincelle – deux accusations de viols – pour mettre le feu aux poudres. Le 23 mai, une manifestation regroupant près d’un millier d’Israéliens contre les immigrés dégénère en violences racistes. Aux cris de « Les Soudanais au Soudan ! », certains des manifestants attaquent et pillent des magasins tenus par des Africains, et endommagent à coups de pierres plusieurs voitures transportant des immigrés. La haine est telle que certains s’en prennent à un Juif éthiopien – donc citoyen israélien -, avant de reconnaître leur « erreur ».
« Nous vivons dans une situation de crainte extrême », témoigne au Point.fr Oscar Olivier, immigré d’origine gabonaise et militant. « L’extrême droite israélienne se livre à l’incitation à la haine contre les réfugiés, en étant appuyée par certains membres du Likoud (le parti du Premier ministre, Benyamin Netanyahou, NDLR) », dénonce-t-il. En effet, parmi les manifestants du 23 mai figurait le député Miri Regec qui a assimilé les clandestins à « un cancer qui prolifère ». Très vite, la provocation fait des émules au sein même du gouvernement.
« Protéger le caractère juif d’Israël » (ministre israélien de l’Intérieur)
Le ministre de l’Intérieur, Elie Yishaï, chef du parti religieux Shass, n’hésite pas à affirmer qu’il faut les « renvoyer chez eux, car ils viennent prendre le travail des Israéliens » et qu' »il faut protéger le caractère juif de l’État d’Israël ». À l’opposé, le maire de gauche de Tel-Aviv, Ron Huldaï, estime que « si le gouvernement permet aux immigrés illégaux de s’installer à Tel-Aviv, il faut leur donner les moyens de vivre en leur permettant de travailler ». Mais la manifestation violente n’est que le point de départ d’autres incidents bien plus graves.
Le 4 juin, des inconnus tentent de mettre le feu à un immeuble de Jérusalem où vivent dix-huit immigrants africains, faisant quatre blessés. Sur le mur de l’immeuble est inscrit en hébreu : « Dégagez du quartier ! » S’il condamne les violences, le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, assure toutefois que la clôture de 250 kilomètres qu’Israël construit depuis 2010 le long de sa frontière avec l’Égypte, dans le désert du Sinaï, sera achevée dans les meilleurs délais. En outre, il ajoute que les clandestins seront « bientôt » renvoyés dans leur pays d’origine. « Le Premier ministre israélien joue au pyromane pompier », regrette Oscar Olivier. Et le ministre de l’Intérieur, Elie Yishaï, ne va pas se faire prier pour lancer l’opération « Retour à la maison ».
Tout d’abord, il décide d’appliquer une loi, votée en début d’année par la Knesset (parlement), faisant passer de dix jours à trois ans la période d’emprisonnement des immigrés. Il charge ensuite la police de l’immigration de mener une véritable traque dans les quartiers pauvres de Tel-Aviv, mais aussi dans la station balnéaire d’Eilat (mer Rouge), où les quelque 15 000 immigrés africains constituent un quart de la population locale. En trois jours, 240 étrangers originaires d’Afrique sont interpellés. En parallèle, il lance des mesures incitatives pour tous les volontaires qui seraient disposés à quitter le pays. Israël se dit prêt à financer leur billet d’avion et à octroyer à chaque adulte une somme de 1 000 euros – et de 270 euros pour les enfants. En apprenant la nouvelle, trois cents réfugiés se sont immédiatement livrés à la police. L’offre, précise le ministère de l’Intérieur, n’est valable que pour une semaine.
Centre de rétention dans le désert
Après avoir rejeté le recours de plusieurs organisations de défense des droits de l’homme, un tribunal israélien autorise l’expulsion de quelque 1 500 personnes originaires du Soudan du Sud, pays avec lequel l’État israélien entretient des liens privilégiés. La mesure est ensuite étendue au cas de 2 000 ressortissants ivoiriens. « Nous avons été frappés par la rapidité de l’expulsion : deux jours », déplore Yael Aberdam de l’ARDC. « Ils n’ont même pas laissé les enfants finir leur école. » Signe d’une mission accomplie, le départ des 120 premiers réfugiés à l’aéroport Ben-Gourion de Tel-Aviv est très médiatisé.Le ministre Elie Yishaï prend soin de se faire photographier au milieu de Sud-Soudanais souriants. Parmi eux figure Peter Andrew, qui vivait en Israël depuis plus de cinq ans, et qui arborait pour l’occasion un tee-shirt proclamant en hébreu « Merci à tous, merci à l’État d’Israël ».
« Ce n’est qu’un début, car il faut défendre les intérêts de l’État d’Israël », prévient le ministre de l’Intérieur. « La prochaine étape est le départ d’Israël de tous les clandestins d’Érythrée et du Soudan. (…) Leur permettre de rester signifierait la fin du rêve sioniste« , estime Elie Yishaï. En attendant, il prévoit de transférer la dizaine de milliers d’immigrés restants vers un énorme centre de rétention en cours de construction et des camps de toile, dans le désert du Néguev (sud du pays). Mais le plus étonnant reste que ces expulsions n’ont soulevé que peu d’indignation au sein de la population.
L’article intégral dans LePoint.Fr : http://www.lepoint.fr/monde/israel-ne-veut-plus-d-africains-19-06-2012-1475352_24.php
Lettre ouverte de Collectif Justice Pour Tous à Manuel Valls
Lettre ouverte transmise ce jour au ministre de l’intérieur par Collectif Justice Pour Tous qui agit depuis 20 ans sans relâche, et sans rien n’attendre que le respect du droit.
– lettre ouverte au ministre à monsieur le Ministre de l’Intérieur, ex-député de l’Essonne et ex-Maire d’Evry
Vous avez mis en avant dernièrement la notion de « trouble à l’ordre public » à propos des prestations artistiques de l’artiste Dieudonné.
Il se trouve que depuis février 2013, nous alertons l’ensemble des parlementaires (Assemblée Nationale et Sénat) sur des violations graves et répétées des principes fondamentaux de la République, commises par l’Autorité judiciaire.
Ce non respect des principes fondamentaux de l’Etat par un des pouvoirs de la République constitue un « trouble évident à l’ordre public »
Les violations les plus graves constatées sont au nombre de trois
– Le non-respect par l’Autorité judiciaire des « obligations primordiales » qui la fondent et la justifient : un tel irrespect des règles fondamentales ne peut que générer un grave « trouble à l’ordre public », dans la mesure où il autorise chacun à se faire justice à soi-même.
– La violation de la liberté de réunion et d’association par ladite Autorité judiciaire : cet outrage, véritable insulte aux principes des libertés fondamentales à toute République démocratique, constitue à l’évidence un facteur aggravant de « troubles majeurs à l’ordre public » .
– La violation du principe de la « Propriété inviolable et sacrée » : ce principe fondamental est un « droit naturel attaché à la personne humaine », reconnu comme tel par la Constitution française, par la Cour Européenne des Droits de l’Homme et par la Déclaration universelle des Droits de l’Homme ; le mépriser relève du sacrilège et constitue un « trouble à l’ordre public ».
Par ces violations graves et répétées, l’Autorité judiciaire a fait de la France un Etat de non-droit, ôtant par là-même toute légitimité aux représentants politiques et aux institutions françaises.
Ces gravissimes « troubles à l’ordre public », engendrés par le comportement délictueux et totalement irresponsable de l’Autorité judiciaire, nécessitent la refondation de la République française.
Le mal est d’autant plus profond que tout citoyen digne de ce nom peut aisément en mesurer les conséquences nationales et internationales.
Il est en conséquence impératif et urgent de redonner à la France un statut d’Etat de droit, à défaut de quoi celle-ci n’a plus sa place ni au sein de l’Europe, ni sur la scène internationale.
Vos collaborateurs et vous-même ayant toujours ignoré nos demandes de rendez-vous, nous ne les réitérerons pas, d’autant que votre perte de légitimité – inévitable dans une France qui n’est plus un État de droit – nous contraint à en appeler, in fine, à un sursaut républicain général ; en conséquence nous laissons à votre conscience républicaine le soin de prendre les décisions personnelles et politiques qui s’imposent.
Croyez à notre parfaite détermination à faire rétablir l’Etat de droit en France.
Rappel de quelques notions :
Les libertés fondamentales ou droits fondamentaux représentent juridiquement l’ensemble des droits primordiaux pour l’individu, assurés dans un État de droit et une démocratie.
Le Conseil constitutionnel a identifié onze principes consacrés comme principes fondamentaux reconnus par les lois de la république :
1. la liberté d’association
2. les droits de la défense
3. la liberté individuelle
4. la liberté d’enseignement
5. la liberté de conscience
6. l’indépendance de la juridiction administrative
7. l’indépendance des professeurs d’université
8. la compétence exclusive de la juridiction administrative pour l’annulation ou la réformation des décisions prises dans l’exercice des prérogatives de puissance publique
9. l’autorité judiciaire gardienne de la propriété privée
10.l’existence d’une justice pénale des mineurs
11.le principe de pérennité du droit local d’Alsace-Moselle
Les libertés fondamentales ou droits fondamentaux représentent juridiquement l’ensemble des droits primordiaux pour l’individu, assurés dans un État de droit et une démocratie.
L’État de droit peut se définir comme un système institutionnel dans lequel la puissance publique est soumise au droit.
L’État de droit est aujourd’hui considéré comme la principale caractéristique des régimes démocratiques.
Le principe de légalité dont dépend le principe de légitimité suppose au premier chef le respect des principes constitutionnels.
Chantal COTTET
Collectif Justice Pour Tous
Dieudonné: 2014 sera l’année de la quenelle !!!
Valls contre Dieudonné: Manuel Valls en fait-il trop?
La question revient avec insistance, 10 jours après le communiqué du ministère de l’Intérieur qui annonçait étudier des voies juridiques pour interdire les « réunions publiques » de Dieudonné M’bala M’bala. Dans l’intervalle, le ministre a en effet multiplié les sorties médiatiques sur ce thème. Et si on peut légitimement s’interroger sur la place que les médias accorde à cette affaire, ses nombreuses sorties ont largement contribué à alimenter le « feuilleton ».
« Il faut casser cette mécanique de la haine », tonne ainsi Manuel Valls dans Le Parisien le 28 décembre. Invité de RTL trois jours plus tard, il condamne « un petit entrepreneur de la haine ». Le 3 janvier, il ouvre un nouveau front contre l’humoriste sur Europe 1 en l’accusant d' »organiser son insolvabilité ». « La question de l’interdiction est pour moi une manière de pousser le débat », se justifie-t-il enfin dans ce 5 janvier Le JDD. Depuis, ses prises de positions comme son hyperactivité divisent.
>> Lire aussi:Valls fait-il un cadeau à Dieudonné en voulant interdire ses spectacles?
Les critiques
Dieudonné. Evidemment, l’humoriste et ses soutiens se trouvent au premier rang pour critiquer l’hyperactivité du ministre. « Il n’a rien d’autre à faire? », fustigeait ainsi vendredi son avocat Jacques Verdier, contacté par L’Express.
Nicolas Dupont-Aignan. S’il juge « inacceptables » les paroles de Dieudonné, le président de Debout la République a jugé ce dimanche sur RCJ qu’en faisant de l’humoriste un « martyr », le ministre commet « une erreur magistrale ». « Pire, je trouve le comportement de Manuel Valls Très malsain, à partir d’une indignation légitime que je partage », a-t-il ajouté.
Des juristes. « Je critique l’annonce du ministre de l’intérieur de vouloir interdire ses spectacles. Oui à une sanction a posteriori, non à une censure », écrivait sur Twitter le 27 décembre dernier l’avocat blogueur Maître Eolas. Même son de cloche chez l’ex-avocat général Philippe Bilger: « Quand il y a des infractions, il faut les poursuivre si elles sont caractérisées », écrit-il sur le réseau social le 28 décembre.
Le Front national. « Interdire des spectacles d’un humoriste, là on tombe dans une dérive extrêmement préoccupante pour la liberté d’expression en France », juge le Florian Philippot, vice-président du FN.
Inquiétudes au PS. « Condamner Dieudonné, personne ne peut lui reprocher, mais condamner aussi fort ne risque-t-il pas de faire une publicité inespérée à ce triste personne? », s’interroge un dirigeant socialiste cité par Le Monde. D’autant que les déclarations de Manuel Valls ne sont pas forcément désintéressées, relève un ministre interrogé par le quotidien du soir: « Manuel sait que son nom est un épouvantail dans la majorité, notamment chez les écologistes. Il doit décoller cette étiquette droitière tout en conservant son principal atout: son image de politique combatif et intransigeant ».
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